Bien-aimés, j’ai la joie de partager avec vous aujourd’hui le thème tiré de Lv 23.1-2 et suivants. En effet, ce chapitre constitue le calendrier des « jours solennels » de l’Éternel, autrement dit des fêtes qui revenaient chaque année. Elles étaient au nombre de sept, sans parler du sabbat, jour de repos hebdomadaire dont il est question en premier lieu. On a observé que ces fêtes, dans leur succession, déploient devant nos yeux l’histoire d’Israël depuis la croix, les desseins de Dieu concernant ce peuple, ses desseins concernant l’Église (quoique d’une manière plus voilée), enfin ses desseins concernant son Fils. Tout commençait à la Pâque. Le point de départ des bénédictions d’Israël, de l’Église, comme aussi du bonheur de tout homme, c’est la croix. Aussitôt après, la fête des Pains sans levain évoque Celui qui n’a pas connu le péché et dont la séparation du mal doit être reproduite dans la marche de l’Assemblée, c’est-à-dire de chaque racheté. Le « vieux levain » doit être ôté, car nous sommes « sans levain », rappelle Paul aux Corinthiens (1 Co 5.1-13). Vient ensuite la fête des prémices. Cette première gerbe tournoyée c’est encore Christ, dans sa résurrection triomphante, premier-né d’entre les morts, présenté à Dieu selon les divers côtés de ses gloires, « pour que nous soyons agréés » (v. 11).

Nous voici maintenant arrivés à l’un des chapitres les plus profonds et les plus compréhensifs du volume inspiré, et il demande notre étude sérieuse et recueillie. Il contient la description des sept grandes fêtes ou solennités périodiques, qui divisaient l’année d’Israël. En d’autres termes, il nous offre un coup d’œil parfait des dispensations de Dieu envers Israël, pendant toute la période de leur histoire si accidentée. 50 jours séparaient la fête des prémices de celle des semaines ou Pentecôte. Toutes deux avaient lieu le lendemain du sabbat, c’est-à-dire le premier jour de la semaine. Nous savons qu’après sa résurrection, avant de monter au ciel, le Seigneur est apparu à plusieurs reprises à ses disciples pour les consoler, les encourager et les envoyer annoncer l’Évangile. Puis, le ch. 2 du livre des Actes nous montre comment le Saint Esprit est descendu du ciel le jour de la Pentecôte pour habiter dans l’Assemblée (Act 2.1-4). Les deux pains mentionnés au v. 17 sont un symbole de cette Église, composée de chrétiens     Mais ceux qui la constituent sont encore sur la terre, c’est pourquoi le levain, image du péché, ne peut être absent de ces pains (1 Jn 1.5-2.2). Tels sont « les premiers fruits » de l’œuvre de la croix présentés à Dieu par le sacrificateur. Et Jésus, parlant de lui-même comme du « grain de blé » qui devait tomber en terre et mourir, pouvait ajouter: « s’il meurt, il porte beaucoup de fruit » (Jn 12.23-26). La gerbe des prémices était le gage d’une riche moisson (v. 22). Christ, homme ressuscité, ne restera pas seul dans la gloire. Il reviendra avec chant de joie, portant ses gerbes (Ps 126.5-6). 

Historiquement nous nous trouvons actuellement dans la période qui suit la Pentecôte. Israël est mis de côté, c’est le temps de l’Église pendant lequel le Seigneur Jésus rassemble en un les enfants de Dieu dispersés (Jn 11.49-53). Cependant le jour vient où tout Israël sera à son tour rassemblé. Après l’enlèvement de l’Église, il y aura « un jour mémorable, avec des acclamations au son des trompettes » (v. 24), ou fête des trompettes (Nb 29.1-6), où le peuple sera convoqué, et réuni dans son pays en vue de la grande affliction de la sixième fête: le jour des propitiations, qui correspond aux cérémonies du ch. 16. Israël dans l’angoisse attendra que paraisse à salut pour sa délivrance, celui qui est maintenant dans le sanctuaire avec les siens (Hb 9.27-28). Et nous en arrivons à la fête des Tabernacles décrite en détail dans notre lecture. Elle préfigure le règne de justice et de paix sur la terre, qu’on appelle le millenium. Comptons combien de fois il est répété dans ce chapitre: « Vous ne ferez aucune œuvre de service ». Dans tout le merveilleux plan de grâce qui va de la croix à la gloire, Dieu s’est réservé le privilège de travailler lui-même. L’homme et ses efforts n’y sont pour rien. C’est une œuvre divine. Elle est « glorieuse et magnifique » (Ps 111.1-6).

