Bien-aimés, j’ai la joie de partager avec vous aujourd’hui le thème ci-dessus tiré de Ex 17.1 et suivants. En effet, après la faim, c’est la soif qui est l’occasion des murmures de ce pauvre peuple. Eh bien, la grâce de Dieu s’en sert de nouveau pour nous révéler un précieux mystère dont l’explication se trouve en 1 Co 10.1-6: « Ils buvaient d’un rocher spirituel qui les suivait, et ce rocher était le Christ » (Jn 7.37-42). Mais pour donner son eau (la vie de l’Esprit), il fallait que le rocher soit frappé, comme Christ le fut sur la croix par la main de Dieu lui-même. Toutefois, remarquons-le: c’est le péché du peuple, ses murmures, ses rébellions, qui ont été l’occasion de frapper le rocher. « À cause de la transgression de mon peuple, lui, a été frappé », dit le prophète (Esa 53.4-9). Ainsi, tandis que la manne est l’image d’un Christ venu du ciel, le rocher frappé nous parle d’un Christ crucifié et l’eau vive représente le Saint Esprit, puissance de vie que le Sauveur mort et ressuscité donne à tous ceux qui croient en lui.
« Et toute l’assemblée des fils d’Israël partit du désert de Sin, selon leurs traites, d’après le commandement de l’Éternel, et ils campèrent à Rephidim; et il n’y avait point d’eau à boire pour le peuple. Et le peuple contesta avec Moïse, et ils dirent: Donnez-nous de l’eau pour que nous buvions. Et Moïse leur dit: Pourquoi contestez-vous avec moi? Pourquoi tentez-vous l’Éternel? » (vv. 1, 2). Si nous ne connaissions pas un peu la méchanceté si humiliante de nos pauvres cœurs, nous ne saurions comment nous rendre compte de l’étonnante insensibilité des Israélites en face de la bonté, de la fidélité et des actes de puissance de l’Éternel. Ils venaient de voir descendre du ciel du pain pour nourrir six cent mille hommes dans le désert, et les voilà prêts à lapider Moïse, pour les avoir amenés dans ce désert, afin de les y faire mourir de soif. Rien ne surpasse la désespérante incrédulité du cœur humain, si ce n’est la surabondante grâce de Dieu.
Cette grâce seule donne du soulagement à l’âme, en présence du sentiment toujours croissant de sa nature perverse que les circonstances tendent à manifester. Si les Israélites eussent été transportés directement de l’Égypte en Canaan, ils n’auraient pas fourni d’aussi tristes preuves de ce qu’est le cœur humain et, par conséquent, ils n’auraient pas été pour nous des exemples ou types aussi frappants. Mais les quarante années, qu’ils passèrent à errer dans le désert, sont pour nous une source abondante d’enseignement. Elles nous apprennent, entre autres choses, la tendance invariable du cœur humain à se méfier de Dieu. Tout convient à l’homme, excepté Dieu. Il aime mieux s’appuyer sur le tissu fragile de la moindre ressource humaine, que sur le bras du Dieu tout puissant, tout sage et tout bon, et le plus petit nuage suffit pour dérober à sa vue la clarté de la face de Dieu. C’est donc avec raison que le cœur de l’homme est appelé « un méchant cœur d’incrédulité, » toujours prêt à « abandonner le Dieu vivant » (Hb 3.12).
Il est intéressant de remarquer les deux grandes questions que soulève l’incrédulité, dans ce chapitre-ci et dans le précédent. Ce sont les mêmes questions qui chaque jour s’élèvent au dedans et autour de nous: « Que mangerons-nous, ou que boirons-nous? » (Matt. 6:31), sauf que nous ne voyons pas que le peuple ait soulevé celle qui suit: « De quoi serons-nous vêtus? » Mais ce sont ici les questions du désert: « Quoi? » – « Où? » – « Comment? » – Pour chacune d’elles, la foi n’a qu’une seule et même réponse, courte, mais décisive, savoir: Dieu! – Précieuse et parfaite réponse! Plût à Dieu que l’auteur et le lecteur en connussent plus complètement la puissance et la plénitude! Nous avons certainement besoin, quand nous sommes dans l’épreuve, de nous souvenir que « aucune tentation ne nous est survenue qui n’ait été une tentation humaine; et Dieu est fidèle, qui ne permettra pas que vous soyez tentés au-delà de ce que vous pouvez supporter, mais avec la tentation il fera aussi l’issue, afin que vous puissiez la supporter ». (1 Co 10:13). Chaque fois que nous sommes placés dans l’épreuve, soyons sûrs qu’avec l’épreuve l’issue aussi est là, et que tout ce qu’il nous faut, c’est une volonté brisée et un œil simple pour discerner cette issue.
