Bien-aimés, j’ai la joie de partager avec vous aujourd’hui le thème ci-dessus tiré de 2 Co 6.1, 2 et suivants. En effet, “Une grande patience”, voilà ce que recommande le serviteur de Dieu(c’est-à-dire chaque croyant). Mieux que tout discours, la manière dont Paul endurait ses épreuves démontrait la valeur de son évangile. Car il souffrait pour quelque chose qui en valait la peine. Quel homme étrange que le chrétien! Il a en quelque sorte deux faces. Aux yeux du monde, il paraît dans l’ignominie, imposteur, inconnu… attristé, pauvre, n’ayant rien. Et qu’est-il devant Dieu? : Véritable, bien connu, vivant, toujours joyeux, enfin possédant toutes choses! C’est son vrai visage.

Car les exhortations qui suivent peuvent paraître étroites et sévères. Mais elles procèdent du cœur large de l’apôtre. Le mot de séparation nous rebute, et pourtant qui dit sainteté dit séparation pour Dieu(Lev 20.25-27). Car achever l’une équivaut nécessairement à pratiquer l’autre: a)Séparation du monde… et les versets 14 et 15 ne s’appliquent pas seulement à tel projet de mariage mal assorti. b)Séparation du monde religieux(versets 16 à 18); elle offre des compensations incomparables: l’expérience de la présence du Seigneur Jésus «au milieu» des siens et de relations bénies avec Dieu notre Père. c)Enfin, séparation du mal sous toutes ses formes.

Or le thème précédent nous a entretenus de l’évangélisation, un côté du ministère qui s’adresse à tous les hommes; nous notons que ce même Évangile contient une exhortation toute particulière aux nations. C’est pourquoi l’apôtre dit: “Travaillant à cette même œuvre, nous aussi, nous exhortons à ce que vous n’ayez pas reçu la grâce de Dieu en vain”. Ce passage, mal compris, embarrasse souvent les âmes. Les uns veulent y voir que le chrétien peut perdre son salut après l’avoir reçu; d’autres cherchent à prouver que recevoir la grâce de Dieu en vain n’est pas la perte absolue de la grâce pour celui qui l’a reçue. Les uns comme les autres n’ont pas bien compris. Car, “recevoir la grâce de Dieu en vain” ne peut signifier qu’une chose, c’est-à-dire perdre tout le bénéfice de cette grâce. Jamais Dieu n’affaiblit la responsabilité de l’homme et même du chrétien, ou ne l’atténue par la pensée de la grâce; mais, d’autre part, la grâce seule peut nous sauver des conséquences de notre faillite quant à notre responsabilité. 

Dès le commencement de l’histoire de l’homme, ces deux principes sont maintenus parallèlement dans toute leur rigueur. Adam responsable, trouvé nu devant Dieu, meurt et subit la conséquence de sa désobéissance; et la grâce revêt ce même Adam et l’introduit dans la vie, là où sa désobéissance l’avait introduit dans la mort.

Mais «voici», dit l’apôtre, «c’est maintenant le temps agréable; voici, c’est maintenant le jour du salut» (6:2). Maintenant tu es la lumière des nations. Quand on a vu cela, ce passage devient très simple. L’apôtre exhorte les nations à ne pas faire comme Israël, à ne pas recevoir la grâce de Dieu en vain. Faisant partie de ces nations, nous avons à prendre garde comment nous recevons la grâce de Dieu, et nous avons à marcher d’une manière qui soit en rapport avec elle. Cela faisait partie du ministère de Paul.

Il montre ensuite que, quant à lui personnellement, il n’a pas reçu la grâce de Dieu en vain. Il se présente, comme son Maître, dans le caractère d’un serviteur de Dieu. Au milieu des Juifs et des nations, il ne donnait “aucun scandale en rien, afin que le service ne fût pas blâmé, mais en toutes choses il se recommandait comme serviteur de Dieu”. Il montre alors quelles sont les qualités morales que recommande un serviteur. Les nécessités sont des difficultés qui n’offrent qu’un chemin pour en sortir. Pourrons-nous le suivre sans y perdre la vie? Aussi n’a-t-on qu’une pensée, s’attendre au Seigneur. Les détresses sont les pires difficultés. Comme David, l’apôtre avait aussi traversé toutes ces choses avec une grande patience.