En prenant les fêtes séparément, nous avons le Sabbat, la Pâque, la fête des pains sans levain, la fête des premiers fruits, la Pentecôte, la fête des trompettes, le jour des propitiations, et la fête des tabernacles. Cela fait huit en tout, mais il est bien évident que le Sabbat occupe une place unique et indépendante. Il est mentionné le premier; son caractère particulier et les circonstances qui l’accompagnent sont expliqués, puis nous lisons: « Ce sont ici les jours solennels de l’Éternel, de saintes convocations, que vous publierez en leurs temps assignés » (vers. 4). En sorte que, à proprement parler, le lecteur attentif remarquera que la première grande fête d’Israël était la Pâque, et sa septième la fête des tabernacles. C’est-à-dire, en tenant compte de leur forme typique, nous avons, premièrement, la rédemption, et en dernier lieu, la gloire millénaire. L’agneau pascal figurait la mort de Christ (1 Co 5:7); et la fête des tabernacles typifiait « les temps du rétablissement de toutes choses dont Dieu a parlé par la bouche de ses saints prophètes de tout temps »

Telle était la fête qui ouvrait, et telle était celle qui fermait l’année judaïque. L’expiation est la base, la gloire est la pierre du sommet, tandis que, entre ces deux points, nous avons la résurrection de Christ (vv.10-14), le rassemblement de l’Église (vv.15-21), le réveil des Israélites au sentiment de leur gloire perdue (vers. 24-25), leur repentance et leur cordiale réception de leur Messie (vers. 27-32). Et pour qu’aucun trait ne manque à cette grande représentation typique, nous avons encore un moyen pour que les gentils puissent entrer à la fin de la moisson, et glaner dans les champs d’Israël (v.22). Tout cela rend ce tableau divinement parfait, et éveille la plus profonde admiration dans le cœur de tous ceux qui aiment les Écritures. Que pourrait-il y avoir de plus complet? Le sang de l’Agneau, et la sainteté pratique qui s’y rattache – la résurrection de Christ d’entre les morts, et son ascension au ciel – la descente du Saint Esprit en puissance à la Pentecôte, pour former l’Église – le réveil du résidu – leur repentance et leur restauration – la bénédiction du « pauvre et de l’étranger » – la manifestation de la gloire – le repos et la félicité du royaume. Telles sont les choses contenues dans ce chapitre vraiment merveilleux, et que nous allons maintenant examiner en détail! Veuille le Saint Esprit être lui-même notre Docteur!

« L’Éternel parla à Moïse, disant. Parle aux fils d’Israël, et dis-leur: Les jours solennels de l’Éternel, que vous publierez, seront de saintes convocations. Ce sont ici mes jours solennels: Six jours on travaillera; et le septième jour est un sabbat de repos, une sainte convocation; vous ne ferez aucune œuvre: c’est un sabbat consacré à l’Éternel dans toutes vos habitations ». La place accordée ici au sabbat est pleine d’intérêt. L’Éternel est sur le point de donner un type de toutes ses dispensations en grâce envers son peuple, et avant de commencer, il présente le sabbat comme l’expression significative de ce repos qui reste pour le peuple de Dieu. C’était une solennité réelle, qui devait être observée par Israël; mais c’était aussi un type de ce qui est encore à venir, quand toutes les œuvres grandes et glorieuses préfigurées dans ce chapitre, auront été accomplies. C’est le repos de Dieu, dans lequel peuvent entrer maintenant en esprit tous ceux qui croient, mais qui reste encore, quant à son entier et véritable accomplissement (Héb. 4). Maintenant nous travaillons. Bientôt nous nous reposerons. Dans un sens le croyant entre dans le repos; dans un autre sens il travaille pour y entrer. Il a trouvé son repos en Christ; il travaille pour entrer dans son repos dans la gloire.

