Bien-aimés, j’ai la joie de partager avec vous aujourd’hui le thème ci-dessus tiré de Ex 7.1 et suivants. En effet, dans le Ps 90.7-11 (Prière de Moïse, homme de Dieu), Moïse mentionne l’âge de 80 ans comme limite de vie pour un homme vigoureux. Pourtant c’est l’âge auquel lui-même va commencer son ministère (v. 7). Lorsque Dieu appelle un serviteur, il commence par annuler sa force naturelle; puis il fournit de nouvelles forces qui, d’une manière évidente, viennent de Lui. L’Éternel a fait connaître d’avance ses pensées à Moïse et à Aaron. Ce qui constituera des fléaux pour les Égyptiens (Ex 9.13-16) s’appelle signes par rapport au peuple de Dieu (v. 3) et comporte pour lui un enseignement moral. C’est ainsi que Dieu instruit les chrétiens au sujet du monde, de Satan et de ses pauvres victimes. Sa Parole fait connaître les « grands jugements » qui vont tomber sur les hommes sans repentance. Elle nous dit aussi comment il fera sortir son peuple racheté hors de ce monde pour l’introduire dans la patrie céleste (v. 4). Aussi, chers amis chrétiens, avertis de toutes ces choses, quelles gens devrions-nous être en sainte conduite et en piété! (2 P 3.10-13).
En présence du Pharaon et de ses serviteurs, les signes annoncés en Ex 4.1-9 sont opérés par Moïse et Aaron. Parlant de victoire sur Satan (le serpent) et sur le péché (la lèpre), nous pouvons y voir comme un résumé de l’évangile. Si les Égyptiens n’écoutent pas les deux premiers signes, avait dit l’Éternel à Moïse, il s’en produira alors un troisième bien solennel: celui de l’eau changée en sang. L’eau nous parle de ce qui rafraîchit et donne la vie, tandis que le sang répandu signifie la mort. La Parole a été donnée à l’homme pour le faire vivre. Mais s’il ne la reçoit pas et ne la croit pas, la même Parole deviendra pour lui le jugement et la mort (Jean 12.44-50). Elle proclame aujourd’hui la grâce, mais aussi le jugement, pour ceux qui ne la reçoivent pas. Chacun aura affaire à elle de l’une ou l’autre manière, maintenant pour la vie ou plus tard pour la mort!
Ce que l’Éternel a dit s’accomplit pour les Égyptiens. Le Nil, artère vitale de leur pays, et dont ils avaient fait un dieu, devient un objet de dégoût et de répulsion. Le sang remplit le fleuve, les canaux, les étangs et jusqu’aux récipients. Toutes les sources où le monde s’abreuve sont pestilentielles et mortelles (v. 18). Gardons-nous d’y boire! Cette fois encore les devins font de même par leurs sortilèges. Par le pouvoir de Satan, ils imitent ce qui produit la mort avec pour seul résultat d’augmenter la misère de leur peuple. Ils auraient bien davantage montré leur puissance en changeant le sang en eau. Mais cela, ils en étaient incapables. Ces cinq chapitres forment une partie distincte du livre de l’Exode; leur contenu peut être rangé sous les trois chefs suivants: les dix jugements de l’Éternel; la résistance de « Jannès et Jambrès »; et les quatre objections de Pharaon.
Tout le pays d’Égypte fut ébranlé sous les coups successifs de la verge de l’Éternel.
Tous, depuis le monarque assis sur son trône, jusqu’à la servante travaillant au moulin, durent sentir le terrible poids de cette verge. « Il envoya Moïse, son serviteur, Aaron qu’il avait choisi. Ils opérèrent au milieu d’eux ses signes, et des prodiges dans le pays de Cham. Il envoya des ténèbres, et fit une obscurité; et ils ne se rebellèrent pas contre sa parole. Il changea leurs eaux en sang, et fit mourir leurs poissons. Leur terre fourmilla de grenouilles, jusque dans les chambres de leurs rois. Il parla, et il vint des mouches venimeuses, et des moustiques dans tous leurs confins. Il leur donna pour pluie de la grêle, un feu de flammes dans leur pays; et il frappa leurs vignes et leurs, figuiers, et brisa les arbres de leur contrée. Il parla, et les sauterelles vinrent, et des yéleks sans nombre; et ils dévorèrent toutes les plantes dans leur pays, et dévorèrent le fruit de leur sol.
