Bien-aimés, j’ai la joie de partager avec vous aujourd’hui le thème ci-dessus tiré de Marc 11.2. En effet, le  chemin du Seigneur Jésus approche de son terme. Il fait son entrée solennelle à Jérusalem et se rend au temple. Et bien que sur le chemin qui le conduisait à la croix, Jésus devait entrer comme roi à Jérusalem. La révélation sur sa monture était donc caractéristique de sa royauté, car l’Eternel Dieu voulait qu’il reçoive du peuple le témoignage que ce Sauveur rejeté était véritablement son roi, et ce témoignage augmentait la responsabilité des Juifs et les laissait sans excuse. 

Cette entrée royale comme l’accomplissement de la prophétie de Za 9.9, est citée en ces termes dans Mt 21.5: “ Dites à la fille de Sion: Voici, ton roi vient à toi, plein de douceur, et monté sur un âne,  sur un ânon, le petit d’une ânesse”. Jésus est roi, et reçoit un témoignage comme tel. C’est pourquoi,  comme ils approchent de Jérusalem, de Bethphagé et de Béthanie, vers la montagne des Oliviers, il envoie deux de ses disciples et leur dit: “Allez au village qui est devant vous; dès que vous y serez entrés, vous trouverez un ânon attaché, sur lequel aucun homme ne s’est encore assis; détachez-le, et amenez-le. Si quelqu’un vous dit: Pourquoi faites-vous cela? répondez: Le Seigneur en a besoin. Et à l’instant il le laissera venir ici.” Les disciples étant allés, trouvèrent l’ânon attaché dehors près d’une porte, au contour du chemin, et ils le détachèrent.

Car les disciples trouvèrent tout comme le Seigneur le leur avait dit. Ils lui amenèrent donc l’ânon sur lequel ils mirent leurs vêtements, afin que Jésus s’asseye dessus. En effet, “Quelques-uns de ceux qui étaient là leur dirent: Que faites-vous? pourquoi détachez-vous cet ânon? Ils répondirent comme Jésus l’avait dit. Et on les laissa aller. Ils amenèrent à Jésus l’ânon, sur lequel ils jetèrent leurs vêtements, et il s’assit dessus. 

Beaucoup de gens étendirent leurs vêtements sur le chemin, et d’autres des branches qu’ils coupèrent dans les champs. Cette réception montre jusqu’à quel point le témoignage qu’il avait rendu avait agi sur les cœurs des simples. C’est pourquoi l’Eternel Dieu voulait que cette réception eut lieu de cette manière. Et ceux qui précédaient et ceux qui suivaient Jésus criaient: Hosanna! Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur! Béni soit le règne qui vient, le règne de David, notre père! Hosanna dans les lieux très hauts!” En effet, le royaume est plus simplement présenté comme tel: “le royaume de notre père David.” 

Et “Hosanna” veut dire: “Sauve, je te prie”. En effet, c’est la prière que, dans son angoisse aux derniers jours, le reste du peuple juif présentera au Seigneur pour obtenir sa délivrance. Il dira: “L’Éternel est notre roi; c’est lui qui nous sauvera”(És 33.22), et au Psaume 118.25: “Ô Éternel, accorde le salut”. Et c’est sous l’action de l’Esprit de Dieu, que les disciples et les foules acclamaient Jésus comme roi; car, peu de temps après, le vide se faisait autour de lui et, à un moment donné, il n’y eut que l’écriteau de Pilate, sur la croix, pour rendre témoignage à la royauté de Christ, en présence du peuple qui s’était écrié: “Nous n’avons de roi que César! “(Jn 19.15, 20).

Aujourd’hui encore, l’occasion se présente de recevoir le Seigneur Jésus méprisé et haï. Pour cela il faut premièrement l’accepter comme Sauveur, ensuite il pourra devenir l’hôte du cœur, apprécié plus que tout ici-bas, puisque lui seul a apporté le repos et la paix à la conscience travaillée et chargée d’une lourde culpabilité. 

