Bien-aimés, j’ai la joie de partager avec vous aujourd’hui le thème ci-dessus tiré de Ga 4.1 et suivants. En effet, Dieu avait donné bien autre chose que la Loi: des promesses inconditionnelles. Elles provenaient de son amour et de sa joie à bénir tant les nations que les Juifs. Mépriser un tel don, c’était mépriser son amour. Prétendre par exemple payer un cadeau que l’on reçoit, c’est offenser le donateur. Combien le cœur de Dieu s’afflige en particulier de voir tant de chrétiens oublier la liberté de l’Esprit pour substituer à celle-ci de pauvres et fastidieuses pratiques. Qu’est-ce que cela prouve? Que ces enfants de Dieu connaissent bien mal leur Père céleste. On comprend qu’un inconverti se contente de “faibles et misérables principes” parce qu’il n’a rien de meilleur. “Mais maintenant ayant connu Dieu”, et étant connus de lui(1 Co 8.1-4), ne nous laissons plus asservir et ne tolérons rien qui soit indigne de Lui. Ayons pleine confiance en son amour.

Ensuite, l’apôtre interrompt son exposé pour parler au cœur de ses Galates bien-aimés. Il sait remettre en mémoire leur bienveillance, leur dévouement pour lui. Mais, les affections que l’absence refroidit sont de faibles affections. Les convictions qui se laissent entamer sitôt le départ du serviteur de Dieu sont de faibles convictions. Qu’en est-il de notre amour chrétien? Et qu’en est-il de notre foi?L’apôtre est plein d’angoisse et de perplexité. Son patient travail est-il anéanti(Ga 4.8-11)? Il se voit contraint de reprendre avec les Galates les premiers rudiments de l’évangile. Profitons-en pour les réapprendre avec eux. Car si Paul déplore de ne pas pouvoir enseigner de vive voix ses enfants spirituels(Ga 4.20), nous en comprenons le motif: Dieu voulait nous donner cette lettre.

Pourtant, direz-vous, nous ne courons guère aujourd’hui le danger de nous replacer sous la Loi. Chaque fois que nous nous complaisons dans notre conduite avec l’impression que Dieu nous doit quelque chose, ce n’est ni plus ni moins que du légalisme. Chaque fois que nous prenons une résolution sans compter sur le Seigneur, chaque fois que nous nous comparons aux autres à notre avantage, nous montrons cet esprit de propre justice, ennemi déclaré de la grâce(Ga 4.29). Pour illustrer cette inimitié, Paul évoque les deux fils d’Abraham. Isaac, fils de la promesse, est seul à pouvoir hériter. Ismaël, enfant selon la chair, issu d’Agar l’esclave, n’a aucun droit aux richesses et aux bénédictions paternelles. Appartenons-nous tous à la Jérusalem d’en haut? Avec Abraham, Isaac, Jacob, sommes-nous “cohéritiers de la même promesse”: la Cité céleste(Ga 4.26; He 11.8-16)?

C’est ici que l’apôtre nous montre, comme nous l’avons déjà observé dans l’introduction, l’incompatibilité absolue de la religion de la chair avec la religion de l’Esprit. Les principes de la première sont exactement les mêmes dans le judaïsme que dans le paganisme; les principes de la seconde sont basés sur la foi et sur la grâce, la chair ayant été définitivement condamnée à la croix de Christ. Du reste, l’Esprit de Dieu reviendra sur ce sujet quand il s’agira, au chap. 5, des exhortations qui découlent de la doctrine exposée aux chap. 3 et 4.

L’apôtre fait ressortir maintenant les points de contact entre la religion du juif sous la loi et celle du gentil encore plongé dans l’idolâtrie. D’abord, qu’est-ce que les croyants juifs étaient avant qu’ils fussent unis en un seul corps aux Gentils et avant le don du Saint Esprit? Eux, tous les disciples avant la résurrection et le don du Saint Esprit à la Pentecôte, étaient encore en bas âge, comme du reste tous les croyants juifs sous la loi, avant la formation de l’Église. Quoique destinés à hériter de tout, ils ne différaient en rien d’un esclave. Leur dignité future était cachée. Ils attendaient l’époque, fixée par le Père, où ils seraient déclarés héritiers par Lui.

