Bien-aimés, j’ai la joie de partager avec vous aujourd’hui le thème ci-dessus tiré de 2 Co 12. 1 et suivants. En effet, un homme en Christ est quelqu’un pour qui la chair a perdu ses droits(Rm 8.1-4). Il est “une nouvelle création”(2 Co 5.16-21). Sa position devant Dieu est celle de Christ Lui-même et il l’occupe déjà par la foi dans le ciel. Paul lui, s’y est trouvé enlevé réellement pendant un moment inoubliable. Et qu’a-t-il pu voir dans le paradis? Christ ressuscité et glorieux. Qu’a-t-il pu y entendre? Le langage du ciel qui ne peut se traduire dans les langues humaines(2 Co 12.4). Faveur vraiment extraordinaire! Mais cette expérience unique présentait ensuite un danger certain pour l’apôtre. 

Car pour le garder de s’enorgueillir, “une écharde dans la chair” lui est donnée: peut-être une infirmité pénible, tendant à le rendre méprisable dans sa prédication(2 Co 10.1-11; Ga 4.12-16). Seigneur, débarrasse-moi de cela, supplie l’apôtre; mon service en souffrira…  “Ma grâce te suffit”, est la réponse du Seigneur. Contrairement aux apparences, l’écharde était un effet de cette grâce. Ne servait-elle pas en Paul à juguler la chair, ce compagnon gênant de son travail? Oui, précieuses sont pour les chrétiens les infirmités et les épreuves. Car elles contribuent à affaiblir l’homme pour permettre à la puissance de Dieu de se manifester(2 Co 12.9, 10; 2 Co 4.7-10).

Quel chagrin pour l’apôtre de voir les suppositions faites à son sujet, les motifs intéressés et les ruses qu’on lui prêtait(2 Co 7.2-4; Ac 20.33-35)! Alors que, dans une conduite irréprochable, il n’avait cessé, avec ses compagnons d’œuvre, de marcher “sur les mêmes traces”: celles de Christ(2 Co 12.8). S’il répond longuement à ces calomnies, ce n’est cependant pas pour se justifier mais parce qu’il a en vue l’édification de ses bien-aimés Corinthiens(2 Co 12.19; 1 Co 14.26-33). En effet, ne pas reconnaître le ministère de l’apôtre revenait à rejeter aussi l’autorité de la Parole divine qu’il annonçait. Combien de soi-disant chrétiens aujourd’hui rejettent telle partie de la Parole inspirée et particulièrement les épîtres de Paul. Les versets 20 et 21 montrent à quels péchés conduisent cette négligence et ce mépris.

Ainsi, ici “nous trouvons l’état le plus glorieux auquel un chrétien puisse être élevé… et la condition la plus misérable dans laquelle il puisse tomber… Quel contraste entre cette élévation dans le troisième ciel et cette vile dégradation charnelle! Et le chrétien est capable des deux. Quelle leçon et quel avertissement pour chaque saint…” Nous savons que tout ministre de Christ doit mettre son état moral d’accord avec le don que le Seigneur lui a confié, et qu’il doit être personnellement son représentant dans ce monde. C’est ce que l’apôtre réalisait fidèlement dans son service. Dans le chapitre que nous venons de lire, deux autres points importants sont développés: En quoi consiste la puissance du ministère, et où faut-il en chercher la source?

Voyons d’abord le deuxième point, la source du ministère, car c’est par cela que l’apôtre commence. Si l’on considère le ministère à la manière des hommes, nous voyons la différence immense entre leur conception et celle du ministère selon Dieu. Les hommes, beaucoup de chrétiens même, pensent qu’en acquérant une certaine science humaine, mise à la portée de tous dans les écoles, ils pourront devenir des ministres de Christ, ou du moins développer le don que Dieu leur a confié. En cela ils se trompent. Car la source du ministère ne peut être trouvée que dans le nouvel homme; elle n’a rien à faire avec tout ce que le vieil homme peut acquérir. L’apôtre développe ici cette vérité. Quant à son état avant sa conversion, et notez bien que sa “grande science” datait d’alors, il n’en était plus question pour lui; il ne se considérait plus comme étant dans le premier Adam; aussi, parlant de lui-même, il dit: “Je connais un homme en Christ”. 