Nous avons déjà fait remarquer que le sabbat occupe dans ce chapitre une place à part et indépendante. C’est évident d’après les premiers mots du verset quatrième, où l’Éternel semble recommencer à nouveau par cette expression: « Ce sont ici les jours solennels de l’Éternel », comme pour laisser le sabbat – tout à fait à part des sept fêtes qui suivent, quoiqu’il soit, en réalité, le type de ce repos dans lequel ces fêtes introduisent l’âme.

« Ce sont ici les jours solennels de l’Éternel, de saintes convocations, que vous publierez en leurs temps assignés. Le premier mois, le quatorzième jour du mois, entre les deux soirs, est la Pâque à l’Éternel » (vv.4-5). Nous avons donc ici la première des sept solennités périodiques – le sacrifice de cet agneau pascal dont le sang avait garanti l’Israël de Dieu de l’épée de l’ange destructeur, dans cette nuit terrible où les premiers-nés des Égyptiens avaient été mis à mort. C’est le type bien connu de la mort de Christ; de là vient la place qu’il occupe au commencement de ce chapitre. Il forme la base de tout. Nous ne pouvons connaître aucun repos, aucune sainteté, aucune communion, si ce n’est sur le principe de la mort de Christ. Il est particulièrement intéressant et frappant d’observer que, aussitôt qu’il est parlé du repos de Dieu, le sang de l’Agneau pascal est introduit immédiatement après. Comme pour dire: « Là est le repos, mais ici est votre droit au repos ». Sans doute que le travail nous rendra capables de jouir du repos, mais c’est le sang qui nous donne le droit d’en jouir.

« Et le quinzième jour de ce mois, est la fête des pains sans levain à l’Éternel: sept jours, vous mangerez des pains sans levain. Le premier jour, vous aurez une sainte convocation; vous ne ferez aucune œuvre de service; et vous présenterez à l’Éternel, pendant sept jours, un sacrifice par feu: au septième jour il y aura une sainte convocation; vous ne ferez aucune œuvre de service » (vv.6-8).

« Et l’Éternel parla à Moïse, disant: Parle aux fils d’Israël, en disant: Le quinzième jour de ce septième mois, la fête des tabernacles se célébrera à l’Éternel pendant sept jours… Mais le quinzième jour du septième mois, quand vous aurez recueilli le rapport de la terre, vous célébrerez la fête de l’Éternel pendant sept jours: le premier jour il y aura repos, et le huitième jour il y aura repos. Et le premier jour vous prendrez du fruit de beaux arbres, des branches de palmiers, et des rameaux d’arbres touffus et de saules de rivière; et vous vous réjouirez devant l’Éternel, votre Dieu, pendant sept jours. Et vous célébrerez la fête comme fête à l’Éternel, pendant sept jours chaque année; c’est un statut perpétuel, en vos générations: vous la célébrerez le septième mois. Vous habiterez sept jours dans des tabernacles; tous les indigènes en Israël habiteront dans des tabernacles, afin que vos générations sachent que j’ai fait habiter les fils d’Israël dans des tabernacles, lorsque je les fis sortir du pays d’Égypte. Moi, je suis l’Éternel, votre Dieu » (Vers. 33, 34).

Cette fête nous montre, par anticipation, le temps de la gloire d’Israël au dernier jour et, par conséquent, elle termine, on ne peut mieux, toute la série des fêtes. La récolte était rentrée, tout était fini, les greniers étaient remplis, et l’Éternel voulait que son peuple exprimât sa joie par une fête. Mais, hélas! il parait qu’ils ne surent guère comprendre la pensée divine en rapport avec cette sublime ordonnance. Ils perdirent de vue le fait qu’ils avaient été étrangers et voyageurs, et de là vint leur long oubli de cette fête.