Quel contraste entre ce passage et la description d’un chrétien affranchi dans Ga 3.27-29. Et l’on voudrait vous faire retourner à l’enfant qui “ne diffère en rien d’un esclave”, vous, fils de Dieu, ayant “revêtu Christ”! Il n’est nullement question ici de mépriser les privilèges juifs que Dieu a accordés à son peuple, mais il nous est montré que ce que ce peuple possédait était un temps d’attente avant un tout autre but que de lui acquérir une justice.

Or les Juifs aussi étaient auparavant asservis sous “les éléments du monde”. Ces éléments étaient les mêmes chez un Juif que chez un idolâtre qui, tout en étant asservi à ses idoles, avait les mêmes principes pour se les rendre propices. Ces éléments, les voici: Il fallait observer certains jours et certaines fêtes dans ce but; il fallait ensuite s’abstenir(Col 2.21) de certaines choses. Ces deux prescriptions parlaient de notions entièrement étrangères à la pensée de Dieu, mais que Celui-ci admettait pour convaincre l’homme de son état de péché. Car elles étaient bâties sur trois principes: l° L’homme est perfectible. Il peut se corriger et s’améliorer parce qu’il y a du bien en lui. 2° Il peut donc s’approcher de Dieu et acquérir une justice que Dieu puisse accepter. 3° Le monde n’est pas condamné.

Or, le chrétien est mort avec Christ à tous les éléments du monde. À tout cela on trouve une réponse dans l’état chrétien tel qu’il nous est décrit plus loin. Il y a eu un moment où cet état provisoire a pris ouvertement fin: “L’accomplissement du temps est venu” par l’envoi du côté de Dieu de “son Fils, né de femme, né sous la loi, afin qu’il rachetât ceux qui étaient sous la loi, afin que nous reçussions l’adoption.” Ce mot: “Recevoir l’adoption” a une portée qui dépasse de beaucoup les bénédictions juives. De là le mot “nous reçussions”. Car Juifs et Gentils recevaient la position de fils comme don gratuit de Dieu lui-même, car le Juif était sous la loi dans la position d’un esclave, et le gentil n’avait aucun droit quelconque à la bénédiction. Du moment que Juifs et Gentils sont devenus fils par la foi en l’œuvre de Christ, la jouissance de cette relation est établie. Car Dieu envoie l’Esprit de son Fils dans nos cœurs et cette relation est tellement intime et complète que nous pouvons, de la même manière que notre Seigneur Lui-même, crier: Abba, Père!(Rm 8.15). Nous ne sommes pas laissés à notre appréciation personnelle qui pourrait nous tromper, mais l’Esprit en nous, qui est un Esprit d’adoption, rend témoignage que nous sommes enfants de Dieu. En sorte que nous ne sommes plus des esclaves comme les Juifs, mais nous sommes tous, juifs et gentils, des fils et aussi des héritiers, faits tels par Dieu lui-même.

Et l’apôtre de revenir aux Gentils, en disant: Vous étiez jadis asservis à ceux qui, par leur nature, étaient des “non-dieux”(2 Ch 13.9). Ils pouvaient avoir une religion, une sacrificature, plus ou moins de connaissance des pensées de Dieu, comme on l’a vu dans le cas de Jéroboam et des dix tribus, ils n’en étaient pas moins asservis aux idoles, ce qu’on ne pouvait nullement dire d’un juif. Seulement ces Gentils, Galates, ayant été convertis, avaient connu Dieu, car leur connaissance était très imparfaite, étaient connus de Dieu et lui appartenaient comme ses enfants; mais comment retournaient-ils aux faibles et misérables éléments auxquels ils voulaient derechef être asservis? Le fait est qu’ils possédaient, tout en étant idolâtres, les mêmes faibles et misérables éléments religieux du monde, que les Juifs. 

