Bien-aimés, j’ai la joie de partager avec vous aujourd’hui le thème tiré de Nb 1. 1 et suivants. En effet, les instructions du Lévitique concernaient le culte et la communion. Les Nombres reprennent l’histoire du peuple à travers le désert pour nous parler d’autres aspects de la vie chrétienne: la marche et le service. L’Éternel commence par procéder au dénombrement (« Nombres ») des tribus d’Israël: soldats, lévites, sacrificateurs. Chacun avait à déclarer sa filiation (v. 18). Au temps d’Esdras, ceux qui remonteront de l’exil devront prouver qu’ils font bien partie d’Israël. Et certains sacrificateurs seront exclus comme impurs pour n’avoir pu, par négligence, trouver leur « inscription généalogique » (Esd 2.59-63). Chers amis, chacun de nous doit savoir en tout premier lieu s’il est ou non un enfant de Dieu. Et il doit être prêt à le déclarer devant les autres (Rm 10.6-10). Mais attention! Étaient Israélites tous ceux dont les parents appartenaient à une des douze tribus. Tandis qu’aujourd’hui on est un chrétien seulement quand on croit personnellement au Seigneur Jésus Christ. On fait alors partie de ce peuple céleste dont Dieu, dans son « état civil », ou plutôt dans son livre de vie, tient le compte exact et parfaitement à jour. Si aujourd’hui vous venez à Jésus, votre nom viendra s’y inscrire. Car « à tous ceux qui l’ont reçu, il leur a donné le droit de devenir enfants de Dieu » (Jn 1.11-13).
Vingt ans est encore aujourd’hui dans certains pays l’âge auquel les jeunes gens sont astreints au service militaire. Reconnu apte à porter les armes, le conscrit se doit à sa patrie. Sitôt incorporé, il renonce à son indépendance pour se plier à des servitudes collectives, il apprend le respect dû aux supérieurs, le sens de la discipline, du devoir, de l’honneur: il est entraîné au combat… (Lc 7.1-10). Cet « appel sous les drapeaux » n’a-t-il pas pour tout jeune chrétien son application spirituelle? Sans doute n’est-ce pas dès le lendemain de sa conversion qu’un « nouveau-né en Christ » sera d’emblée « propre au service militaire ». La famille de Dieu se compose de « petits enfants », de « jeunes gens » et de « pères » (1 Jn 2.12-17). Et comme toute famille comptant des enfants de développement différent, celle de Dieu, bien qu’unie par une même vie et des droits identiques, embrasse des capacités et des responsabilités diverses. Mais il doit se produire une croissance (comp. Lc 2.39-52). Il arrive un moment où le petit enfant doit être devenu spirituellement un jeune homme, fort, ayant l’expérience de victoires sur le Méchant (1 Jn 2.12-17), un homme accompli selon Hb 5.12-14. En sommes-nous là? Ou bien n’avons-nous fait que peu de progrès depuis notre conversion?
Tous les fils d’Israël recensés dans ce chapitre avaient traversé la mer Rouge l’année précédente. Ils avaient « été baptisés pour Moïse dans la nuée et dans la mer »; ils avaient eu part à tous les privilèges attachés à la qualité de peuple de l’Éternel: la manne, l’eau du rocher (1 Co 10.1-6). Mais sur les plus de 600 000 dénombrés du v. 46, combien atteindront le pays? Deux seulement, en qui Dieu pourra prendre plaisir parce qu’ils ont la foi (comp. 1 Co 10.1-6 et Hb 11.5-7). Dans la multitude de ceux qui portent aujourd’hui le nom de chrétiens, seul le Seigneur sait combien d’âmes lui appartiennent véritablement (2 Tim 2.19-23). Répétons-le, ce n’est pas le baptême mais la foi en Jésus Christ qui fait de quelqu’un un membre du peuple de Dieu.