Nous trouvons ensuite “les coups, les prisons, les troubles, les travaux, les veilles, les jeûnes”. À la fin de cette épître, nous apprenons combien de fois Paul a traversé ces choses, dont le récit des Actes ne nous donne qu’un spécimen, car Dieu ne nous a pas révélé tous les détails de la vie de Paul, tout en nous donnant ce qui était nécessaire pour nous présenter l’ensemble de la carrière de dévouement d’un ministre du Seigneur sur la terre. En cela aussi l’apôtre suivait, quoique de loin l’exemple de son divin Maître, dont le disciple bien-aimé disait: Si les autres choses que Jésus a faites “étaient écrites une à une, je ne pense pas que le monde même pût contenir les livres qui seraient écrits”.

“Par la pureté, par la connaissance, par la longanimité, par la bonté, par l’Esprit Saint, par un amour sans hypocrisie, par la parole de la vérité, par la puissance de Dieu, par les armes de justice de la main droite et de la main gauche”(2 Co 6.6, 7). De telles choses ne pouvaient pas manquer à ce ministère: l’Esprit Saint, un amour sans hypocrisie, la parole de la vérité! Qu’il nous soit donné de saisir cela.  

Un chrétien a tout pouvoir pour résister, tout pouvoir pour combattre dans ce monde, mais il faut pour vaincre qu’il se garde du péché dans ses voies. C’est ce que dit la brebis au Ps 23, non pas quant au combat comme ici, mais quant à la marche: “Il me conduit dans des sentiers de justice, à cause de son nom”. Si nous suivons le chemin de Christ, jamais nous ne trouverons le péché sous nos pas, et nous ne le rencontrerons que pour le combattre. Le Seigneur lui-même en est pour nous le parfait modèle.

C’est ce que nous avons à chercher pour nous-mêmes. Si, ne pensant pas à nous-mêmes, nous marchons dans ce monde comme serviteurs de Christ, peu importe que le monde ne nous connaisse pas; Dieu nous connaît. Notre chemin est très simple, car nous n’avons à regarder que d’un côté. Que nous importe d’être inconnus du monde, si Dieu dit de nous comme il disait d’Abraham: “Je le connais”.

“Comme mourants, et voici, nous vivons; comme châtiés, et non mis à mort; comme attristés, mais toujours joyeux; comme pauvres, mais enrichissant plusieurs; comme n’ayant rien, et possédant toutes choses(2Co 6.9, 10). Il était toujours mourant, sous la sentence de la mort de la part du monde, et voici, Dieu le maintenait en vie. Il était châtié, et Dieu se servait de la verge, dans la main du monde, pour la prospérité morale de son apôtre bien-aimé. Car Dieu arrêtait à temps, comme dans le cas de Job, la main de Satan qui aurait voulu le mettre à mort pour se débarrasser de son témoignage. Il était attristé, mais avait le cœur rempli de joie, parce que ses yeux ne s’arrêtaient pas aux circonstances, mais étaient fixés sur la personne de Christ. 

Ainsi, d’un bout à l’autre de sa longue carrière, l’apôtre arrivait à reproduire les caractères de son Sauveur et il était parfaitement heureux; car, quoique n’ayant rien trouvé dans ce monde, il était entré en possession d’un objet, devenu son unique Modèle, et sur lequel se concentraient toutes ses affections. Demandons-lui avec instance de pouvoir porter ces caractères. Ils sont réalisables et l’exemple de Paul est destiné à nous le prouver et à nous empêcher de perdre courage en considérant l’excellence du service, tel qu’il a été accompli par notre Seigneur et Maître, le parfait Serviteur. Toute la question est celle-ci: Quelle place le Seigneur occupe-t-il dans mon cœur et dans mes pensées? S’il occupe toute la place, je serai capable de l’honorer en le suivant.

Car le résultat pratique de la réception de la grâce se résume en un seul mot: la sainteté. En effet, la sainteté pratique comprend toute la vie chrétienne, comme témoignage dans ce monde. À la Pâque, les Israélites étaient mis à l’abri du jugement de Dieu par le sang de l’agneau. Et un autre type de la mort de Christ nous est donné à la mer Rouge où le peuple n’est pas seulement mis à l’abri du jugement, mais amené à Dieu. Mais, dès qu’ils eurent offert la Pâque, les Israélites n’avaient plus qu’une seule chose à faire: la Fête, qui était la célébration de la Fête des pains sans levain, type d’une vie de sainteté pratique, partant du sacrifice et continuant sans interruption pendant sept jours. Le nombre sept est le chiffre de la plénitude, image du cours complet de notre vie ici-bas.