Car ceux qui les y ramenaient étaient ces faux frères sortis du judaïsme. Ils observaient des jours et des mois, et des temps et des années, auxquels ils avaient obéi autrefois, et retournaient à leur condition première, en sorte que le travail de l’apôtre était inutile à leur égard. Or il est de toute importance de noter que les principes de la chrétienté actuelle, quand ils ne sont pas la négation de la parole de Dieu, prélude de l’apostasie finale, ne diffèrent en rien des éléments du monde, tels que le judaïsme ou le paganisme nous les présentent dans cette épître. Du moment qu’on est arrivé, on abandonne ses vains efforts, pour être fait justice de Dieu en Christ. Car toute la religion de la chrétienté qui nous entoure est bâtie sur ces principes-là. Toutes les “œuvres de relèvement” n’ont pas d’autre origine. Il faut à l’homme, comme pour le fils prodigue, une parole divine lui enseignant qu’il est perdu et bien plus encore qu’il est mort(Luc 15.24). Un homme mort ne fait pas d’efforts pour revenir à la vie, mais il jouit de la vie toute nouvelle que la grâce lui offre en Christ.

Les versets ci-après ont été compilés pour votre édification et regroupés pour votre meilleure compréhension.

Tu n’es plus esclave, mais fils:

  • Immaturité spirituelle

-Incapacité à recevoir une doctrine solide  1 Co 3.1-2 Pour moi, frères, ce n’est pas comme à des hommes spirituels que j’ai pu vous parler, mais comme à des hommes charnels, comme à des enfants en Christ. 2 Je vous ai donné du lait, non de la nourriture solide, car vous ne pouviez pas la supporter; et vous ne le pouvez pas même à présent, parce que vous êtes encore charnels.

-Nécessité d’être enseigné  Ga 4.1-3 Or, aussi longtemps que l’héritier est enfant, je dis qu’il ne diffère en rien d’un esclave, quoiqu’il soit le maître de tout; 2 mais il est sous des tuteurs et des administrateurs jusqu’au temps marqué par le père. 3 Nous aussi, de la même manière, lorsque nous étions enfants, nous étions sous l’esclavage des rudiments du monde;

-Instabilité de la foi  Ep 4.14 afin que nous ne soyons plus des enfants, flottants et emportés à tout vent de doctrine, par la tromperie des hommes, par leur ruse dans les moyens de séduction,

-Continuer dans les principes élémentaires  Hb 5.12 Vous, en effet, qui depuis longtemps devriez être des maîtres, vous avez encore besoin qu’on vous enseigne les premiers rudiments des oracles de Dieu, vous en êtes venus à avoir besoin de lait et non d’une nourriture solide. 1 P 2.2 désirez, comme des enfants nouveau-nés, le lait spirituel et pur, afin que par lui vous croissiez pour le salut,

  • Accomplissement du temps 

Dn 9.24 Soixante-dix semaines ont été fixées sur ton peuple et sur ta ville sainte, pour faire cesser les transgressions et mettre fin aux péchés, pour expier l’iniquité et amener la justice éternelle, pour sceller la vision et le prophète, et pour oindre le Saint des saints. Mc 1.15 Il disait: Le temps est accompli, et le royaume de Dieu est proche. Repentez-vous, et croyez à la bonne nouvelle. Ga 4.4 mais, lorsque les temps ont été accomplis, Dieu a envoyé son Fils, né d’une femme, né sous la loi, Ep 1.10 pour le mettre à exécution lorsque les temps seraient accomplis, de réunir toutes choses en Christ, celles qui sont dans les cieux et celles qui sont sur la terre. 1 Tim 2.6 qui s’est donné lui-même en rançon pour tous. C’est là le témoignage rendu en son propre temps; Tt 1.3 et qui a manifesté sa parole en son temps par la prédication qui m’a été confiée d’après l’ordre de Dieu notre Sauveur, -; Hb 9.26 autrement, il aurait fallu qu’il eût souffert plusieurs fois depuis la création du monde, tandis que maintenant, à la fin des siècles, il a paru une seul fois pour abolir le péché par son sacrifice.