Et il frappa tout premier-né dans leur pays, les prémices de toute leur vigueur ». (Ps. 105:26-36). Ici, le psalmiste nous décrit en termes concis les terribles châtiments que, par la dureté de son cœur, Pharaon fit venir sur sa terre et sur son peuple. Ce superbe monarque avait entrepris de résister à la volonté souveraine et à la marche du Dieu Très-Haut, et comme juste conséquence de cet acte, il fut judiciairement aveuglé et endurci. « Et l’Éternel endurcit le cœur du Pharaon, et il ne les écouta pas, comme l’Éternel avait dit à Moïse. Et l’Éternel dit à Moïse: Lève-toi de boit matin, et tiens-toi devant le Pharaon, et dis-lui: Ainsi dit l’Éternel, le Dieu des Hébreux: Laisse aller mon peuple, pour qu’ils me servent; car cette fois j’envoie toutes mes plaies dans ton cœur, et sur tes serviteurs et sur ton peuple, afin que tu saches que nul n’est comme moi, sur toute la terre; car maintenant, j’étendrai ma main, et je te frapperai de peste, toi et ton peuple, et tu seras exterminé de dessus la terre. Mais je t’ai fait subsister pour ceci, afin de te faire voir ma puissance, et pour que mon nom soit publié dans toute la terre ». (Exo. 9:12-16).
En considérant Pharaon et ses actes, l’âme se transporte au milieu des scènes émouvantes de l’Apocalypse, qui nous font voir le dernier orgueilleux oppresseur du peuple de Dieu, faisant descendre sur son royaume et sur lui-même les sept coupes de la colère du Tout-Puissant. Dieu, dans ses desseins, a voulu qu’Israël ait la prééminence sur la terre; il faut donc que quiconque a la prétention de s’opposer à cette prééminence soit mis de côté. Il faut que la grâce divine trouve son objet; et quiconque entreprendrait d’opposer une barrière à cette grâce doit être « ôté »; que ce soit l’Égypte, Babylone, ou « la Bête qui était, et qui n’est plus et qui sera » (Apoc. 17:8), peu importe. La puissance divine ouvrira la voie, afin que la grâce divine puisse couler, et une malédiction éternelle sera sur tous ceux qui y mettront obstacle. Ils savoureront, pendant toute l’éternité du siècle des siècles, le fruit amer de leur rébellion contre « l’Éternel, le Dieu des Hébreux ». Il a dit à son peuple: « Aucun instrument formé contre toi ne réussira » (És. 54:17), et son immuable fidélité accomplira très certainement ce que sa grâce infinie a promis. Ainsi, quand Pharaon persista à retenir de sa main de fer l’Israël de Dieu, les coupes de la colère divine furent répandues sur lui, et le pays d’Égypte tout entier fut couvert de ténèbres, de maladies et de désolation. Il en sera bientôt de même du grand et dernier oppresseur, alors qu’il sortira de l’abîme sans fond, armé de la puissance satanique, pour écraser sous le « pied de l’orgueil » (Ps. 36:12) ceux que l’Éternel s’est choisis pour objets de sa faveur. Son trône sera renversé, son royaume dévasté par les sept dernières plaies, et finalement il sera lui-même plongé, non dans la mer Rouge, mais « dans l’étang de feu et de soufre » (Ap 17.8; 20.10).