Car il est important pour nous de comprendre en quoi consiste dans ce passage l’exhortation de l’apôtre à la sainteté. La sainteté pratique a trois caractères: le premier est la sainteté quant à nos associations avec le monde; le deuxième, la sainteté quant à nos associations religieuses; le troisième, la sainteté individuelle. 

Les versets ci-après ont été compilés pour votre édification et regroupés pour votre meilleure compréhension.

  • Les ministres de Dieu, conduite irréprochable:

Ph 2.15 afin que vous soyez irréprochables et purs, des enfants de Dieu irrépréhensibles au milieu d’une génération perverse et corrompue, parmi laquelle vous brillez comme des flambeaux dans le monde; Ph 3.6 quant au zèle, persécuteur de l’Église; irréprochable, à l’égard de la justice de la loi. Col 1.12 Rendez grâces au Père, qui vous a rendus capables d’avoir part à l’héritage des saints dans la lumière; 1 Th 3.13 afin d’affermir vos coeurs pour qu’ils soient irréprochables dans la sainteté devant Dieu notre Père, lors de l’avènement de notre Seigneur Jésus avec tous ses saints! 1 Th 5.23 Que le Dieu de paix vous sanctifie lui-même tout entiers, et que tout votre être, l’esprit, l’âme et le corps, soit conservé irrépréhensible, lors de l’avènement de notre Seigneur Jésus Christ! 1 Tim 3.2 Il faut donc que l’évêque soit irréprochable, mari d’une seule femme, sobre, modéré, réglé dans sa conduite, hospitalier, propre à l’enseignement. Tt 1.6 s’il s’y trouve quelque homme irréprochable, mari d’une seule femme, ayant des enfants fidèles, qui ne soient ni accusés de débauche ni rebelles. 2 P 3.14 C’est pourquoi, bien-aimés, en attendant ces choses, appliquez-vous à être trouvés par lui sans tache et irrépréhensibles dans la paix.

  • Caractéristiques des vrais ministres  1 Th 2.4 mais, selon que Dieu nous a jugés dignes de nous confier l’Évangile, ainsi nous parlons, non comme pour plaire à des hommes, mais pour plaire à Dieu, qui sonde nos coeurs.

Mt 10.16 Voici, je vous envoie comme des brebis au milieu des loups. Soyez donc prudents comme les serpents, et simples comme les colombes. Mt 20.26 Il n’en sera pas de même au milieu de vous. Mais quiconque veut être grand parmi vous, qu’il soit votre serviteur; 2 Co 4.2 Nous rejetons les choses honteuses qui se font en secret, nous n’avons point une conduite astucieuse, et nous n’altérons point la parole de Dieu. Mais, en publiant la vérité, nous nous recommandons à toute conscience d’homme devant Dieu. 2 Co 6.4 Mais nous nous rendons à tous égards recommandables, comme serviteurs de Dieu, par beaucoup de patience dans les tribulations, dans les calamités, dans les détresses; 1 Th 5.14 Nous vous prions aussi, frères, avertissez ceux qui vivent dans le désordre, consolez ceux qui sont abattus, supportez les faibles, usez de patience envers tous. 2 Th 3.9 Ce n’est pas que nous n’en eussions le droit, mais nous avons voulu vous donner en nous-mêmes un modèle à imiter. 1 Tim 3.2
Il faut donc que l’évêque soit irréprochable, mari d’une seule femme, sobre, modéré, réglé dans sa conduite, hospitalier, propre à l’enseignement. 1 Tim 4.12 Que personne ne méprise ta jeunesse; mais sois un modèle pour les fidèles, en parole, en conduite, en charité, en foi, en pureté. 2 Tim 2.1Toi donc, mon enfant, fortifie-toi dans la grâce qui est en Jésus Christ. 2 Tim 3.17 afin que l’homme de Dieu soit accompli et propre à toute bonne oeuvre. Tt 2.7 afin que l’homme de Dieu soit accompli et propre à toute bonne oeuvre. 