  • Héritiers spirituels, bénédictions promises:

-Connaissance  Os 6.3 Connaissons, cherchons à connaître l’Éternel; Sa venue est aussi certaine que celle de l’aurore. Il viendra pour nous comme la pluie, Comme la pluie du printemps qui arrose la terre.

-Lumière spirituelle  Jn 8.12 Jésus leur parla de nouveau, et dit: Je suis la lumière du monde; celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais il aura la lumière de la vie.

-Direction, grâce à Sa voix  Jn 12.26 Si quelqu’un me sert, qu’il me suive; et là où je suis, là aussi sera mon serviteur. Si quelqu’un me sert, le Père l’honorera. Jn 21.23 Là-dessus, le bruit courut parmi les frères que ce disciple ne mourrait point. Cependant Jésus n’avait pas dit à Pierre qu’il ne mourrait point; mais: Si je veux qu’il demeure jusqu’à ce que je vienne, que t’importe? Ep 5.1 Devenez donc les imitateurs de Dieu, comme des enfants bien-aimés;

-Un exemple divin  1 P 2.21 Et c’est à cela que vous avez été appelés, parce que Christ aussi a souffert pour vous, vous laissant un exemple, afin que vous suiviez ses traces; Ap 14.4 Ce sont ceux qui ne se sont pas souillés avec des femmes, car ils sont vierges; ils suivent l’agneau partout où il va. Ils ont été rachetés d’entre les hommes, comme des prémices pour Dieu et pour l’agneau;

  • Dispensation supérieure à l’ancienne

Hb 7.19 -car la loi n’a rien amené à la perfection, -et introduction d’une meilleure espérance, par laquelle nous nous approchons de Dieu. Hb 8.6 Mais maintenant il a obtenu un ministère d’autant supérieur qu’il est le médiateur d’une alliance plus excellente, qui a été établie sur de meilleures promesses. Hb 9.23 Il était donc nécessaire, puisque les images des choses qui sont dans les cieux devaient être purifiées de cette manière, que les choses célestes elles-mêmes le fussent par des sacrifices plus excellents que ceux-là. Hb 11.40 Dieu ayant en vue quelque chose de meilleur pour nous, afin qu’ils ne parvinssent pas sans nous à la perfection. Hb 12.22, 27 Mais vous vous êtes approchés de la montagne de Sion, de la cité du Dieu vivant, la Jérusalem céleste, des myriades qui forment le choeur des anges, 27 Ces mots: Une fois encore, indiquent le changement des choses ébranlées, comme étant faites pour un temps, afin que les choses inébranlables subsistent.