« Et Moïse cria à l’Éternel, disant: Que ferai-je à ce peuple? Encore un peu, et ils me lapideront. Et l’Éternel dit à Moïse: Passe devant le peuple, et prends avec toi des anciens d’Israël; et prends dans ta main la verge avec laquelle tu as frappé le fleuve, et va. Voici, je me tiens là devant toi, sur le rocher, en Horeb; et tu frapperas le rocher, et il en sortira des eaux, et le peuple boira. Et Moïse fit ainsi devant les yeux des anciens d’Israël ». (vv. 4-6). Chaque murmure amène une nouvelle manifestation de la grâce la plus parfaite. Nous voyons les eaux rafraîchissantes jaillir du rocher frappé, beau type de l’Esprit donné comme fruit du sacrifice accompli de Christ. Le chapitre 16 nous présente un type de Christ descendant du ciel pour donner la vie au monde; dans le 17e, nous avons celui du Saint Esprit, « répandu » en vertu de l’œuvre accomplie de Christ. – « Ils buvaient d’un rocher spirituel qui les suivait, et le rocher était le Christ ». (1 Co 10:4). Mais qui aurait pu boire avant que le rocher n’eût été frappé? Israël aurait pu contempler le rocher, et mourir de soif en le contemplant; car jusqu’à ce qu’il eût été frappé par la verge de Dieu, il ne pouvait abreuver Israël. Ceci est tout simple : Le Seigneur Jésus était le centre de tous les conseils d’amour et de miséricorde de Dieu. C’est par lui que toute bénédiction devait couler vers l’homme. C’est de « l’Agneau de Dieu » que les fleuves de la grâce devaient jaillir; mais pour qu’il en fût ainsi, il fallait que l’Agneau eût été égorgé, que l’œuvre de la croix fût devenue un fait accompli.
Toutes ces circonstances nous montrent clairement qu’Amalek est un type de la chair dans le chrétien. Le rapprochement qui existe entre la bataille qu’Amalek livra à Israël, et l’eau jaillissant du rocher, est fort remarquable et instructif, et en harmonie parfaite avec la lutte que le croyant a à soutenir avec sa mauvaise nature; lutte qui résulte, comme nous le savons, de ce qu’il possède une nature nouvelle, dans laquelle le Saint Esprit demeure. Le combat ne commence pour Israël que lorsqu’il est en pleine possession de la rédemption, et qu’il a « mangé de la viande spirituelle et bu du rocher spirituel » (1 Co 10:3-4). Jusqu’à ce qu’il rencontre Amalek, il n’a rien eu à faire. Ce ne furent pas les Israélites qui luttèrent contre Pharaon, et détruisirent la puissance de l’Égypte en rompant les chaînes de leur esclavage; ce ne furent pas eux qui partagèrent la mer et noyèrent dans ses eaux Pharaon et toute son armée; ce ne furent pas eux qui firent descendre du pain du ciel, ou jaillir de l’eau du rocher. Ils n’ont fait et ne pouvaient faire aucune de ces choses; mais, à présent, ils sont appelés à lutter contre Amalek. Tous les combats précédents avaient eu lieu entre l’Éternel et l’Ennemi. Les Israélites n’avaient eu qu’à « se tenir tranquilles », à contempler les triomphes éclatants du bras étendu de l’Éternel, et à jouir des fruits de la victoire. L’Éternel avait combattu pour eux; maintenant il combat en eux et par eux.