C’est dans le nouvel homme que son ministère a pris sa source, et non dans tout ce que Saul de Tarse avait appris aux pieds de Gamaliel. Pour exercer efficacement un ministère selon Dieu, il faut avoir jeté par-dessus bord tout ce que l’homme voudrait y ajouter. Dès le début, Saul apprit cela sur le chemin de Damas. Son vieil homme était fini, jugé, réduit en poussière, et le point de départ de l’apôtre est la ruine complète du premier Adam pour entrer en Christ, dans une vie toute nouvelle. Il avait appris cela en un instant; nous ne l’apprenons souvent qu’à la longue et difficilement. C’est aussi ce qui fait que parfois, quand nous rencontrons quelque bénédiction dans notre ministère, nous en attribuons volontiers quelque chose à nos facultés naturelles. Souvent nous perdons ainsi les bénédictions qui s’attachent au service du Seigneur. On ne trouvait rien de semblable chez l’apôtre; il savait que la croix de Christ était le seul endroit où il pouvait placer la chair avec tous ses avantages. Aussi ne se glorifiait-il que du nouvel homme, d’être en Christ, et de n’avoir place nulle autre part.

Pour l’encourager dans son ministère où il allait rencontrer tant de souffrances, Dieu le ravit au troisième ciel et lui fait entendre là des choses ineffables. Il était de toute importance que l’apôtre soit mis en présence de l’excellence de Christ dans le troisième ciel pour que, redescendu sur la terre, il soit bien convaincu qu’il valait la peine d’endurer pour Lui les plus grandes souffrances. Quel lieu que le troisième ciel, pour y être transporté! Le tabernacle modèle des choses célestes que Dieu montra à Moïse sur la montagne, était divisé en trois: le parvis, le lieu saint et le lieu très saint. C’étaient des types de choses qui étaient en dehors et au-dessus de la terre. D’abord le parvis où se trouvait l’autel d’airain, image de la croix, dans un sens au-dessus de la terre, et dont Jésus dit: Quand je serai «élevé de la terre, j’attirerai tous les hommes à moi». Le monde a déclaré là qu’il n’y avait pas de place ici-bas, même pour les pieds du Sauveur. 

On peut donc dire que la première partie du tabernacle sort de la limite des choses terrestres, comme symbole. C’est le point qui déjà nous sépare du monde. Du parvis on entrait dans le lieu saint où l’on trouvait la table des pains de proposition, le chandelier et l’autel d’or. En type, nous sommes dans le lieu saint, présentés à Dieu en Christ, capables de rendre culte, illuminés du Saint Esprit. Ensuite, vient le lieu très saint, type du troisième ciel. On y trouvait l’arche et le trône de Dieu sur le propitiatoire. Dans le troisième ciel nous pouvons entrer par l’Esprit, à travers le voile déchiré, car nous y trouvons le trône de la grâce. Mais l’apôtre y avait été ravi en réalité, sans cependant pouvoir dire comment, et il y avait entendu des choses incommunicables à d’autres. 