Car nous sommes aux derniers jours où Jésus frappe à la porte du cœur; il veut entrer pour y verser une paix et un bonheur éternels dans la jouissance de sa communion. “Voici, je me tiens à la porte et je frappe: si quelqu’un entend ma voix et qu’il ouvre la porte, j’entrerai chez lui et je souperai avec lui, et lui avec moi”(Ap 3.20). En effet, il importe d’ouvrir la porte de son cœur pendant qu’il en est temps, car le moment s’approche rapidement, où Dieu même fermera une autre porte, celle de la grâce, à laquelle il sera inutile de frapper.

Alors le Seigneur Jésus entra à Jérusalem, dans le temple. Quand il eut tout considéré, comme il était déjà tard, il s’en alla à Béthanie avec les douze. Avec quelle dignité le Seigneur Jésus comme Juge de toutes choses, prend maintenant connaissance de tout ce qui se faisait dans le temple, et en sort sans rien dire! En effet, le Seigneur avait visité son temple, comme il était entré dans la ville sur le petit d’une ânesse sur lequel jamais aucun homme ne s’était assis. 

Les versets ci-après ont été compilées pour votre édification et regroupé pour faciliter votre meilleure compréhension: 

  • Omniscience divine:

Jn 2.24 Mais Jésus ne se fiait point à eux, parce qu’il les connaissait tous; Jn 16.30 Maintenant nous savons que tu sais toutes choses, et que tu n’as pas besoin que personne t’interroge; c’est pourquoi nous croyons que tu es sorti de Dieu; Jn 21.17 Il lui dit pour la troisième fois: Simon, fils de Jonas, m’aimes-tu? Pierre fut attristé de ce qu’il lui avait dit pour la troisième fois: M’aimes-tu? Et il lui répondit: Seigneur, tu sais toutes choses, tu sais que je t’aime. Jésus lui dit: Pais mes brebis; Ac 1.24 Puis ils firent cette prière: Seigneur, toi qui connais les cœurs de tous, désigne lequel de ces deux tu as choisi.

  • Priorité divine sur toutes les possessions divines:

Nb 3.13 Car tout premier-né m’appartient; le jour où j’ai frappé tous les premiers-nés dans le pays d’Égypte, je me suis consacré tous les premiers-nés en Israël, tant des hommes que des animaux: ils m’appartiendront. Je suis l’Éternel; Dt 26.2  tu prendras des prémices de tous les fruits que tu retireras du sol dans le pays que l’Éternel, ton Dieu, te donne, tu les mettras dans une corbeille, et tu iras au lieu que choisira l’Éternel, ton Dieu, pour y faire résider son nom; Mt 6.33 Cherchez premièrement le royaume et la justice de Dieu; et toutes ces choses vous seront données par-dessus.

  • Amitié divine de Christ:

Jn 11.5 Or, Jésus aimait Marthe, et sa sœur, et Lazare; Jn 11.35-36 Jésus pleura. Sur quoi les Juifs dirent: Voyez comme il l’aimait; Jn 13.23 Un des disciples, celui que Jésus aimait, était couché sur le sein de Jésus; Jn 15.15 Je ne vous appelle plus serviteurs, parce que le serviteur ne sait pas ce que fait son maître; mais je vous ai appelés amis, parce que je vous ai fait connaître tout ce que j’ai appris de mon Père.