Les fils de Lévi n’étaient pas dénombrés parmi les hommes de guerre (v. 47). La force et la puissance n’entrent pas en ligne de compte pour le service du Seigneur. Remarquons cependant que le croyant est aujourd’hui enrôlé à la fois parmi les soldats et parmi les serviteurs. Il doit être apte comme Timothée à combattre «le bon combat de la foi» (1 Tim. 6:12 1tm 6.11-12) et en même temps, tel le jeune Archippe, il faut qu’il prenne garde au service qu’il a reçu du Seigneur (Col. 4:17 cl 4.17).
«Et il les fit marcher par les abîmes comme par le désert.» (Ps. 106:9) Nous entreprenons maintenant l’étude de la quatrième grande division du Pentateuque, ou des cinq livres de Moïse. Nous trouverons le caractère essentiel de ce livre aussi fortement marqué que celui des trois précédents qui nous ont déjà occupés. Dans le livre de la Genèse, après le récit de la création, du déluge et de la dispersion de Babel, nous avons l’élection, selon Dieu, de la semence d’Abraham. Dans le livre de l’Exode, nous trouvons la rédemption. Le Lévitique nous parle de la communion par le moyen du culte sacerdotal. Dans les Nombres, nous voyons la marche et la lutte au milieu du désert. Tels sont, dans ces très précieuses parties de l’inspiration, les sujets principaux, à côté desquels, comme on pouvait s’y attendre, plusieurs autres points du plus profond intérêt sont présentés. Le Seigneur, dans sa grande miséricorde, nous a conduits dans l’étude de la Genèse, de l’Exode et du Lévitique; et nous pouvons compter sur Lui pour être guidé dans l’examen du livre des Nombres. Que son Esprit dirige les pensées et conduise la plume, afin que nous n’émettions aucune opinion qui ne soit en rigoureux accord avec sa divine pensée. Puissent chaque page et chaque paragraphe porter le sceau de son approbation et contribuer, tout d’abord, à sa gloire, puis au profit durable du lecteur!
« Et l’Éternel parla à Moïse, au désert de Sinaï, dans la tente d’assignation, le premier [jour] du second mois de la seconde année après leur sortie du pays d’Égypte, disant: Relevez la somme de toute l’assemblée des fils d’Israël, selon leurs familles, selon leurs maisons de pères, suivant le nombre des noms, tous les mâles, par tête: depuis l’âge de vingt, ans et au-dessus, tous ceux d’Israël qui sont propres au service militaire, vous les compterez selon leurs armées, toi et Aaron. » (Chap. 1:1-3.)
Ici, nous nous trouvons, dès le principe, « dans le désert », où l’on ne tient compte que de ceux qui « sont propres au service militaire ». Cela est formellement signalé. Dans le livre de la Genèse, la semence d’Israël est présentée comme étant encore dans les reins de leur père Abraham. Dans le livre de l’Exode, les Israélites étaient auprès des fours à briques de l’Égypte. Dans le Lévitique, ils étaient assemblés autour du tabernacle d’assignation. Dans les Nombres, ils sont vus au désert. Ou bien encore, sous un autre point de vue en parfaite harmonie avec ce qui précède et le confirmant: dans la Genèse, nous entendons l’appel de Dieu en élection; dans l’Exode, nous contemplons le sang de l’Agneau versé pour la rédemption; dans le Lévitique, nous sommes presque exclusivement occupés du culte et du service du sanctuaire; mais à peine ouvrons-nous le livre des Nombres que nous y voyons figurer des hommes de guerre, des armées, dés étendards, des camps, des trompettes sonnant l’alarme.
