Bien-aimés, j’ai la joie de partager avec vous aujourd’hui le thème ci-dessus tiré de Luc 17.17. En effet, dix lépreux rencontrent Jésus, élèvent la voix vers Lui et s’en vont guéris. Un seul, le Samaritain, tient à remercier son Sauveur. Ainsi dans la grande chrétienté, parmi tous ceux qui sont sauvés, un petit nombre seulement sait “revenir” pour rendre culte au Seigneur. En faites-vous partie? Parlons-en.

En se rendant de Galilée à Jérusalem, Jésus rencontra, dans un village, dix hommes lépreux qui s’arrêtèrent de loin et crièrent: “Jésus, maître, aie pitié de nous! Dès qu’il les eut vus, il leur dit: Allez vous montrer aux sacrificateurs. Et, pendant qu’ils y allaient, il arriva qu’ils furent guéris”. Les sacrificateurs n’avaient qu’à constater la guérison; ils ne faisaient rien de plus. Car Dieu seul pouvait guérir de cette terrible maladie. Mais l’un d’eux se voyant guéri, revint sur ses pas, glorifiant Dieu à haute voix. Il tomba sur sa face aux pieds de Jésus, et lui rendit grâces. C’était un Samaritain. Jésus, prenant la parole, dit: Les dix n’ont-ils pas été guéris? Et les neuf autres, où sont-ils? Ne s’est-il trouvé que cet étranger pour revenir et donner gloire à Dieu?

Nous avons vu que la grâce remplaçant la loi, amenait un changement complet dans la manière d’agir de ceux qui en étaient les objets. Car la personne du Seigneur en est la source, l’expression comme il est l’objet du cœur qui a puisé à cette source. Dès lors, les formes du culte ordonné par Moïse, pendant que Dieu n’était pas révélé en grâce, n’avaient plus aucune valeur, comme le montre l’épître aux Hébreux. C’est aussi la leçon de la guérison des dix lépreux et la conduite du Samaritain guéri. 

Car les neuf qui étaient Juifs, délivrés comme le Samaritain, ne se sont pas laissé diriger par la grâce dont ils avaient été les objets; ils sont restés  attachés au système légal qui n’était que figure et ombre de ce que Jésus venait introduire; car tout en étant guéris, ils ne sont pas allés plus loin. Mais le Samaritain, hors de l’emprise de la loi, revenu naturellement à Christ-Jésus source de la grâce, donne gloire à Dieu et se jette aux pieds du Sauveur pour le bénir. Aussi Jésus lui dit: “Lève-toi, va; ta foi t’a guéri”. Car il possède désormais tout ce qui est nécessaire pour le temps et l’éternité; il n’a besoin ni de la loi, ni des sacrificateurs.

En effet, dans son attitude, il présente l’état normal de tout croyant lavé de ses péchés par le sang de Christ(nous savons que la lèpre est une figure du péché), il est devenu un adorateur de Dieu révélé en Christ, du Dieu de grâce et de Christ lui-même. Tel est le culte rendu au Père et au Fils depuis que le Saint-Esprit est descendu pour faire connaître tous les résultats de l’œuvre de Christ. 

Telle devrait être aussi l’attitude constante du croyant, aux pieds du Seigneur, source de tout bonheur, de la lumière et de l’amour. Là son cœur peut être alimenté de la grâce et de la puissance dont il a besoin pour agir, afin qu’il ne soit en scandale à personne, qu’il use de grâce envers tous et serve le Seigneur sans compter, en retour de tout son amour pour nous.

On comprend mieux la perte que firent les neuf, demeurés attachés aux ordonnances qui les empêchaient de se mouvoir librement sur le terrain de la grâce, avec Jésus pour centre et pour objet, pourtant guéris, mais sans joie réelle ni développement spirituel. Cet état est aujourd’hui celui de beaucoup de personnes sauvées, sans être affranchies des systèmes humains qui voilent la beauté et la valeur de leur Sauveur et Seigneur, et les empêchent de croître à la ressemblance morale de celui que tout croyant peut contempler à face découverte, pour être transformé à son image de gloire en gloire (2 Co 3.18). Le Seigneur est ainsi privé de la gloire qui lui revient par un témoignage fidèle.