Quand l’apôtre parle, il sait très bien ce qui serait arrivé, si descendant du troisième ciel, il avait été livré à lui-même, car il se serait glorifié d’y avoir été. Le danger, pour lui, n’était pas d’être au troisième ciel, mais d’en descendre. Tant qu’il était là-haut, il gardait absolument sa place, mais quand il redescend sur la terre, l’extraordinaire des révélations aurait pu le remplir d’orgueil. Afin de le garder de se glorifier, Dieu lui envoie un ange de Satan pour le souffleter, de sorte qu’il pouvait devenir un objet de mépris ou de dégoût pour ceux auxquels il s’adressait. Aussi les faux apôtres disaient de lui: “Sa personne est méprisable”. Loin d’être détourné du chemin de la dépendance, il suit les traces de son Sauveur à Gethsémané. Car Jésus avait prié trois fois que la coupe passe loin de Lui, Paul supplie trois fois le Seigneur que l’épreuve se retire de lui. Une fois encore Satan s’était trompé. Il espérait rendre l’Évangile méprisable dans la personne de son ministre, mais Dieu dit: “Ma grâce te suffit, car ma puissance s’accomplit dans l’infirmité”.

C’est ici que nous trouvons la réponse à notre seconde question: En quoi consiste la puissance du ministère? Dieu dit: Il faut que tu sois sans force en toi-même pour que ma puissance se développe en toi. Ce passage est vrai pour nous tous. Nous ne trouvons de puissance dans notre service que si nous ne sommes rien à nos yeux. C’est en effet ce que dit Paul: “Je n’ai été en rien moindre que les plus excellents apôtres, quoique je ne sois rien”. Il y a lieu de se demander si quelqu’un d’entre nous pourrait dire de lui-même, en toute sincérité: “Je ne suis rien”. Ah! dit Paul, aussi bien que je me glorifie d’un homme en Christ, je me glorifie dans mes infirmités, afin que la puissance de Christ demeure sur moi. J’accepte les soufflets de l’ange de Satan, je consens à n’être rien, je ne recule pas devant la souffrance, pourvu seulement que cette puissance ne m’abandonne pas. “Mon millier, dit Gédéon, est le plus pauvre en Manassé, et moi je suis le plus petit dans la maison de mon père”; alors une parole de l’ange lui communique la force. Si, d’un autre côté, comme Samson, l’on se confie en sa force, on devient une proie facile de l’Ennemi. Il peut en être ainsi pour nous. Lorsque, perdant le sentiment de notre faiblesse et de notre néant, nous mettons notre confiance en nous-mêmes ou dans les dons que Dieu nous a départis, la puissance nous a quittés sans que, peut-être, comme Samson, nous n’en sachions rien; et la bénédiction ne se retrouve pas. Aussi l’apôtre dit: “C’est pourquoi je prends plaisir dans les infirmités, dans les outrages, dans les nécessités, dans les persécutions, dans les détresses pour Christ: car quand je suis faible, alors je suis fort.” Il ne dit pas: Je les supporte, je les accepte; il y prend plaisir; son bonheur est de souffrir en vue du but à atteindre, et parce que dans la faiblesse est le secret de la puissance de son ministère.

Les versets ci-après ont été compilés pour votre édification et regroupés pour votre meilleure compréhension.

  • Révélations divines

Dn 2.22 Il révèle ce qui est profond et caché, il connaît ce qui est dans les ténèbres, et la lumière demeure avec lui. Am 3.7 Car le Seigneur, l’Éternel, ne fait rien Sans avoir révélé son secret à ses serviteurs les prophètes. Jn 15.15 Je ne vous appelle plus serviteurs, parce que le serviteur ne sait pas ce que fait son maître; mais je vous ai appelés amis, parce que je vous ai fait connaître tout ce que j’ai appris de mon Père. 1 Co 2.9-10 Mais, comme il est écrit, ce sont des choses que l’oeil n’a point vues, que l’oreille n’a point entendues, et qui ne sont point montées au coeur de l’homme, des choses que Dieu a préparées pour ceux qui l’aiment. 10 Dieu nous les a révélées par l’Esprit. Car l’Esprit sonde tout, même les profondeurs de Dieu. Ep 1.9-10 nous faisant connaître le mystère de sa volonté, selon le bienveillant dessein qu’il avait formé en lui-même, 10 pour le mettre à exécution lorsque les temps seraient accomplis, de réunir toutes choses en Christ, celles qui sont dans les cieux et celles qui sont sur la terre.