  • Exemples d’obéissance à Christ:

Mt 4.20 Aussitôt, ils laissèrent les filets, et le suivirent; Mt 7.24 C’est pourquoi, quiconque entend ces paroles que je dis et les met en pratique, sera semblable à un homme prudent qui a bâti sa maison sur le roc; Mt 9.9 De là étant allé plus loin, Jésus vit un homme assis au lieu des péages, et qui s’appelait Matthieu. Il lui dit: Suis-moi. Cet homme se leva, et le suivit; Mt 21.6 Les disciples allèrent, et firent ce que Jésus leur avait ordonné; Mt 26.19 Les disciples firent ce que Jésus leur avait ordonné, et ils préparèrent la Pâque; Luc 5.5 Simon lui répondit: Maître, nous avons travaillé toute la nuit sans rien prendre; mais, sur ta parole, je jetterai le filet; Luc 6.47 Je vous montrerai à qui est semblable tout homme qui vient à moi, entend mes paroles, et les met en pratique; Jn 2.7 Jésus leur dit: Remplissez d’eau ces vases. Et ils les remplirent jusqu’au bord;  Jn 11.29 Dès que Marie eut entendu, elle se leva promptement, et alla vers lui; Jn 14.21 Celui qui a mes commandements et qui les garde, c’est celui qui m’aime; et celui qui m’aime sera aimé de mon Père, je l’aimerai, et je me ferai connaître à lui; Jn 21.6 Il leur dit: Jetez le filet du côté droit de la barque, et vous trouverez. Ils le jetèrent donc, et ils ne pouvaient plus le retirer, à cause de la grande quantité de poissons.

De tout ce qui précède, nous notons que le Seigneur Jésus devait entrer comme roi à Jérusalem. Car la révélation sur sa monture était caractéristique de sa royauté, et l’Eternel Dieu voulait qu’il reçoive du peuple le témoignage que ce Sauveur rejeté était véritablement son roi, et ce témoignage augmentait la responsabilité des Juifs et les laissait sans excuse. Cette réception montre jusqu’à quel point le témoignage qu’il avait rendu avait agi sur les cœurs des simples. Car nous sommes aux derniers jours où Jésus frappe à la porte du cœur; il veut entrer pour y verser une paix et un bonheur éternels dans la jouissance de sa communion. Car il dit: “Voici, je me tiens à la porte et je frappe: si quelqu’un entend ma voix et qu’il ouvre la porte, j’entrerai chez lui et je souperai avec lui, et lui avec moi”. En effet, il importe d’ouvrir la porte de son cœur pendant qu’il en est temps, car le moment s’approche rapidement, où Dieu même fermera une autre porte, celle de la grâce, à laquelle il sera inutile de frapper. Nos prières vous soutiennent tous dans vos efforts à ouvrir déjà votre cœur au Seigneur et Sauveur Jésus-Christ le seul chemin vers le Père. 

PRIERE D’ACCEPTATION DE JESUS-CHRIST COMME SEIGNEUR ET SAUVEUR PERSONNEL

J’invite à présent toute personne qui veut devenir une nouvelle création en marchant dans la vérité, à faire avec moi la prière suivante :  

Seigneur Jésus, j’ai longtemps marché dans les convoitises du monde en ignorant ton amour pour les humains. Je reconnais avoir péché contre toi et te demande pardon pour tous mes péchés, car aujourd’hui j’ai décidé de te donner ma vie en te prenant comme Seigneur et Sauveur personnel. Je reconnais que tu es mort à la croix du Calvaire et que tu es ressuscité des morts pour moi. 

Je suis maintenant sauvé(e) et né(e) de nouveau par la puissance du Saint-Esprit. Conduis-moi chaque jour vers la vie éternelle que tu donnes à tous ceux qui obéissent à ta Parole. Révèle-toi à moi et fortifie mon coeur et ma foi, afin  que ta lumière luise dans ma vie dès maintenant.

Merci Seigneur Jésus de m’accepter dans ta famille divine, afin que je puisse aussi contempler les merveilles de ton royaume.

Je vais choisir maintenant un point d’eau tout proche où me baptiser par immersion, au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.

A toi toute l’adoration, la puissance et la gloire, maintenant et pour les siècles des siècles. Amen !

Je serais content de réagir à vos questions et commentaires éventuels, avant de partager avec vous la semaine prochaine l’enseignement sur la puissance de la foi: le figuier maudit.

Que le Seigneur Jésus-Christ vous bénisse abondamment.

David Feze, Serviteur de l’Eternel des armées.

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