  • Emprisonnement des saints

Gn 39.20 Il prit Joseph, et le mit dans la prison, dans le lieu où les prisonniers du roi étaient enfermés: il fut là, en prison. 1 Rois 22.27 Tu diras: Ainsi parle le roi: Mettez cet homme en prison, et nourrissez-le du pain et de l’eau d’affliction, jusqu’à ce que je revienne en paix. 2 Ch 16.10 Asa fut irrité contre le voyant, et il le fit mettre en prison, parce qu’il était en colère contre lui. Et dans le même temps Asa opprima aussi quelques-uns du peuple. Jr 37.15 Les chefs, irrités contre Jérémie, le frappèrent, et le mirent en prison dans la maison de Jonathan, le secrétaire; car ils en avaient fait une prison. Jr 38.6 Alors ils prirent Jérémie, et le jetèrent dans la citerne de Malkija, fils du roi, laquelle se trouvait dans la cour de la prison; ils descendirent Jérémie avec des cordes. Il n’y avait point d’eau dans la citerne, mais il y avait de la boue; et Jérémie enfonça dans la boue. Lm 3.53 Ils ont voulu anéantir ma vie dans une fosse, Et ils ont jeté des pierres sur moi. Mc 6.17 Car Hérode lui-même avait fait arrêter Jean, et l’avait fait lier en prison, à cause d’Hérodias, femme de Philippe, son frère, parce qu’il l’avait épousée; Ac 5.18 mirent les mains sur les apôtres, et les jetèrent dans la prison publique. Ac 12.4 Après l’avoir saisi et jeté en prison, il le mit sous la garde de quatre escouades de quatre soldats chacune, avec l’intention de le faire comparaître devant le peuple après la Pâque. Ac 16.23 Après qu’on les eut chargés de coups, ils les jetèrent en prison, en recommandant au geôlier de les garder sûrement. Ac 23.35 Je t’entendrai, dit-il, quand tes accusateurs seront venus. Et il ordonna qu’on le gardât dans le prétoire d’Hérode. Ac 26.10 C’est ce que j’ai fait à Jérusalem. J’ai jeté en prison plusieurs des saints, ayant reçu ce pouvoir des principaux sacrificateurs, et, quand on les mettait à mort, je joignais mon suffrage à celui des autres. 2 Co 11.23 Sont-ils ministres de Christ? -Je parle en homme qui extravague. -Je le suis plus encore: par les travaux, bien plus; par les coups, bien plus; par les emprisonnements, bien plus. Souvent en danger de mort,

  • Héritage spirituel des justes

Ps 61.6 Car toi, ô Dieu! tu exauces mes voeux, Tu me donnes l’héritage de ceux qui craignent ton nom. Ps 119.111 Tes préceptes sont pour toujours mon héritage, Car ils sont la joie de mon coeur. Es 54.17 Toute arme forgée contre toi sera sans effet; Et toute langue qui s’élèvera en justice contre toi, Tu la condamneras. Tel est l’héritage des serviteurs de l’Éternel, Tel est le salut qui leur viendra de moi, Dit l’Éternel. Ac 20.32 Et maintenant je vous recommande à Dieu et à la parole de sa grâce, à celui qui peut édifier et donner l’héritage avec tous les sanctifiés. Ac 26.18 afin que tu leur ouvres les yeux, pour qu’ils passent des ténèbres à la lumière et de la puissance de Satan à Dieu, pour qu’ils reçoivent, par la foi en moi, le pardon des péchés et l’héritage avec les sanctifiés. Ep 1.11 En lui nous sommes aussi devenus héritiers, ayant été prédestinés suivant la résolution de celui qui opère toutes choses d’après le conseil de sa volonté; Col 1.12 Rendez grâces au Père, qui vous a rendus capables d’avoir part à l’héritage des saints dans la lumière; Col 3.24 sachant que vous recevrez du Seigneur l’héritage pour récompense. Servez Christ, le Seigneur. 1 P 1.4 pour un héritage qui ne se peut ni corrompre, ni souiller, ni flétrir, lequel vous est réservé dans les cieux,

