Bien-aimés, j’ai la joie de partager avec vous aujourd’hui le thème ci-dessus tiré de Pr 27.1 et suivants. En effet, se glorifier du jour de demain (verset 1), c’est en disposer comme s’il nous appartenait: faire des projets fermes, contracter des engagements à terme, cautionner autrui (verset 13). Relisons ce que nous dit Jacques à ce sujet (Jac 4.13-17). D’autre part, ce verset 1 s’adresse tout spécialement à ceux qui remettent à plus tard la question de leur salut. 2 Co 6.1-3 leur répète avec insistance: «Voici c’est maintenant le jour du salut». Il est doux de pouvoir compter sur un ami. Ses conseils affectueux viennent de son cœur et réjouissent le nôtre (verset 9). Mais l’ami véritable n’est pas celui qui nous dira toujours des paroles aimables. Au contraire, il saura prendre sur lui de nous adresser une réprimande, même si notre orgueil doit en être blessé (versets 5, 6). Tel est Jésus, l’Ami fidèle. Il nous aime trop pour nous ménager. Les chirurgiens sont souvent obligés d’ouvrir de larges plaies pour atteindre les organes internes et extirper le mal. Il en est de même dans le sens spirituel. «Les plaies d’une blessure nettoient le mal, et les coups, les profondeurs de l’âme» (Pr 20.30). Oui, acceptons sans murmurer ces blessures nécessaires, en y reconnaissant la main douce et sûre de notre Ami suprême.

Ces versets traitent particulièrement de la vie domestique et de l’amitié. Soyons difficiles pour choisir un ami. Assurons-nous qu’il partage notre foi, que nous aurons la liberté de nous mettre à genoux ensemble, qu’il sera capable de ranimer notre visage (verset 17). Mais l’amitié n’est pas à sens unique. Et quand nous nous plaignons de manque d’amour chez les autres c’est toujours une preuve que nous en manifestons peu nous-mêmes. Car l’amour répond à l’amour (verset 19). Le verset 20 nous rappelle que le caractère des yeux est d’être insatiables (1 Jean 2.15-16) – et le versets 22, que la folie est indissolublement liée à la nature humaine (Pr 22.15; Ec 9.1-3; Rm 3.9-18). Aucune contrainte ne peut durablement l’en chasser. Constatation trop pessimiste? Malheureusement pas! L’homme est en état de révolte permanente contre son Créateur, il refuse la grâce offerte, il ne cesse d’agir à l’encontre de ses intérêts éternels… Et nous n’appellerions pas cela folie? Comment alors devenir sage? En recevant par Christ la vie divine.

Les versets 23 à 27 nous parlent de prévoyance humaine, de biens terrestres et d’une couronne périssable. Chrétiens, soyons prévoyants, mais pour nous assurer des biens durables (Pr 8.12-21; Luc 12.33-34) et une couronne incorruptible (1 Co 9.24-27). Ce chapitre offre un peu moins de suite dans l’ordre des Proverbes que les deux chapitres précédents; on peut cependant lui appliquer la remarque qui est en tête du chap. 25. Ne te glorifie pas du jour de demain, car tu ne sais pas ce qu’un jour enfantera (v.1; Jac 4:13-16) : Se vanter de ce que demain nous apportera, c’est mettre Dieu de côté dans notre vie. Nous ne savons pas même quelles seront pour demain les conséquences du jour dans lequel nous nous trouvons; à bien plus forte raison ignorons-nous la tournure du jour qui va suivre. Qu’un autre te loue, et non ta bouche – un étranger et non tes lèvres : Ne nous vantons pas nous-mêmes; laissons la louange aux étrangers; ne la laissons pas même à nos amis (v.14). Il faut que notre conduite soit pour tous un motif de louange (3 Jean 3:12).