Il en est de même de l’Église de Dieu. Les victoires, sur lesquelles sa paix et sa félicité éternelles sont fondées, ont été remportées par Christ seul, pour elle. Il fut seul sur la croix, et seul dans la tombe. Le troupeau était dispersé: comment aurait-il pu être là? Comment aurait-il pu vaincre Satan, endurer la colère de Dieu, ou ôter à la mort son aiguillon? Tout cela était bien au-dessus de la puissance des pécheurs, mais non pas au-dessus de la puissance de Celui qui vint pour les sauver, et qui seul était capable de porter sur ses épaules le poids de tous leurs péchés, et d’en jeter le fardeau derrière lui, pour jamais, par son parfait sacrifice; en sorte que le Saint Esprit, procédant du Père, en vertu de l’expiation parfaite accomplie par le Fils, peut faire sa demeure dans l’Église collectivement et dans chacun de ses membres individuellement.
Or c’est quand le Saint Esprit fait ainsi sa demeure en nous, en conséquence de la mort et de la résurrection de Christ, que commence pour nous la lutte. Christ a combattu pour nous, le Saint Esprit combat en nous. Le fait même que nous jouissons de ce premier et précieux fruit de la victoire, nous place en hostilité immédiate avec l’Ennemi. Mais notre consolation et notre encouragement, c’est que nous sommes vainqueurs avant que d’arriver sur le champ de bataille. Le croyant va au-devant du combat en chantant: « Grâces à Dieu, qui nous donne la victoire par notre Seigneur Jésus Christ ». (1 Co 15:57). Nous ne combattons donc pas dans l’incertitude, ou comme battant l’air, tandis que nous cherchons à mortifier notre corps et à l’asservir (1 Co 9:26-27); « Nous sommes plus que vainqueurs par celui qui nous a aimés ». (Rm 8:37). La grâce dans laquelle nous sommes, ôte à la chair tout pouvoir sur nous. (Rm 6).
Si la loi est « la puissance du péché » (1 Co 15:56), la grâce en est l’impuissance. La loi donne au péché de la puissance sur nous; la grâce nous donne de la puissance sur le péché. « Et Moïse dit à Josué: Choisis-nous des hommes, et sors, combats contre Amalek; demain je me tiendrai sur le sommet de la colline, la verge de Dieu dans ma main. Et Josué fit comme Moïse lui avait dit, pour combattre contre Amalek; et Moïse, Aaron, et Hur montèrent au sommet de la colline. Et il arrivait, lorsque Moïse élevait sa main, qu’Israël avait le dessus; et quand il reposait sa main, Amalek avait le dessus. Mais les mains de Moïse étaient pesantes, et ils prirent une pierre, et la mirent sous lui, et il s’assit dessus; et Aaron et Hur soutenaient ses mains, l’un deçà, et l’autre delà; et ses mains furent fermes jusqu’au coucher du soleil. Et Josué abattit Amalek et son peuple au tranchant de l’épée ». (vv.9-13).
Les versets ci-après ont été compilés pour votre édification et regroupés pour votre meilleure compréhension.
L’eau de Massa et Meriba :
- Foi éprouvée, exemples de
-Par un plan étrange Jos 6.3 Faites le tour de la ville, vous tous les hommes de guerre, faites une fois le tour de la ville. Tu feras ainsi pendant six jours.
-En réduisant l’effectif d’un général Jg 7.7 Et l’Éternel dit à Gédéon: C’est par les trois cents hommes qui ont lapé, que je vous sauverai et que je livrerai Madian entre tes mains. Que tout le reste du peuple s’en aille chacun chez soi.
-En exigeant que l’on dépende d’une pauvre veuve 1 Rois 17.9 Lève-toi, va à Sarepta, qui appartient à Sidon, et demeure là. Voici, j’y ai ordonné à une femme veuve de te nourrir.
-En réclamant le dernier morceau de pain 1 Rois 17.13 Élie lui dit: Ne crains point, rentre, fais comme tu as dit. Seulement, prépare-moi d’abord avec cela un petit gâteau, et tu me l’apporteras; tu en feras ensuite pour toi et pour ton fils.
-En exigeant ce qui semblait un travail inutile 2 Rois 3.16 Et il dit: Ainsi parle l’Éternel: Faites dans cette vallée des fosses, des fosses!
-En exigeant une préparation importante sans bénédiction en vue 2 Rois 4.3 Et il dit: Va demander au dehors des vases chez tous tes voisins, des vases vides, et n’en demande pas un petit nombre.