Pas un trait ou un iota de ce que Dieu a promis à Abraham, à Isaac et à Jacob ne passera sans être accompli. Dieu accomplira tout. Malgré tout ce qui a été dit ou fait en sens contraire, Dieu se souvient de ses promesses, et il les accomplira. Toutes ses promesses sont « oui et amen dans le Christ Jésus » (2 Co 1.20). Nous avons à considérer maintenant, en second lieu l’opposition de « Jannès et de Jambrès », les magiciens égyptiens. Nous n’aurions pas connu les noms de ces anciens antagonistes de la vérité de Dieu, s’ils n’eussent été nommés par le Saint Esprit, en relation avec les « temps fâcheux », au sujet desquels l’apôtre Paul avertit son enfant Timothée. Il est important que le lecteur chrétien comprenne bien la vraie nature de la résistance opposée à Moïse par ces magiciens; et afin qu’il ait une vue complète du sujet, je rapporterai en entier le passage de l’épître de Paul à Timothée. Il est profondément sérieux et solennel.
De tout ceci nous apprenons que la résistance la plus satanique au témoignage de Dieu dans le monde vient de ceux qui, bien qu’ils imitent les effets de la vérité, n’ont que « la forme de la piété » et « en renient la puissance » (2 Tim 3.5). Ces gens-là peuvent faire les mêmes choses, adopter les mêmes habitudes et les mêmes formes, employer le même langage, et professer les mêmes opinions que d’autres. Si le vrai chrétien, pressé par l’amour du Christ, donne à manger à celui qui a faim; donne des habits à celui qui est nu; visite les malades; répand les Écritures; distribue des traités; prie, chante des cantiques, défend et prêche l’Évangile, le formaliste peut faire tout cela; et, qu’on y prenne garde, c’est là le caractère spécial de la résistance opposée à la vérité « dans les derniers jours »; c’est là l’esprit de Jannès et de Jambrès. Combien il est nécessaire de comprendre cette sérieuse vérité! Combien il importe de se souvenir que « de la même manière que Jannès et Jambrès résistèrent à Moïse, ainsi » ces professants, amateurs d’eux-mêmes, du monde et des plaisirs, « résistent à la vérité ». Ils ne voudraient pas être sans « une forme de piété! » mais tout en adoptant la forme parce qu’elle est entrée dans les usages, ils en haïssent « la puissance », parce qu’elle implique le renoncement à soi-même. « La puissance de la piété » implique la reconnaissance des droits de Dieu, l’établissement de son royaume dans le cœur et, comme conséquence, la manifestation de ces choses dans le caractère et la vie tout entière; mais le formaliste ignore tout cela. « La puissance » de la piété ne pourrait jamais s’accorder avec aucun des hideux caractères que le passage de l’épître à Timothée cité plus haut, nous signale; mais « la forme », tout en les cachant, les laisse vivants et insoumis, et c’est à quoi le formaliste prend plaisir.
Les versets ci-après ont été compilés pour votre édification et regroupés pour votre meilleure compréhension.
Dieu renouvelle sa promesse à Moïse :
- Élévation des saints promise
Ps 91.14 Puisqu’il m’aime, je le délivrerai; Je le protégerai, puisqu’il connaît mon nom. Esa 58.14 Alors tu mettras ton plaisir en l’Éternel, Et je te ferai monter sur les hauteurs du pays, Je te ferai jouir de l’héritage de Jacob, ton père; Car la bouche de l’Éternel a parlé. Lc 19.17 Il lui dit: C’est bien, bon serviteur; parce que tu as été fidèle en peu de chose, reçois le gouvernement de dix villes. Ap 3.21Celui qui vaincra, je le ferai asseoir avec moi sur mon trône, comme moi j’ai vaincu et me suis assis avec mon Père sur son trône.
- Puissance spirituelle, références générales
-Donne aux hommes le courage de repousser le péché Mi 3.8 Mais moi, je suis rempli de force, de l’esprit de l’Éternel, Je suis rempli de justice et de vigueur, Pour faire connaître à Jacob son crime, Et à Israël son péché.
-Plus forte que la force physique Zac 4.6 Alors il reprit et me dit: C’est ici la parole que l’Éternel adresse à Zorobabel: Ce n’est ni par la puissance ni par la force, mais c’est par mon esprit, dit l’Éternel des armées.