Depuis les jours de Josué, jusqu’au temps de Néhémie, la fête des tabernacles n’avait pas été célébrée une seule fois. Il était réservé au petit résidu qui retourna de la captivité de Babylone, de faire ce qui n’avait pas été fait, même aux jours brillants de Salomon. « Et toute la congrégation de ceux qui étaient revenus de la captivité fit des tabernacles, et ils habitèrent dans les tabernacles; car les fils d’Israël n’avaient pas fait cela depuis les jours de Josué, fils de Nun, jusqu’à ce jour-là. Et il y eut une très grande joie » (Néh. 8.17). Que ce devait être réjouissant, pour ceux qui avaient suspendu leurs harpes aux saules de Babylone, de se trouver sous l’ombrage des saules de Canaan! C’était un doux avant-goût de ce temps, dont la fête des tabernacles était le type, où les tribus rétablies d’Israël se reposeront sous ces berceaux millénaires, que la main fidèle de l’Éternel érigera pour eux, dans le pays qu’il a juré de donner à Abraham et à sa postérité à toujours. Trois fois heureuse époque, où les célestes et les terrestres se rencontreront, comme il est dit, dans « le premier jour » et « le huitième jour » de la fête des tabernacles. « J’exaucerai les cieux, et eux exauceront la terre, et la terre exaucera le froment et le moût et l’huile, et eux exauceront Jizreël » (Osée 2:21, 22). Il y a, dans le dernier chapitre de Zacharie, un beau passage qui prouve bien distinctement, que la vraie célébration de la fête des tabernacles appartient à la gloire de la fin. « Et il arrivera que tous ceux qui resteront de toutes les nations qui seront venues contre Jérusalem, monteront d’année en année pour se prosterner devant le roi, l’Éternel des armées, et pour célébrer la fête des tabernacles » (Lv 14.16). Quelle scène! Qui voudrait essayer de lui enlever sa beauté caractéristique, par un vague système d’interprétation faussement appelée spirituelle?

Les versets ci-après ont été compilés pour votre édification et regroupés pour votre meilleure compréhension.

Calendriers des fêtes d’Israël

  • Solennités juives

Ex 23.14 Trois fois par année, tu célébreras des fêtes en mon honneur. Lv 23.2 Tu ne suivras point la multitude pour faire le mal; et tu ne déposeras point dans un procès en te mettant du côté du grand nombre, pour violer la justice. Nb 15.3 et que vous offrirez à l’Éternel un sacrifice consumé par le feu, soit un holocauste, soit un sacrifice en accomplissement d’un voeu ou en offrande volontaire, ou bien dans vos fêtes, pour produire avec votre gros ou votre menu bétail une agréable odeur à l’Éternel, –

  • Repos, physique, commandé

Ex 23.12 Tu ne suivras point la multitude pour faire le mal; et tu ne déposeras point dans un procès en te mettant du côté du grand nombre, pour violer la justice. Ex 31.11 Moïse implora l’Éternel, son Dieu, et dit: Pourquoi, ô Éternel! ta colère s’enflammerait-elle contre ton peuple, que tu as fait sortir du pays d’Égypte par une grande puissance et par une main forte?  Ex 34.21 Tu travailleras six jours, et tu te reposeras le septième jour; tu te reposeras, même au temps du labourage et de la moisson. Ex 35.2 On travaillera six jours; mais le septième jour sera pour vous une chose sainte; c’est le sabbat, le jour du repos, consacré à l’Éternel. Celui qui fera quelque ouvrage ce jour-là, sera puni de mort.

  • Sabbat, observer le, commandé

Ex 20.8 Souviens-toi du jour du repos, pour le sanctifier. Ex 34.21 Tu travailleras six jours, et tu te reposeras le septième jour; tu te reposeras, même au temps du labourage et de la moisson.  Ex 35.3 Vous n’allumerez point de feu, dans aucune de vos demeures, le jour du sabbat. Neh 10.32 Nous nous imposâmes aussi des ordonnances qui nous obligeaient à donner un tiers de sicle par année pour le service de la maison de notre Dieu,

Fêtes juives, la Pâque, célébrée le 14e jour du premier mois, nisan, ou abib (avril) pour commérer la sortie d’Égypte

Lv 23.5 Le premier mois, le quatorzième jour du mois, entre les deux soirs, ce sera la Pâque de l’Éternel. Nb 9.5 Et ils célébrèrent la Pâque le quatorzième jour du premier mois, entre les deux soirs, dans le désert de Sinaï; les enfants d’Israël se conformèrent à tous les ordres que l’Éternel avait donnés à Moïse. Jos 5.10 Les enfants d’Israël campèrent à Guilgal; et ils célébrèrent la Pâque le quatorzième jour du mois, sur le soir, dans les plaines de Jéricho. 2 Rois 23.22 Aucune Pâque pareille à celle-ci n’avait été célébrée depuis le temps où les juges jugeaient Israël et pendant tous les jours des rois d’Israël et des rois de Juda.