-Autres exemples Mt 9.28 Lorsqu’il fut arrivé à la maison, les aveugles s’approchèrent de lui, et Jésus leur dit: Croyez-vous que je puisse faire cela? Oui, Seigneur, lui répondirent-ils. Mc 7.27 Laisse d’abord les enfants se rassasier; car il n’est pas bien de prendre le pain des enfants, et de le jeter aux petits chiens. 1 P 1.7 Laisse d’abord les enfants se rassasier; car il n’est pas bien de prendre le pain des enfants, et de le jeter aux petits chiens.
- Souveraineté de Dieu sur Israël
Ex 19.8 Le peuple tout entier répondit: Nous ferons tout ce que l’Éternel a dit. Moïse rapporta les paroles du peuple à l’Éternel. Nb 9.18 Les enfants d’Israël partaient sur l’ordre de l’Éternel, et ils campaient sur l’ordre de l’Éternel; ils campaient aussi longtemps que la nuée restait sur le tabernacle. Dt 29.12 Tu te présentes pour entrer dans l’alliance de l’Éternel, ton Dieu, dans cette alliance contractée avec serment, et que l’Éternel, ton Dieu, traite en ce jour avec toi, Jg 8.23 Gédéon leur dit: Je ne dominerai point sur vous, et mes fils ne domineront point sur vous; c’est l’Éternel qui dominera sur vous.
- Implorer Dieu, exemples
Ex 17.4 Moïse cria à l’Éternel, en disant: Que ferai-je à ce peuple? Encore un peu, et ils me lapideront. Jg 3.9 Les enfants d’Israël crièrent à l’Éternel, et l’Éternel leur suscita un libérateur qui les délivra, Othniel, fils de Kenaz, frère cadet de Caleb. Ps 34.6 Quand on tourne vers lui les regards, on est rayonnant de joie, Et le visage ne se couvre pas de honte. Ps 61.2 O Dieu! écoute mes cris, Sois attentif à ma prière!
- Obéissance, exemples
Noé Gn 6.22 C’est ce que fit Noé: il exécuta tout ce que Dieu lui avait ordonné.
-Abraham Gn 22.2-3 Dieu dit: Prends ton fils, ton unique, celui que tu aimes, Isaac; va-t’en au pays de Morija, et là offre-le en holocauste sur l’une des montagnes que je te dirai. 3 Abraham se leva de bon matin, sella son âne, et prit avec lui deux serviteurs et son fils Isaac. Il fendit du bois pour l’holocauste, et partit pour aller au lieu que Dieu lui avait dit.
-Betsaleel Ex 36.1 Betsaleel, Oholiab, et tous les hommes habiles, en qui l’Éternel avait mis de la sagesse et de l’intelligence pour savoir et pour faire, exécutèrent les ouvrages destinés au service du sanctuaire, selon tout ce que l’Éternel avait ordonné.
-Josué 11.15 Josué exécuta les ordres de l’Éternel à Moïse, son serviteur, et de Moïse à Josué; il ne négligea rien de tout ce que l’Éternel avait ordonné à Moïse.
-Ézéchias 2 Rois 18.6 Il fut attaché à l’Éternel, il ne se détourna point de lui, et il observa les commandements que l’Éternel avait prescrits à Moïse.
-Joseph et Marie Lc 2.39 Lorsqu’ils eurent accompli tout ce qu’ordonnait la loi du Seigneur, Joseph et Marie retournèrent en Galilée, à Nazareth, leur ville.