Mais il n’y a pas que les systèmes humains qui entravent le développement spirituel et privent le Père et le Fils d’un culte vrai et d’une marche fidèle dans la jouissance de la grâce. Car les mille choses de ce monde, légitimes et autres, qui occupent le cœur et distraient de sa personne, nous sont nuisibles et nous causent une perte présente et éternelle. Alors le racheté ne peut avoir d’autre objet pour son cœur que son Seigneur.

C’est pourquoi les paroles que l’Esprit de Dieu adresse à l’épouse juive du Roi, s’adressent à son épouse céleste aujourd’hui: “Écoute, ma fille, vois, et prête l’oreille; Oublie ton peuple et la maison de ton père. Le roi porte ses désirs sur ta beauté; Puisqu’il est ton seigneur, rends-lui tes hommages.” (Ps 45.11-12). En principe, c’est la position qu’avait prise le Samaritain guéri, et celle que doit prendre tout racheté du Seigneur sur la terre, en attendant de la réaliser dans la gloire. L’avons-nous déjà prise? Hâtons-nous de le faire.

Quelles leçons retenir de cet enseignement ? 

(a)La vraie transformation: Un de ces hommes était différent. C’était un Samaritain. Lorsqu’il réalisa et vit de ses propres yeux que les plaies ouvertes, lépreuses qu’il avait sur le corps et qui avaient miné sa vie, étaient en train de disparaître, il revint sur ses pas et « glorifiant Dieu à haute voix, il tomba sur sa face aux pieds de Jésus, et lui rendit grâces » (Luc 17 : 15-16). Il L’avait appelé « Maître » avant de recevoir son miracle, mais il revint en adorant et en glorifiant Jésus avec reconnaissance comme son « Maître » également après l’avoir reçu. Beaucoup de gens appellent Jésus leur « Maître » lorsqu’ils sont dans le besoin, mais combien d’entre eux continuent à Le traiter comme leur « Maître » par leur adoration et leur reconnaissance après avoir été guéris ? Ces dix lépreux furent touchés par la puissance de Dieu et virent leur lèpre être guérie. Mais je crois que seul un lépreux fut véritablement transformé ! C’était le Samaritain qui retourna pour remercier et rendre gloire au Seigneur et reconnaître Jésus comme son véritable « Maître ». Jésus dit de cet homme : « Ta foi t’a sauvé ».

Car la reconnaissance dans nos coeurs est une force tout aussi transformatrice que la main de Dieu qui guérit la lèpre. Un coeur qui a été véritablement transformé par la main de Dieu est un miracle plus grand qu’un corps guéri. A l’époque de Jésus, il y eut beaucoup de gens qui virent et expérimentèrent dans leur vie la puissance de Sa main miraculeuse, pourtant, leurs coeurs ne furent jamais transformés ! Nous voyons au travers des évangiles cette triste réalité se reproduire à maintes reprises. Les réunions les plus notoires de Jésus eurent lieu dans les villes de Bethsaïda, Capernaüm et Chorazin (Matthieu 11 : 20 -24). Les habitants de ces trois villes étaient sortis dans le désert où Jésus était allé se réfugier pour se reposer, car ils avaient faim de Sa puissance et de Son oeuvre. Jésus fut ému de compassion et dit qu’ils étaient comme un troupeau sans berger. Il les enseigna, les guérit de toutes leurs maladies et les nourrit miraculeusement avec le repas frugal d’un petit garçon de deux poissons et cinq pains. Des milliers mangèrent jusqu’à satiété.