  • Visions, exemples

Gn 15.1  Après ces événements, la parole de l’Éternel fut adressée à Abram dans une vision, et il dit: Abram, ne crains point; je suis ton bouclier, et ta récompense sera très grande. Gn 46.2 Dieu parla à Israël dans une vision pendant la nuit, et il dit: Jacob! Jacob! Israël répondit: Me voici! Ez 37. 1 La main de l’Éternel fut sur moi, et l’Éternel me transporta en esprit, et me déposa dans le milieu d’une vallée remplie d’ossements. Ac 9.10 Or, il y avait à Damas un disciple nommé Ananias. Le Seigneur lui dit dans une vision: Ananias! Il répondit: Me voici, Seigneur! Ac 10.3, 11 Vers la neuvième heure du jour, il vit clairement dans une vision un ange de Dieu qui entra chez lui, et qui lui dit: Corneille! 11 Il vit le ciel ouvert, et un objet semblable à une grande nappe attachée par les quatre coins, qui descendait et s’abaissait vers la terre; Ac 18.9 Le Seigneur dit à Paul en vision pendant la nuit: Ne crains point; mais parle, et ne te tais point; Ac 22.18 et je vis le Seigneur qui me disait: Hâte-toi, et sors promptement de Jérusalem, parce qu’ils ne recevront pas ton témoignage sur moi. Ac 23.11 La nuit suivante, le Seigneur apparut à Paul, et dit: Prends courage; car, de même que tu as rendu témoignage de moi dans Jérusalem, il faut aussi que tu rendes témoignage dans Rome. 2 Co 12.1 Il faut se glorifier… Cela n’est pas bon. J’en viendrai néanmoins à des visions et à des révélations du Seigneur. Ap 1.12 Je me retournai pour connaître quelle était la voix qui me parlait. Et, après m’être retourné, je vis sept chandeliers d’or; 

  • Choses secrètes 

Dt 29.29 Les choses cachées sont à l’Éternel, notre Dieu; les choses révélées sont à nous et à nos enfants, à perpétuité, afin que nous mettions en pratique toutes les paroles de cette loi. Pr 25.2 La gloire de Dieu, c’est de cacher les choses; La gloire des rois, c’est de sonder les choses. Dn 12.9 Il répondit: Va, Daniel, car ces paroles seront tenues secrètes et scellées jusqu’au temps de la fin. Mc 13.32 Pour ce qui est du jour ou de l’heure, personne ne le sait, ni les anges dans le ciel, ni le Fils, mais le Père seul. Ap 5.3 Et personne dans le ciel, ni sur la terre, ni sous la terre, ne put ouvrir le livre ni le regarder. Ap 10.4 Et quand les sept tonnerres eurent fait entendre leurs voix, j’allais écrire; et j’entendis du ciel une voix qui disait: Scelle ce qu’ont dit les sept tonnerres, et ne l’écris pas.

  • Altruisme, exemples

-Abraham  Gn 13.9 Tout le pays n’est-il pas devant toi? Sépare-toi donc de moi: si tu vas à gauche, j’irai à droite; si tu vas à droite, j’irai à gauche.

-Joseph  Gn 50.21 Soyez donc sans crainte; je vous entretiendrai, vous et vos enfants. Et il les consola, en parlant à leur coeur.

-Moïse  Nb 11.29 Moïse lui répondit: Es-tu jaloux pour moi? Puisse tout le peuple de l’Éternel être composé de prophètes; et veuille l’Éternel mettre son esprit sur eux!

-Jonathan  1 S 18.4 Il ôta le manteau qu’il portait, pour le donner à David; et il lui donna ses vêtements, même son épée, son arc et sa ceinture.

-Daniel  Dn 5.17 Daniel répondit en présence du roi: Garde tes dons, et accorde à un autre tes présents; je lirai néanmoins l’écriture au roi, et je lui en donnerai l’explication.