De tout ce qui précède, nous notons qu’il y a une Jérusalem d’en haut; ce n’est pas la Jérusalem céleste ou l’Église; mais une seconde alliance, d’origine céleste, qui n’a aucune relation avec Sinaï. Cette femme libre est notre mère. C’est elle, la nouvelle alliance, qui nous a enfantés. Nous sommes sortis d’elle, de la libre alliance de la grâce. Sara, femme d’Abraham, a enfanté Isaac selon la promesse. Comme Sara était stérile, nous n’aurions jamais pu être ses enfants sans la promesse. Or, pareils à Isaac, nous sommes enfants de promesse et cette femme libre est notre mère, car il est écrit en Es 54.1-2: “Exulte, stérile, qui n’enfantais pas; éclate en chants de triomphe, et pousse des cris de joie, toi qui n’as pas été en travail! car les fils de la désolée sont plus nombreux que les fils de la femme mariée, dit l’Éternel”. Dans ce passage, la femme stérile n’enfantait pas, n’avait pas été en travail, pareille à Sara, avant que la promesse lui fût donnée, mais les fils de la désolée, de Jérusalem coupable et abandonnée de Dieu, sont plus nombreux que les enfants de celle qui a un mari, de Jérusalem reconnue sous la première alliance comme épouse de l’Éternel à condition d’obéissance, ce à quoi le peuple avait manqué dès le premier pas sous la loi. Il ne restait de ressource que d’être enfant de la promesse; aussi la porte était-elle ouverte aux Gentils. Mais, c’était le caractère de ceux qui ramenaient ces Galates à la loi, ils persécutaient ceux qui étaient nés selon l’Esprit, car ils étaient nés selon la chair. Tel est le seul rôle de la chair dans toute cette religion, et il restera le seul jusqu’au bout. Aussi que dit l’Écriture? “Chasse la servante et son fils, car le fils de la servante n’héritera point avec le fils de la femme libre”(Gn 21.10-12). Il n’y a pas d’héritage commun entre eux. Ceux qui avaient été amenés par le ministère de l’apôtre, n’avaient rien de commun avec ceux dont il est parlé dans ce passage, car ils étaient tous fils de la femme libre, tandis que les autres étaient engendrés dans l’esclavage. Au moment de terminer, la Jérusalem d’en haut n’est point, comme nous l’avons dit, la Jérusalem céleste, mais la Jérusalem fondée sur la grâce d’origine divine, et non sur la loi. Il en est de même en Ap 12 de la femme, Israël selon les pensées de Dieu, vue en haut et engendrant le Messie. Telle sera du reste la Jérusalem future pendant le millénium, ce que montre le passage d’Esaïe 54. Il montre en même temps que c’est pendant la stérilité de Jérusalem délaissée que ses enfants lui sont nés. Elle sera rétablie sous la grâce, deviendra donc la femme libre, notre mère, mais c’est pendant son abandon sous la loi que ses enfants lui sont nés. Que le Sauveur vous aide tous dans la compréhension de ce mystère. Nos prières vous soutiennent dans vos efforts de tous devenir enfants de Dieu.

PRIERE D’ACCEPTATION DE JESUS-CHRIST COMME SEIGNEUR ET SAUVEUR PERSONNEL

J’invite à présent toute personne qui veut devenir une nouvelle création en marchant dans la vérité, à faire avec moi la prière suivante :  

Seigneur Jésus, j’ai longtemps marché dans les convoitises du monde en ignorant ton amour pour les humains. Je reconnais avoir péché contre toi et te demande pardon pour tous mes péchés, car aujourd’hui j’ai décidé de te donner ma vie en te prenant comme Seigneur et Sauveur personnel. Je reconnais que tu es mort à la croix du Calvaire et que tu es ressuscité des morts pour moi. 

Je suis maintenant sauvé(e) et né(e) de nouveau par la puissance du Saint-Esprit. Conduis-moi chaque jour vers la vie éternelle que tu donnes à tous ceux qui obéissent à ta Parole. Révèle-toi à moi et fortifie mon coeur et ma foi, afin  que ta lumière luise dans ma vie dès maintenant.

Merci Seigneur Jésus de m’accepter dans ta famille divine, afin que je puisse aussi contempler les merveilles de ton royaume.

Je vais choisir maintenant un point d’eau tout proche où me baptiser par immersion, au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.

A toi toute l’adoration, la puissance et la gloire, maintenant et pour les siècles des siècles. Amen !

Je serais content de réagir à vos questions et commentaires éventuels, avant de partager avec vous demain sur “la liberté chrétienne; les œuvres de la chair et le fruit de l’Esprit.”

Que le Seigneur Jésus-Christ vous bénisse abondamment.

David Feze, Serviteur de l’Eternel des armées. 

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