Pourtant, c’est de ces mêmes personnes dont il est question dans Matthieu 11 : 20 où nous lisons : « Alors il se mit à faire des reproches aux villes dans lesquelles avaient eu lieu la plupart de ses miracles, parce qu’elles ne s’étaient pas repenties ». Jésus alla même jusqu’à juger sévèrement toutes ces villes en les comparant à Sodome et Gomorrhe qui se seraient repenties et subsisteraient encore aujourd’hui si elles avaient pu expérimenter ce que ces gens-là avaient vécu. En fait, cela semble peut-être difficile pour beaucoup d’accepter cette réalité, mais la plupart des gens qui ont reçu les plus grands miracles de la part de Jésus sont peut-être bien en enfer aujourd’hui ! Comment cela est-il possible ? C’est très simple. Un miracle de guérison produira un changement physique qui ne durera qu’une vie. Le miracle d’un coeur transformé qui a un style de vie de gratitude et de reconnaissance envers Dieu pour le miracle qu’Il a accompli, durera pour l’éternité ! Dix lépreux furent touchés et bénis, mais apparemment seul l’un d’eux fut transformé par la grande puissance de la reconnaissance qui était dans son coeur.

Notre prière est que nous vivions chacun dans une attitude de reconnaissance continuelle pour ce que Jésus a fait dans nos vies. Ne cherchons pas seulement Sa face et Son oeuvre dans les temps où nous sommes dans le besoin pour continuer notre chemin sans prendre le temps de revenir pour L’aimer, L’adorer et Lui donner en retour le meilleur de nous-mêmes ! Lorsque nous venons à Jésus comme le lépreux pour Le remercier et L’adorer, alors nous découvrons les vrais trésors du Royaume de Dieu dans nos vies. Une reconnaissance vécue au quotidien fait vraiment de Jésus le Maître de nos vies.

(b)La reconnaissance ouvre les portes: Ce concept de reconnaissance est profondément ancré dans les Ecritures. Le mot « reconnaissance » et ses dérivés apparaissent à 137 endroits dans la Bible. C’est une force spirituelle puissante que la plupart des gens oublient. Un style de vie de reconnaissance et de gratitude envers Dieu peut être en fait, l’une des armes spirituelles les plus efficaces qui existent et il a le potentiel de libérer les plus riches bénédictions de Dieu dans nos vies ! Dans les Psaumes, nous avons un exemple puissant de cette vérité. La Bible dit : Psaumes 100 : 1-4  Psaume de louange. Poussez vers l’Éternel des cris de joie, Vous tous, habitants de la terre! 2 Servez l’Éternel, avec joie, Venez avec allégresse en sa présence! 3 Sachez que l’Éternel est Dieu! C’est lui qui nous a faits, et nous lui appartenons; Nous sommes son peuple, et le troupeau de son pâturage. 4 Entrez dans ses portes avec des louanges, Dans ses parvis avec des cantiques! Célébrez-le, bénissez son nom! C’est tout simplement la révélation d’un grand principe spirituel qui nous donne la clé pour entrer dans le coffre-fort des bénédictions de Dieu. La reconnaissance et la louange à Dieu ouvrent littéralement les portes qui séparent le ciel et la terre et permettent aux gens d’entrer dans la présence du Seigneur et d’avoir accès à toutes Ses bénédictions. En effet, la plupart des gens prient car ils sont dans une situation de besoin ou de manque et ils demandent à Dieu de venir et de faire quelque chose pour changer leurs circonstances actuelles. Beaucoup prient car ils ont peur ou se font du souci. D’autres prient car ils sont insatisfaits. Si nous sommes vraiment honnêtes et réalistes, la vie de prière de beaucoup de chrétiens se résume à un temps de plaintes auprès de Dieu concernant leur situation ou des choses dans leur vie qui les rendent malheureux !

Car lorsque Dieu éprouva le coeur du peuple d’Israël dans le désert, ceci était au centre de leur problème. La présence visible et manifeste de Dieu les couvrait d’une nuée le jour et d’un feu la nuit mais apparemment cela ne leur suffisait pas ! La manne du Ciel tomba chaque matin pour eux, pourtant, ils gémirent et languirent après les concombres et les melons qu’ils avaient mangés pendant leur esclavage en Egypte. De l’eau fraîche et pure jaillit surnaturellement d’un rocher, une chose que la plupart d’entre eux n’avaient jamais expérimentée, et pourtant ceci ne leur suffit pas non plus. Dieu les menait vers un pays qui bientôt leur appartiendrait, mais ils se plaignaient constamment de leur situation et L’accusèrent de leur vouloir du mal. En raison de leur attitude de coeur, la plupart d’entre eux moururent dans le désert. Leurs plaintes et insatisfactions interrompirent ce que Dieu voulait accomplir, c’est-à-dire les amener dans un endroit merveilleux qu’Il avait préparé pour eux ! Ils n’arrivèrent jamais à destination, dans cet endroit merveilleux, en raison du manque de gratitude, de reconnaissance et de louange. Leur plainte et leur mécontentement qui étaient en réalité une accusation d’injustice contre tout ce que Dieu faisait dans leur vie, fermèrent finalement les « portes » vers toutes les promesses que Dieu avait en réserve pour eux depuis Abraham !