Tout ceci est très caractéristique, et nous montre le livre que nous allons étudier comme ayant une valeur, une importance et un intérêt particuliers pour le chrétien. Chaque livre de la Bible, chaque division du canon inspiré a sa place propre et son objet distinct dans cette sainte galerie, chacun d’eux a, si j’ose m’exprimer ainsi, la niche qui lui, est assignée par son divin Auteur. Nous ne devons pas avoir un seul instant la pensée d’établir aucune comparaison entre ces diverses portions du Livre, sous le rapport de leur valeur intrinsèque, de leur intérêt et de leur importance. Tout est divin et par conséquent parfait. Le lecteur chrétien le croit pleinement et de tout son cœur. Il met avec révérence son sceau à la vérité de l’inspiration plénière des Saintes Écritures, de toute l’Écriture, et du Pentateuque entre autres, et il ne se laisse nullement ébranler sur ce sujet, par les attaques téméraires et impies des infidèles de l’antiquité, du moyen âge et des temps modernes. Les incrédules et les rationalistes peuvent mettre en avant leurs raisonnements profanes, montrant ainsi leur inimitié contre le Livre et contre son Auteur; mais le chrétien pieux se repose, en dépit de tout, dans l’assurance bienheureuse et simple « que toute écriture est inspirée de Dieu » (2 Tim. 3, 16).
Mais, tout en rejetant entièrement l’idée d’une comparaison entre les divers livres de la Bible, quant à leur autorité et à leur valeur, nous pouvons cependant, avec beaucoup de profit, comparer le contenu, le but et le plan de ces livres. Et plus nous méditerons profondément sur ces choses, plus nous serons fortement frappés de l’exquise beauté, de l’infinie sagesse et de la merveilleuse précision du volume entier et de chacune de ses divisions particulières. L’écrivain inspiré ne s’écarte jamais de l’objet direct du livre, quel que soit cet objet. On ne trouvera jamais, dans aucun livre de la Bible, rien qui ne soit dans la plus parfaite harmonie avec l’intention principale de ce livre. Si nous voulions développer et prouver cette assertion, il nous faudrait examiner tout le canon des Saintes Écritures; aussi ne l’essayerons-nous pas. Le chrétien intelligent n’a pas besoin de preuve, quelque intérêt qu’il pût y prendre. Il s’arrête au grand fait que le Livre est de Dieu, dans son entier et dans toutes ses parties; et son cœur est assuré qu’il n’y a pas, dans ce tout et dans chacune de ces parties, un seul iota ou un seul trait de lettre qui ne soit, à tous égards, digne du divin Auteur.
Écoutez les paroles suivantes de quelqu’un qui est profondément convaincu de la divine inspiration des Écritures que Dieu nous a données, qui est affermi dans cette conviction par les découvertes journalières et croissantes qu’il fait de leur plénitude, de leur profondeur et de leur perfection, et qui, par la grâce, est rendu toujours plus sensible, soit à l’admirable exactitude des parties, soit à la merveilleuse harmonie de l’ensemble: « Les Écritures ont une source vivante, dit cet écrivain, et une puissance vivante a présidé à leur composition; de là vient leur portée infinie et l’impossibilité d’y séparer une partie quelconque de sa relation avec le tout, parce qu’un seul Dieu est le centre vivant d’où tout découle; un seul Christ est le centre vivant autour duquel se groupent toutes ses vérités, et auquel elles se rapportent, quoique en des gloires variées; et un seul Esprit est la sève divine, qui porte son pouvoir de sa source en Dieu aux plus petites branches de la vérité qui unit tout, rendant témoignage à la gloire, à la grâce et à la vérité de Celui que Dieu présente comme le but, le centre et la tête de tout ce qui est en relation avec Lui-même; de Celui qui, en même temps, est Dieu sur toutes choses, béni éternellement…
Plus nous avons suivi cette sève jusqu’à son centre, d’où nous avons abaissé nos regards vers son étendue et son rayonnement, à partir des dernières ramifications de cette révélation de Dieu, par laquelle nous avons été atteints lorsque nous étions éloignés de Lui, plus aussi nous en découvrons l’infini et notre propre faiblesse de conception. Nous apprenons, béni soit Dieu, que l’amour, qui en est la source, se trouve dans une perfection sans mélange et dans le plein développement de ses manifestations qui sont parvenues jusqu’à nous, même dans notre état de ruine. Le même Dieu parfait en amour s’y montre partout. Mais les révélations de la sagesse divine dans les conseils par lesquels Dieu s’est fait connaître, demeurent à jamais pour nous un sujet de recherches, où chaque nouvelle découverte, en augmentant notre intelligence spirituelle, fait que l’infinité du tout, et la manière dont cette infinité surpasse toutes nos pensées, sont de plus en plus évidentes pour nous. »
Les versets ci-après ont été compilés pour votre édification et regroupés pour votre meilleure compréhension.