La pierre est pesante et le sable est lourd; mais l’humeur d’un fou est plus pesante que tous les deux : Il ne s’agit pas ici du sot, mais du fou, de celui qui a perdu la raison, de l’insensé dont l’humeur ne peut être modifiée par aucun raisonnement (Nous profitons pour faire ressortir la différence entre le sot (hébreu: Kesil) et le fou (hébreu : Evil). Pour le sot, voyez notre définition en début de cette Étude. Passages où se trouve le mot fou; Pr 1:7; 7:22; 10:8, 21; 11:29; 12:15, 16; 14:9; 15:5; 16:22; 17:28; 20:3; 24:7; 27:3,22). Sa compagnie est une charge accablante, plus pesante que la pierre, plus lourde que le sable dont il nous est impossible de nous dégager, quand il est tombé sur nous. La fureur est cruelle et la colère déborde, mais qui subsistera devant la jalousie? Cette maxime est très importante pour l’exercice du ministère : Il ne s’agit pas ici de la jalousie d’un époux outragé (Pr 6:34), mais de la jalousie en général. Celui qui est offusqué par la supériorité d’un autre (et combien de fois une haute pensée de nous-même a provoqué ces sentiments!) ne sera satisfait qu’en ayant ruiné moralement celui qu’il estime être son rival. La cruauté de la fureur et le débordement de la colère sont mille fois préférables.

Mieux vaut une réprimande ouverte qu’un amour caché (v. 5; Gal. 2:14). Car une réprimande publique est souvent la preuve d’un amour plus profond et plus vrai, qu’un amour qui, par crainte de blesser, se tait, se garde de reprendre et se prive de voir, à l’occasion, des progrès spirituels chez son ami. Telle fut la réprimande, devant tous, de Paul, adressée à Pierre (Gal. 2:14). Les blessures faites par un ami sont fidèles, mais les baisers de celui qui hait sont fréquents (v. 6; Pr 26:24-25). Il y a des blessures que le sage sera heureux d’avoir reçues et qui lui démontrent la fidélité de son ami. Qu’il se défie des nombreuses flatteries de ses ennemis. Elles lui manqueront d’autant moins, qu’ils cachent leur haine sous leurs baisers.

L’âme rassasiée foule aux pieds les rayons de miel, mais pour l’âme qui a faim tout ce qui est amer est doux (v. 7; Pr 25:16). Car les affections naturelles les plus légitimes ne suffisent pas pour combler le vide d’un cœur travaillé. Il arrive un moment où l’âme, rassasiée de ces douceurs les foule aux pieds pour satisfaire sa faim. Cette faim trouvera même dans ce qui est amer plus de douceur que dans les relations de famille. Il en est ainsi de l’âme dans ses relations avec Dieu. Le jugement prononcé, le mot «perdu» inscrit sur le pécheur, la ruine de toute prétention à obtenir une justice devant Dieu, sont les herbes amères de la Pâque. L’âme doit s’en nourrir, mais elle y trouve le salut, l’Agneau pascal ayant porté et ôté pour toujours ces jugements de devant Dieu.

Comme un oiseau erre çà et là loin de son nid, ainsi est l’homme qui erre loin de son lieu : On pourrait croire que les douces affections naturelles qui nous lient à la famille doivent être foulées aux pieds. Bien loin de là. Celui qui abandonne le lieu où il trouve ses affections est comme l’oiseau sans nid, et par conséquent sans famille, errant çà et là. C’est dans la famille que les affections se réchauffent et que l’égoïsme est tenu en bride – et cela s’accorde parfaitement avec la vie spirituelle.