-Jésus, l’exemple suprême Lc 4.14 Jésus, revêtu de la puissance de l’Esprit, retourna en Galilée, et sa renommée se répandit dans tout le pays d’alentour.
-Accompagne le baptême du Saint-Esprit Ac 1.8 Mais vous recevrez une puissance, le Saint Esprit survenant sur vous, et vous serez mes témoins à Jérusalem, dans toute la Judée, dans la Samarie, et jusqu’aux extrémités de la terre.
-Permet aux hommes de parler avec autorité Ac 4.33 Les apôtres rendaient avec beaucoup de force témoignage de la résurrection du Seigneur Jésus. Et une grande grâce reposait sur eux tous.
-Permet d’accomplir de grands miracles de guérison Ac 19.11-12 Et Dieu faisait des miracles extraordinaires par les mains de Paul, 12 au point qu’on appliquait sur les malades des linges ou des mouchoirs qui avaient touché son corps, et les maladies les quittaient, et les esprits malins sortaient.
- Hommes de Dieu, instruments choisis pour accomplir les desseins de Dieu
Ag 2.23 En ce jour-là, dit l’Éternel des armées, Je te prendrai, Zorobabel, fils de Schealthiel, Mon serviteur, dit l’Éternel, Et je te garderai comme un sceau; Car je t’ai choisi, dit l’Éternel des armées. Jn 15.16 Ce n’est pas vous qui m’avez choisi; mais moi, je vous ai choisis, et je vous ai établis, afin que vous alliez, et que vous portiez du fruit, et que votre fruit demeure, afin que ce que vous demanderez au Père en mon nom, il vous le donne. Ac 9.15 Mais le Seigneur lui dit: Va, car cet homme est un instrument que j’ai choisi, pour porter mon nom devant les nations, devant les rois, et devant les fils d’Israël; 1 Co 1.27-29 Mais Dieu a choisi les choses folles du monde pour confondre les sages; Dieu a choisi les choses faibles du monde pour confondre les fortes; 28 et Dieu a choisi les choses viles du monde et celles qu’on méprise, celles qui ne sont point, pour réduire à néant celles qui sont, 29 afin que nulle chair ne se glorifie devant Dieu.
- Cécité spirituelle, infligée(jugement)
Esa 6.10 Rends insensible le coeur de ce peuple, Endurcis ses oreilles, et bouche-lui les yeux, Pour qu’il ne voie point de ses yeux, n’entende point de ses oreilles, Ne comprenne point de son coeur, Ne se convertisse point et ne soit point guéri. Esa 29.10 Car l’Éternel a répandu sur vous un esprit d’assoupissement; Il a fermé vos yeux (les prophètes), Il a voilé vos têtes (les voyants). Mc 4.12 afin qu’en voyant ils voient et n’aperçoivent point, et qu’en entendant ils entendent et ne comprennent point, de peur qu’ils ne se convertissent, et que les péchés ne leur soient pardonnés. Jn 12.40 Il a aveuglé leurs yeux; et il a endurci leur coeur, De peur qu’ils ne voient des yeux, Qu’ils ne comprennent du coeur, Qu’ils ne se convertissent, et que je ne les guérisse.