Premier recensement des Israélites :
- Recensement, dénombrement des Israélites
Nb 1.2 Faites le dénombrement de toute l’assemblée des enfants d’Israël, selon leurs familles, selon les maisons de leurs pères, en comptant par tête les noms de tous les mâles, Nb 26.2 Faites le dénombrement de toute l’assemblée des enfants d’Israël, depuis l’âge de vingt ans et au-dessus, selon les maisons de leurs pères, de tous ceux d’Israël en état de porter les armes. 2 S 24.2 Et le roi dit à Joab, qui était chef de l’armée et qui se trouvait près de lui: Parcours toutes les tribus d’Israël, depuis Dan jusqu’à Beer Schéba; qu’on fasse le dénombrement du peuple, et que je sache à combien il s’élève. Lc 2.1 En ce temps-là parut un édit de César Auguste, ordonnant un recensement de toute la terre.
- Guerriers
Nb 32.17 puis nous nous équiperons en hâte pour marcher devant les enfants d’Israël, jusqu’à ce que nous les ayons introduits dans le lieu qui leur est destiné; et nos petits enfants demeureront dans les villes fortes, à cause des habitants du pays. Jos 4.13 Donnez-leur cet ordre: Enlevez d’ici, du milieu du Jourdain, de la place où les sacrificateurs se sont arrêtés de pied ferme, douze pierres, que vous emporterez avec vous, et que vous déposerez dans le lieu où vous passerez cette nuit. 1 Ch 8.40 Les fils d’Ulam furent de vaillants hommes, tirant de l’arc; et ils eurent beaucoup de fils et de petits-fils, cent cinquante. Tous ceux-là sont des fils de Benjamin. 2 Ch 14.7 (14:7) Asa avait une armée de trois cent mille hommes de Juda, portant le bouclier et la lance, et de deux cent quatre-vingt mille de Benjamin, portant le bouclier et tirant de l’arc, tous vaillants hommes.
- Lévites, descendants de Lévi, ils avaient en charge le service du tabernacle, etc
Ex 32.26 Moïse se plaça à la porte du camp, et dit: A moi ceux qui sont pour l’Éternel! Et tous les enfants de Lévi s’assemblèrent auprès de lui. Nb 1.50 Remets aux soins des Lévites le tabernacle du témoignage, tous ses ustensiles et tout ce qui lui appartient. Ils porteront le tabernacle et tous ses ustensiles, ils en feront le service, et ils camperont autour du tabernacle. Nb 26.57 Voici les Lévites dont on fit le dénombrement, selon leurs familles: de Guerschon descend la famille des Guerschonites; de Kehath, la famille des Kehathites; de Merari, la famille des Merarites. Lc 10.32 Un Lévite, qui arriva aussi dans ce lieu, l’ayant vu, passa outre.