L’huile et le parfum réjouissent le cœur, et la douceur d’un ami est le fruit d’un conseil qui vient du cœur : ce sont des éléments avec lesquels on reçoit les convives de marque et qui réjouissent le cœur de celui qui se sent apprécié de cette manière (Luc 7:46). De même la douceur dont un ami nous entoure est le fruit d’une pensée profonde qui de moi, remplaçant ma famille absente. Ferai-je au jour de ma calamité un long voyage pour chercher auprès de mon frère les consolations dont j’ai besoin? Non, je n’entrerai pas dans sa maison en ce jour-là. Cette maxime touche à la question des affections naturelles, qui est en vue dans tout ce passage. Jonathan, l’ami de David, était a sa source dans ses affections. Ce proverbe n’est-il pas applicable à Christ et à nos relations avec Lui? N’abandonne point ton ami, ni l’ami de ton père, et n’entre pas dans la maison de ton frère au jour de la calamité. Mieux vaut un voisin proche qu’un frère éloigné (v.10; Pr 18:24). Car l’ami est celui dans la compagnie duquel je passe ma vie; à l’ami de mon père se rattachent mes souvenirs et mes affections de famille. Dans mes difficultés je le trouve près pour lui un meilleur conseiller que ses propres frères. Ce passage reporte nos pensées vers l’Ami par excellence.

Mon fils, sois sage et réjouis mon cœur, afin que j’aie de quoi répondre à celui qui m’outrage : Il y a des gens qui outragent la Sagesse divine (Christ) en invoquant les fautes de ceux qui sont nés d’elle. Le moyen de réduire ces ennemis au silence n’est pas que le fils de la Sagesse se lance témérairement dans la lutte, mais qu’il reproduise les traits de la Sagesse qui l’a engendré, et qu’il réjouisse Son cœur par son obéissance. «Ils n’auront pas honte», est-il dit, «quand ils parleront avec des ennemis dans la porte». (Ps. 127:5). L’homme avisé voit le mal et se cache; les simples passent outre et en portent la peine supplémentaire du v. 11. Quand le mal se présente, l’homme qui a profité (v. 12; Pr 22:3). Ce passage est répété ici comme enseignement des enseignements de la sagesse et ne cherche pas à tenir tête aux attaques, ce qui serait de la présomption, mais se cache, et laisse agir Celui qui seul peut résister au mal; tandis que les «simples» ne voient pas le danger, passent outre dans leur aveuglement et leur suffisance, et deviennent la proie de l’Ennemi.

Prends son vêtement, car il a cautionné autrui et prends de lui un gage, à cause de l’étrangère (v.13; Pr 20:16). Car compter sur l’avenir, sur soi-même, et laisser Dieu de côté, c’est la ruine, et en outre on est ruiné par l’alliance avec le monde corrompu. À celui qui bénit son ami à haute voix, se levant le matin de bonne heure, on le lui comptera comme une malédiction (v. 14). Car les rapports avec l’ami ont une pudeur d’intimité qui ne comporte pas une publicité tapageuse. S’il me communique tous ses secrets et me montre une si touchante confiance, les louanges qu’il me prodiguerait criées à haute voix, en public, à des heures inusitées, seraient le contraire de la communion avec lui. Cela rebute les assistants et leur produit l’effet d’une malédiction et non d’une louange. N’en est-il pas de même de certaines manifestations publiques d’admiration pour le Seigneur qui affligent ses vrais amis et leur donnent la pénible impression d’un manque de vérité dans le cœur? 

Les versets ci-après ont été compilés pour votre édification et regroupés pour votre meilleure compréhension.

  • Vantardise, la folie de la

Ps 10.3 Car le méchant se glorifie de sa convoitise, Et le ravisseur outrage, méprise l’Éternel. Ps 49.7-8 Ils ont confiance en leurs biens, Et se glorifient de leur grande richesse. 8 Ils ne peuvent se racheter l’un l’autre, Ni donner à Dieu le prix du rachat. Jc 3.5 De même, la langue est un petit membre, et elle se vante de grandes choses. Voici, comme un petit feu peut embraser une grande forêt. Jc 4.16 Mais maintenant vous vous glorifiez dans vos pensées orgueilleuses. C’est chose mauvaise que de se glorifier de la sorte.

  • Incertitudes, Sept choses qui sont incertaines

-La beauté Pr 31.30 La grâce est trompeuse, et la beauté est vaine; La femme qui craint l’Éternel est celle qui sera louée.