De tout ce qui précède, nous notons qu’il faut que, dans la puissance de la mort et de la résurrection, nous soyons complètement hors de l’Égypte; alors, et seulement alors, nous connaîtrons ce qu’est réellement le service du Seigneur. C’est quand, par la foi, nous prenons place dans ces riches et glorieux parvis, dans lesquels le précieux sang de Christ nous introduit; c’est quand nous regardons autour de nous et que nous contemplons les résultats variés, excellents et merveilleux de l’amour qui nous a rachetés; c’est quand nous considérons attentivement la personne de Celui qui nous a introduits dans ce lieu et qui nous a fait don de toutes ces richesses, que nous sommes pressés de dire avec le poète: Que mettre aux pieds d’un tel amour? Que donner au Seigneur pour sa grâce infinie? Ah! ma vie et mon cœur sont à lui sans retour. « Il n’en restera pas un ongle »; ce sont de nobles paroles! L’Égypte n’est pas le lieu de quoi que ce soit qui appartienne aux rachetés de Dieu: Dieu est digne de tout; « corps, âme, esprit », tout ce que nous sommes, tout ce que nous avons lui appartient. « Vous n’êtes pas à vous-mêmes, car vous avez été achetés à prix » (1 Co 6.19-20); et c’est notre heureux privilège de nous consacrer nous-mêmes, avec tout ce que nous possédons, à Celui auquel nous appartenons et que nous sommes appelés à servir. Il n’y a rien ici d’un esprit légal. Les paroles: « jusqu’à ce que nous soyons parvenus là », sont notre sauvegarde contre ce mal affreux. Nous avons fait « le chemin de trois jours », avant qu’un seul mot relatif au sacrifice se soit fait entendre ou ait pu être compris; nous sommes mis en possession pleine et incontestée de la vie de résurrection et de la justice éternelle; nous avons quitté ce pays de mort et de ténèbres; nous avons été amenés à Dieu lui-même, en sorte que nous pouvons jouir de lui, dans la puissance de cette vie qu’il nous a donnée, et dans cette sphère de justice dans laquelle nous avons été placés: servir devient ainsi notre joie. Il n’y a pas dans le cœur une seule affection dont Dieu ne soit digne; il n’y a pas, dans tout le troupeau, de sacrifice trop précieux pour son autel. Plus nous marcherons près de lui et dans une communion intime avec lui, plus aussi nous estimerons que notre nourriture et notre breuvage sont de faire sa sainte volonté. Le croyant considère comme son plus grand privilège, de servir le Seigneur. Il prend son plaisir dans tout exercice et toute manifestation de la nature divine. Il ne marche pas chargé d’un lourd et pénible joug. Son joug est rompu « à cause de l’onction » (Ésaïe 10.27); son fardeau a été ôté pour toujours par le sang de la croix, tandis que lui-même, il s’avance « racheté, régénéré et affranchi », en vertu de ces consolantes et encourageantes paroles: « Laisse aller mon peuple ». Nos prières vous y accompagnent tous.
PRIÈRE D’ACCEPTATION DE JESUS-CHRIST COMME SEIGNEUR ET SAUVEUR PERSONNEL
J’invite à présent toute personne qui veut devenir une nouvelle création en marchant dans la vérité, à faire avec moi la prière suivante :
Seigneur Jésus, j’ai longtemps marché dans les convoitises du monde en ignorant ton amour pour les humains. Je reconnais avoir péché contre toi et te demande pardon pour tous mes péchés, car aujourd’hui j’ai décidé de te donner ma vie en te prenant comme Seigneur et Sauveur personnel. Je reconnais que tu es mort à la croix du Calvaire et que tu es ressuscité des morts pour moi.
Je suis maintenant sauvé(e) et né(e) de nouveau par la puissance du Saint-Esprit. Conduis-moi chaque jour vers la vie éternelle que tu donnes à tous ceux qui obéissent à ta Parole. Révèle-toi à moi et fortifie mon coeur et ma foi, afin que ta lumière luise dans ma vie dès maintenant.
Merci, Seigneur Jésus de m’accepter dans ta famille divine, afin que je puisse aussi contempler les merveilles de ton royaume en marchant selon tes voies.
Je vais choisir maintenant un point d’eau tout proche où me baptiser par immersion, au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.
A toi toute l’adoration, la puissance et la gloire, maintenant et pour les siècles des siècles. Amen !
Je serais content de réagir à vos questions et commentaires éventuels, avant de partager avec vous demain « Deuxième fléau : les grenouilles » (Ex 8)
Que le Seigneur Jésus-Christ vous bénisse abondamment.
David Feze, Serviteur de l’Éternel des armées.