-Paul  1 Co 10.33 de la même manière que moi aussi je m’efforce en toutes choses de complaire à tous, cherchant, non mon avantage, mais celui du plus grand nombre, afin qu’ils soient sauvés.

-Christ  2 Co 8.9  Car vous connaissez la grâce de notre Seigneur Jésus Christ, qui pour vous s’est fait pauvre, de riche qu’il était, afin que par sa pauvreté vous fussiez enrichis.

De tout ce qui précède, nous notons que nous avons vu un homme en Christ et la puissance manifestée dans son ministère; et nous trouvons non plus les fruits de l’Esprit dans le cœur du racheté, mais les fruits de la chair, fruits tels qu’ils font monter la rougeur à nos fronts: “Car je crains que, quand j’arriverai, je ne vous trouve pas tels que je voudrais, et que moi je ne sois trouvé par vous tel que vous ne voudriez pas, et qu’il n’y ait des querelles, des jalousies, des colères, des intrigues, des médisances, des insinuations, des enflures d’orgueil, des désordres, et qu’étant de nouveau revenu au milieu de vous, mon Dieu ne m’humilie quant à vous, et que je ne sois affligé à l’occasion de plusieurs de ceux qui ont péché auparavant et qui ne se sont pas repentis de l’impureté, et de la fornication, et de l’impudicité qu’ils ont commises”. Car les Corinthiens, doués comme ils l’étaient, avaient marché selon la chair, et ce n’était pas seulement un individu, “le méchant” parmi eux qui avait péché; beaucoup d’entre eux avaient fait des choses semblables, puis étaient revenus en apparence de leurs errements, sans que leurs consciences aient été atteintes et que la repentance se soit produite dans leurs cœurs. Comme tout cela est sérieux! Il nous est possible de vivre dans la puissance du nouvel homme; mais, d’autre part, nous pouvons suivre le chemin de la chair et marcher avec les enfants de Dieu, en affligeant ceux qui ont à cœur la gloire de leur Sauveur. Ayons soin de bannir de notre vie tout ce qui ne correspond pas au caractère de Christ, afin que notre conduite le glorifie. Que le désir de nos cœurs à tous soit de vivre selon le nouvel homme et dans sa puissance! Nos prières vous y accompagnent tous.

PRIERE D’ACCEPTATION DE JESUS-CHRIST COMME SEIGNEUR ET SAUVEUR PERSONNEL

J’invite à présent toute personne qui veut devenir une nouvelle création en marchant dans la vérité, à faire avec moi la prière suivante :  

Seigneur Jésus, j’ai longtemps marché dans les convoitises du monde en ignorant ton amour pour les humains. Je reconnais avoir péché contre toi et te demande pardon pour tous mes péchés, car aujourd’hui j’ai décidé de te donner ma vie en te prenant comme Seigneur et Sauveur personnel. Je reconnais que tu es mort à la croix du Calvaire et que tu es ressuscité des morts pour moi. 

Je suis maintenant sauvé(e) et né(e) de nouveau par la puissance du Saint-Esprit. Conduis-moi chaque jour vers la vie éternelle que tu donnes à tous ceux qui obéissent à ta Parole. Révèle-toi à moi et fortifie mon coeur et ma foi, afin  que ta lumière luise dans ma vie dès maintenant.

Merci Seigneur Jésus de m’accepter dans ta famille divine, afin que je puisse aussi contempler les merveilles de ton royaume.

Je vais choisir maintenant un point d’eau tout proche où me baptiser par immersion, au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.

A toi toute l’adoration, la puissance et la gloire, maintenant et pour les siècles des siècles. Amen !

Je serais content de réagir à vos questions et commentaires éventuels, avant de partager avec vous demain “les dernières exhortations et salutations de l’apôtre Paul.”

Que le Seigneur Jésus-Christ vous bénisse abondamment.

David Feze, Serviteur de l’Eternel des armées. 

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