-Les promesses de l’homme Ps 146.3 Ne vous confiez pas aux grands, Aux fils de l’homme, qui ne peuvent sauver.

-Les richesses Pr 23.5 Veux-tu poursuivre du regard ce qui va disparaître? Car la richesse se fait des ailes, Et comme l’aigle, elle prend son vol vers les cieux.

-L’avenir Pr 27.1 Ne te vante pas du lendemain, Car tu ne sais pas ce qu’un jour peut enfanter.

-La vie Jc 4.14 Vous qui ne savez pas ce qui arrivera demain! car, qu’est-ce votre vie? Vous êtes une vapeur qui paraît pour un peu de temps, et qui ensuite disparaît.

-La gloire éternelle 1 P 1.24 Car Toute chair est comme l’herbe, Et toute sa gloire comme la fleur de l’herbe. L’herbe sèche, et la fleur tombe;

-L’amitié Jn 16.32 Voici, l’heure vient, et elle est déjà venue, où vous serez dispersés chacun de son côté, et où vous me laisserez seul; mais je ne suis pas seul, car le Père est avec moi.

  • Les sept certitudes qui guettent le pécheur impénitent

-La certitude de la révélation Nb 32.23 Mais si vous ne faites pas ainsi, vous péchez contre l’Éternel; sachez que votre péché vous atteindra.

-La certitude de la déception Dt 32.32 Mais leur vigne est du plant de Sodome Et du terroir de Gomorrhe; Leurs raisins sont des raisins empoisonnés, Leurs grappes sont amères;

-La certitude de quitter les biens terrestres 1 Tim 6.7 car nous n’avons rien apporté dans le monde, et il est évident que nous n’en pouvons rien emporter;

-La certitude de la mort Ec 8.8 L’homme n’est pas maître de son souffle pour pouvoir le retenir, et il n’a aucune puissance sur le jour de la mort; il n’y a point de délivrance dans ce combat, et la méchanceté ne saurait sauver les méchants.

-La certitude du jugement Ec 12.14 Du reste, mon fils, tire instruction de ces choses; on ne finirait pas, si l’on voulait faire un grand nombre de livres, et beaucoup d’étude est une fatigue pour le corps.

-La certitude de la séparation des pécheurs et des justes Mt 25.31-32 Lorsque le Fils de l’homme viendra dans sa gloire, avec tous les anges, il s’assiéra sur le trône de sa gloire. 32 Toutes les nations seront assemblées devant lui. Il séparera les uns d’avec les autres, comme le berger sépare les brebis d’avec les boucs;

-La certitude du bannissement de la présence divine 2 Th 1.9 Ils auront pour châtiment une ruine éternelle, loin de la face du Seigneur et de la gloire de sa force,

  • La gloire des hommes, transitoire

Ps 49.18 Car il n’emporte rien en mourant, Ses trésors ne descendent point après lui. Esa 5.14 C’est pourquoi le séjour de morts ouvre sa bouche, Élargit sa gueule outre mesure; Alors descendent la magnificence et la richesse de Sion, Et sa foule bruyante et joyeuse. Os 9.11 La gloire d’Éphraïm s’envolera comme un oiseau: Plus de naissance, plus de grossesse, plus de conception. 1 P 1.24 Car Toute chair est comme l’herbe, Et toute sa gloire comme la fleur de l’herbe. L’herbe sèche, et la fleur tombe;