  • Temples spirituels 

1 Co 3.16 Ne savez-vous pas que vous êtes le temple de Dieu, et que l’Esprit de Dieu habite en vous? 1 Co 6.19 Ne savez-vous pas que votre corps est le temple du Saint Esprit qui est en vous, que vous avez reçu de Dieu, et que vous ne vous appartenez point à vous-mêmes? 2 Co 6.16 Quel rapport y a-t-il entre le temple de Dieu et les idoles? Car nous sommes le temple du Dieu vivant, comme Dieu l’a dit: J’habiterai et je marcherai au milieu d’eux; je serai leur Dieu, et ils seront mon peuple. Ep 2.20-22 Vous avez été édifiés sur le fondement des apôtres et des prophètes, Jésus Christ lui-même étant la pierre angulaire. 21 En lui tout l’édifice, bien coordonné, s’élève pour être un temple saint dans le Seigneur. 22 En lui vous êtes aussi édifiés pour être une habitation de Dieu en Esprit. 1 P 2.5 et vous-mêmes, comme des pierres vivantes, édifiez-vous pour former une maison spirituelle, un saint sacerdoce, afin d’offrir des victimes spirituelles, agréables à Dieu par Jésus Christ.

De tout ce qui précède, nous notons que la sainteté pratique pénètre toute notre vie chrétienne. Car Lévitique 19.19 nous le montre clairement. 1° “Tu n’accoupleras pas, parmi ton bétail, deux espèces différentes”. C’est l’association avec le monde, dont il est parlé dans notre passage(2 Co 6.14-15). 2° “Tu ne sèmeras pas ton champ de deux espèces de semences”. C’est le type de l’association religieuse(2 Co 6.16). Car nous ne pouvons employer des semences diverses dans le champ de Dieu; il faut que nous semions une semence unique. 3° “Tu ne mettras pas sur toi un vêtement d’un tissu mélangé de deux espèces de fil”. Car nous avons à mettre d’accord ces deux côtés de notre sanctification personnelle, à tenir égaux ces deux plateaux de la balance. Comme individus, notre marche extérieure, nos actes et nos paroles, doivent correspondre à ce qu’il y a dans nos cœurs, afin que nous puissions répéter, avec notre Sauveur bien-aimé: “Ma pensée ne va pas au-delà de ma parole”(Ps 17.3). Si les trois caractères de sainteté pratique que nous venons d’énumérer se trouvent chez les enfants de Dieu, c’est la preuve qu’ils ont été attentifs aux exhortations de la Parole. Marcher contrairement à ces principes, c’est avoir reçu la grâce de Dieu en vain. Que Dieu nous donne à tous d’avoir, dans nos vies chrétiennes, beaucoup plus de réalité que nous n’en avons. Qu’il nous donne, quant à nous-mêmes, un esprit d’humiliation et de repentance pour que nous devenions des témoins plus fidèles de Celui dont la grâce a tout fait pour nous, et qui nous a délivrés du pouvoir des ténèbres et nous a introduits dans le royaume du Fils de son amour. Nos prières vous y accompagnent tous.

PRIERE D’ACCEPTATION DE JESUS-CHRIST COMME SEIGNEUR ET SAUVEUR PERSONNEL

J’invite à présent toute personne qui veut devenir une nouvelle création en marchant dans la vérité, à faire avec moi la prière suivante :  

Seigneur Jésus, j’ai longtemps marché dans les convoitises du monde en ignorant ton amour pour les humains. Je reconnais avoir péché contre toi et te demande pardon pour tous mes péchés, car aujourd’hui j’ai décidé de te donner ma vie en te prenant comme Seigneur et Sauveur personnel. Je reconnais que tu es mort à la croix du Calvaire et que tu es ressuscité des morts pour moi. 

Je suis maintenant sauvé(e) et né(e) de nouveau par la puissance du Saint-Esprit. Conduis-moi chaque jour vers la vie éternelle que tu donnes à tous ceux qui obéissent à ta Parole. Révèle-toi à moi et fortifie mon coeur et ma foi, afin que ta lumière luise dans ma vie dès maintenant.

Merci Seigneur Jésus de m’accepter dans ta famille divine, afin que je puisse aussi contempler les merveilles de ton royaume.

Je vais choisir maintenant un point d’eau tout proche où me baptiser par immersion, au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.

A toi toute l’adoration, la puissance et la gloire, maintenant et pour les siècles des siècles. Amen !

Je serais content de réagir à vos questions et commentaires éventuels, avant de partager avec vous demain sur ” Paul consolé par les Corinthiens. »

Que le Seigneur Jésus-Christ vous bénisse abondamment.

David Feze, Serviteur de l’Éternel des armées.

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