-Paul Ac 26.19 En conséquence, roi Agrippa, je n’ai point résisté à la vision céleste:
-Christ Hb 5.7 C’est lui qui, dans les jours de sa chair, ayant présenté avec de grands cris et avec larmes des prières et des supplications à celui qui pouvait le sauver de la mort, et ayant été exaucé à cause de sa piété,
De tout ce qui précède, nous notons qu’il y a ici deux choses distinctes: le combat et l’intercession. Christ est en haut pour nous, tandis que le Saint Esprit combat puissamment en nous. Ces deux choses vont ensemble: à mesure que, par la foi, nous réalisons la puissance de l’intercession de Christ en notre faveur, nous triomphons de notre mauvaise nature. « Celui qui est mort est justifié du péché ». (Rm 6.7). « Sachant ceci, que notre vieil homme a été crucifié avec lui afin que le corps du péché soit annulé, pour que nous ne servions plus le péché ». (Rm 6:6). « Et Josué abattit Amalek et son peuple au tranchant de l’épée ». Tout était victoire, et la bannière de l’Éternel flottait sur l’armée triomphante, portant cette belle et encourageante inscription: « Jéhovah-Nissi » (l’Éternel mon enseigne). Il est mort pour nous, et maintenant il vit en nous. La mort de Christ nous donne la paix; sa vie nous donne la puissance. Il est édifiant de remarquer le contraste qui existe entre Moïse sur la colline et Christ sur le trône. Les mains de notre grand Intercesseur ne peuvent jamais devenir pesantes; son intercession n’est jamais interrompue. « Il est toujours vivant pour intercéder pour nous ». (Hb 7:25). Son intercession est incessante et toute-puissante. Ayant pris place dans les cieux dans la puissance de la justice divine, il agit pour nous selon ce qu’il est, et selon la perfection infinie de ce qu’il a fait. Ses mains ne peuvent jamais devenir pesantes, et il n’a besoin de personne pour les soutenir. Son intercession parfaite est fondée sur son sacrifice parfait. Il nous présente à Dieu, revêtus de ses propres perfections, de sorte que, bien que nous ayons toujours lieu de cacher notre face dans la poussière, dans le sentiment de ce que nous sommes réellement, le Saint Esprit toutefois ne peut témoigner de nous que d’après ce que Christ est pour nous et ce que nous sommes en lui. « Nous ne sommes pas dans la chair, mais dans l’Esprit ». (Rm 8:9). Quant au fait de notre condition, nous sommes dans le corps; mais nous ne sommes pas dans la chair quant au principe de notre position. En outre, la chair est en nous, mais nous ne sommes pas dans la chair, parce que nous sommes vivants avec Christ. Remarquons encore en terminant, que Moïse avait avec lui sur la colline « la verge de Dieu », avec laquelle il avait frappé le rocher. Cette verge était le symbole ou l’expression de la puissance de Dieu, qui se manifeste également dans l’expiation et dans l’intercession. Quand l’œuvre de l’expiation fut accomplie, Christ s’assit dans les cieux, et envoya le Saint Esprit pour faire sa demeure dans l’Église; en sorte qu’il existe un lien indissoluble entre l’œuvre de Christ et l’œuvre du Saint Esprit. Il y a, dans chacune d’elles, l’application de la puissance de Dieu. Nos prières vous y accompagnent tous.
PRIÈRE D’ACCEPTATION DE JESUS-CHRIST COMME SEIGNEUR ET SAUVEUR PERSONNEL
J’invite à présent toute personne qui veut devenir une nouvelle création en marchant dans la vérité, à faire avec moi la prière suivante :
Seigneur Jésus, j’ai longtemps marché dans les convoitises du monde en ignorant ton amour pour les humains. Je reconnais avoir péché contre toi et te demande pardon pour tous mes péchés, car aujourd’hui j’ai décidé de te donner ma vie en te prenant comme Seigneur et Sauveur personnel. Je reconnais que tu es mort à la croix du Calvaire et que tu es ressuscité des morts pour moi.
Je suis maintenant sauvé(e) et né(e) de nouveau par la puissance du Saint-Esprit. Conduis-moi chaque jour vers la vie éternelle que tu donnes à tous ceux qui obéissent à ta Parole. Révèle-toi à moi et fortifie mon coeur et ma foi, afin que ta lumière luise dans ma vie dès maintenant.
Merci, Seigneur Jésus de m’accepter dans ta famille divine, afin que je puisse aussi contempler les merveilles de ton royaume en marchant selon tes voies.
Je vais choisir maintenant un point d’eau tout proche où me baptiser par immersion, au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.
A toi toute l’adoration, la puissance et la gloire, maintenant et pour les siècles des siècles. Amen !
Je serais content de réagir à vos questions et commentaires éventuels, avant de partager avec vous demain « Rencontre de Moïse et de son beau-père Jéthro. » (Ex 18)
Que le Seigneur Jésus-Christ vous bénisse abondamment.
David Feze, Serviteur de l’Éternel des armées.