- Demeure (TABERNACLE)
Ex 25.8 Ils me feront un sanctuaire, et j’habiterai au milieu d’eux. Ex 26.1 Tu feras le tabernacle de dix tapis de fin lin retors, et d’étoffes teintes en bleu, en pourpre et en cramoisi; tu y représenteras des chérubins artistement travaillés. Ex 39.32 Ainsi furent achevés tous les ouvrages du tabernacle, de la tente d’assignation. Les enfants d’Israël firent tout ce que l’Éternel avait ordonné à Moïse; ils firent ainsi. Hb 9.11 Mais Christ est venu comme souverain sacrificateur des biens à venir; il a traversé le tabernacle plus grand et plus parfait, qui n’est pas construit de main d’homme, c’est-à-dire, qui n’est pas de cette création;
De tout ce qui précède, nous sentons qu’il est très nécessaire, dans nos notes et dans nos réflexions sur ce livre, aussi bien que sur les autres, de se rappeler deux choses, savoir d’abord le livre, et ensuite l’âme: le livre et son contenu, l’âme et ses besoins. Il est à craindre qu’étant préoccupé du premier, on n’oublie la seconde. D’un autre côté, il est à craindre aussi qu’étant absorbé par ce qui concerne l’âme, on n’oublie le livre. Il faut s’occuper des deux. Et nous pouvons dire que ce qui constitue un ministère efficace, soit écrit, soit oral, c’est l’accord judicieux de ces deux choses. Il y a des ministres qui étudient la Parole avec beaucoup de soin et peut-être très profondément. Ils sont très versés dans la connaissance de la Bible; ils ont amplement puisé à la source de l’inspiration. Tout cela est de la dernière importance et de la plus haute valeur. Sans cela un ministère sera tout à fait stérile. Si un homme n’étudie pas sa Bible avec soin et avec prière, il aura peu à donner à ses lecteurs ou à ses auditeurs, ou du moins peu qui soit digne d’être accepté. Ceux qui travaillent dans la Parole doivent creuser pour eux-mêmes, et « creuser profond ». Mais ensuite il faut prendre en considération l’âme, avoir égard à son état et satisfaire ses besoins. Si l’on perd cela de vue, l’enseignement manquera d’effet et de puissance. Il n’aura rien d’incisif, de pénétrant. Il sera insuffisant et sans fruit. Il faut, en un mot, que les deux choses soient réunies, combinées et bien proportionnées. Un homme qui se borne à étudier le livre ne sera point pratique; celui qui se borne à l’étude de l’âme sera au dépourvu; mais celui qui étudie dûment les deux sera un bon ministre de Jésus Christ. Nos prières vous y accompagnent tous.
PRIÈRE D’ACCEPTATION DE JESUS-CHRIST COMME SEIGNEUR ET SAUVEUR PERSONNEL
J’invite à présent toute personne qui veut devenir une nouvelle création en marchant dans la vérité, à faire avec moi la prière suivante :
Seigneur Jésus, j’ai longtemps marché dans les convoitises du monde en ignorant ton amour pour les humains. Je reconnais avoir péché contre toi et te demande pardon pour tous mes péchés, car aujourd’hui j’ai décidé de te donner ma vie en te prenant comme Seigneur et morts pour moi.
Je suis maintenant sauvé(e) et né(e) de nouveau par la puissance du Saint-Esprit. Conduis-moi chaque jour vers la vie éternelle que tu donnes à tous ceux qui obéissent à ta Parole. Révèle-toi à moi et fortifie mon coeur et ma foi, afin que ta lumière luise dans ma vie dès Sauveur personnel. Je reconnais que tu es mort à la croix du Calvaire et que tu es ressuscité des maintenant.
Merci, Seigneur Jésus de m’accepter dans ta famille divine, afin que je puisse aussi contempler les merveilles de ton royaume en marchant selon tes voies.
Je vais choisir maintenant un point d’eau tout proche où me baptiser par immersion, au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.
A toi toute l’adoration, la puissance et la gloire, maintenant et pour les siècles des siècles. Amen !
Je serais content de réagir à vos questions et commentaires éventuels, avant de partager avec vous demain « Ordre de campement des tribus d’Israël. » Nb 2.1
Que le Seigneur Jésus-Christ vous bénisse abondamment.
David Feze, Serviteur de l’Éternel des armées.