De tout ce qui précède, nous notons que le shéol et l’abîme sont insatiables et les yeux de l’homme sont insatiables (Pr 30:16; Hab 2:5). Car le lieu invisible est insatiable pour engloutir les âmes, l’abîme, pour engloutir l’homme tout entier; et les yeux de l’homme pécheur ne se rassasient jamais de contempler les objets de leurs convoitises et du désir d’en prendre possession. C’est le regard de l’homme qui le fait ressembler à l’abîme. Nous trouvons ici un contraste absolu avec le verset précédent. Le creuset est pour l’argent, et le fourneau pour l’or, ainsi l’homme pour la bouche qui le loue (v. 21; Pr 17:3). Car du creuset et du fourneau sortent l’argent et l’or dépouillés de leur alliage. Les louanges sont le creuset de l’homme. Qu’en sortira-t-il? L’argent de la grâce, l’or de la justice divine, ou les scories du vieil homme, son orgueil et sa satisfaction de lui-même, sa chair en un mot, dans laquelle n’habite aucun bien? Quand tu broierais le fou dans un mortier, au milieu du grain, avec un pilon, sa folie ne se retirerait pas de lui (v. 22). Car le plus grand broiement ne peut changer l’homme naturel, celui dont le caractère est la folie, état qu’aucune ressource humaine ne peut modifier (Rom. 1:22). Pour y échapper il faut naître de nouveau. En outre, connais bien la face de ton menu bétail, veille sur tes troupeaux; car l’abondance n’est pas pour toujours, et une couronne dure-t-elle de génération en génération? Le foin disparaît, et l’herbe tendre se montre, et on ramasse les herbes des montagnes. Les agneaux sont pour ton vêtement, et les boucs pour le prix d’un champ, et l’abondance du lait de tes chèvres pour ta nourriture, pour la nourriture de ta maison, et pour la vie de tes servantes : Car le menu bétail et les troupeaux représentent toujours dans l’Écriture la richesse donnée de Dieu aux hommes. La couronne est toujours dans les Proverbes l’emblème de ce qui est donné à la Sagesse ou dispensé par elle: bénédictions terrestres, prolongement de vie, nombreuse postérité. Mais tout cela ne dure pas de génération en génération. La nourriture du bétail, par lequel notre vie est entretenue ici-bas, soit comme vêtement, soit comme alimentation, soit comme échange, peut disparaître. Il faut une surveillance continuelle pour la renouveler quand le foin est consommé; il faut surveiller l’herbe nouvelle, récolter les herbes sur les montagnes. Ainsi la maison, la famille, la domesticité, sont entretenues. Ceci clôture dignement un chapitre qui traite avant tout de la vie et des relations domestiques. Nos prières vous y accompagnent tous.

PRIÈRE D’ACCEPTATION DE JESUS-CHRIST COMME SEIGNEUR ET SAUVEUR PERSONNEL

J’invite à présent toute personne qui veut devenir une nouvelle création en marchant dans la vérité, à faire avec moi la prière suivante :  

Seigneur Jésus, j’ai longtemps marché dans les convoitises du monde en ignorant ton amour pour les humains. Je reconnais avoir péché contre toi et te demande pardon pour tous mes péchés, car aujourd’hui j’ai décidé de te donner ma vie en te prenant comme Seigneur et Sauveur personnel. Je reconnais que tu es mort à la croix du Calvaire et que tu es ressuscité des morts pour moi. 

Je suis maintenant sauvé(e) et né(e) de nouveau par la puissance du Saint-Esprit. Conduis-moi chaque jour vers la vie éternelle que tu donnes à tous ceux qui obéissent à ta Parole. Révèle-toi à moi et fortifie mon coeur et ma foi, afin que ta lumière luise dans ma vie dès maintenant.

Merci, Seigneur Jésus de m’accepter dans ta famille divine, afin que je puisse aussi contempler les merveilles de ton royaume.

Je vais choisir maintenant un point d’eau tout proche où me baptiser par immersion, au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.

A toi toute l’adoration, la puissance et la gloire, maintenant et pour les siècles des siècles. Amen ! 

Je serais content de réagir à vos questions et commentaires éventuels, avant de partager avec vous demain “ Suite des proverbes sur la vie morale ; Maximes diverses (Pr 28).

Que le Seigneur Jésus-Christ vous bénisse abondamment.

David Feze, Serviteur de l’Éternel des armées.

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