De tout ce qui précède, nous notons qu’assurément Jérusalem veut dire Jérusalem; nations veut dire nations; et la fête des tabernacles veut dire la fête des tabernacles. Y a-t-il là quelque chose d’impossible à croire? Rien, assurément, sauf pour la raison humaine, qui repousse tout ce qui est au-dessus de sa faible portée. La fête des tabernacles sera célébrée de nouveau dans le pays de Canaan, et les sauvés des nations y monteront pour prendre part à ces saintes et glorieuses solennités. Alors les guerres de Jérusalem seront terminées, le bruit des batailles aura pris fin. La lance et l’épée seront transformées en paisibles instruments d’agriculture; Israël se reposera à l’ombre rafraîchissante de sa vigne et de son figuier, et toute la terre se réjouira sous le règne du « Prince de Paix ». Telle est la perspective qui nous est offerte dans les infaillibles pages de l’Inspiration. Les types la présentent, les prophètes l’annoncent, la foi y croit, et l’espérance l’anticipe. À la fin de notre chapitre, nous lisons: « Et Moïse dit aux fils d’Israël les jours solennels de l’Éternel ». C’était là leur vrai caractère, leur titre primitif; mais, dans l’Évangile de Jean, elles sont appelées les « fêtes des Juifs ». Depuis longtemps elles avaient cessé d’être les fêtes de l’Éternel. Il en était exclu. Ils ne voulaient pas de lui; c’est pourquoi en Jean 7, quand les frères de Jésus lui demandent de monter à « la fête des Juifs, celle des tabernacles », il répond: « Mon temps n’est pas encore venu »; et quand il y monta, ce fut « comme en secret » pour prendre sa place en dehors de tout, et pour crier à toute âme altérée de venir à lui et de boire. Il y a là une leçon bien sérieuse. Les institutions divines sont bientôt détériorées entre les mains de l’homme; mais quel bonheur de savoir que l’âme altérée, qui sent le vide et la sécheresse d’un système de froides formalités religieuses, n’a qu’à se réfugier auprès de Jésus, pour s’abreuver gratuitement à ses sources intarissables, et devenir ainsi un canal de bénédictions pour les autres. Nos prières vous y accompagnent tous.

PRIÈRE D’ACCEPTATION DE JESUS-CHRIST COMME SEIGNEUR ET SAUVEUR PERSONNEL

J’invite à présent toute personne qui veut devenir une nouvelle création en marchant dans la vérité, à faire avec moi la prière suivante :  

Seigneur Jésus, j’ai longtemps marché dans les convoitises du monde en ignorant ton amour pour les humains. Je reconnais avoir péché contre toi et te demande pardon pour tous mes péchés, car aujourd’hui j’ai décidé de te donner ma vie en te prenant comme Seigneur et morts pour moi. 

Je suis maintenant sauvé(e) et né(e) de nouveau par la puissance du Saint-Esprit. Conduis-moi chaque jour vers la vie éternelle que tu donnes à tous ceux qui obéissent à ta Parole. Révèle-toi à moi et fortifie mon coeur et ma foi, afin que ta lumière luise dans ma vie dès Sauveur personnel. Je reconnais que tu es mort à la croix du Calvaire et que tu es ressuscité des maintenant.

Merci, Seigneur Jésus de m’accepter dans ta famille divine, afin que je puisse aussi contempler les merveilles de ton royaume en marchant selon tes voies.

Je vais choisir maintenant un point d’eau tout proche où me baptiser par immersion, au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.

A toi toute l’adoration, la puissance et la gloire, maintenant et pour les siècles des siècles. Amen ! 

Je serais content de réagir à vos questions et commentaires éventuels, avant de partager avec vous demain « Lois sur le chandelier et les pains de présentation. » Lv 24

Que le Seigneur Jésus-Christ vous bénisse abondamment.

David Feze, Serviteur de l’Éternel des armées.

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