Les versets ci-après ont été compilés pour votre édification et regroupés pour votre meilleure compréhension.

  • Humilité, personnes trouvées auprès de Christ :

-les malades : Mt 15.30 Alors s’approcha de lui une grande foule, ayant avec elle des boiteux, des aveugles, des muets, des estropiés, et beaucoup d’autres malades. On les mit à ses pieds, et il les guérit; -un père affligé : Mc 5.22-23 Alors vint un des chefs de la synagogue, nommé Jaïrus, qui, l’ayant aperçu, se jeta à ses pieds, 23 et lui adressa cette instante prière: Ma petite fille est à l’extrémité, viens, impose-lui les mains, afin qu’elle soit sauvée et qu’elle vive. -une femme pécheresse : Lc 7.37-38 Et voici, une femme pécheresse qui se trouvait dans la ville, ayant su qu’il était à table dans la maison du pharisien, apporta un vase d’albâtre plein de parfum, 38 et se tint derrière, aux pieds de Jésus. Elle pleurait; et bientôt elle lui mouilla les pieds de ses larmes, puis les essuya avec ses cheveux, les baisa, et les oignit de parfum. -un démoniaque guéri : Lc 8.35 Les gens allèrent voir ce qui était arrivé. Ils vinrent auprès de Jésus, et ils trouvèrent l’homme de qui étaient sortis les démons, assis à ses pieds, vêtu, et dans son bon sens; et ils furent saisis de frayeur. -une femme qui cherchait la vérité : Lc 10.39 Elle avait une soeur, nommée Marie, qui, s’étant assise aux pieds du Seigneur, écoutait sa parole. -une sœur en deuil : Jn 11.32 Lorsque Marie fut arrivée là où était Jésus, et qu’elle le vit, elle tomba à ses pieds, et lui dit: Seigneur, si tu eusses été ici, mon frère ne serait pas mort. -un adorateur respectueux : Ap 1.17 Quand je le vis, je tombai à ses pieds comme mort. Il posa sur moi sa main droite en disant: Ne crains point!

  • Respect envers Christ :

Mt 8.2 Et voici, un lépreux s’étant approché se prosterna devant lui, et dit: Seigneur, si tu le veux, tu peux me rendre pur. Mt 9.18 Tandis qu’il leur adressait ces paroles, voici, un chef arriva, se prosterna devant lui, et dit: Ma fille est morte il y a un instant; mais viens, impose-lui les mains, et elle vivra. Mt 15.25 Mais elle vint se prosterner devant lui, disant: Seigneur, secours-moi! Mt 20.20 Alors la mère des fils de Zébédée s’approcha de Jésus avec ses fils, et se prosterna, pour lui faire une demande. Mc 5.22 Alors vint un des chefs de la synagogue, nommé Jaïrus, qui, l’ayant aperçu, se jeta à ses pieds; Mc 7.25 Car une femme, dont la fille était possédée d’un esprit impur, entendit parler de lui, et vint se jeter à ses pieds. Jn 9.38 Et il dit: Je crois, Seigneur. Et il se prosterna devant lui.

  • Ingratitude envers Dieu :

Dt 32.6 Est-ce l’Éternel que vous en rendrez responsable, Peuple insensé et dépourvu de sagesse? N’est-il pas ton père, ton créateur? N’est-ce pas lui qui t’a formé, et qui t’a affermi? Neh 9.26 Néanmoins, ils se soulevèrent et se révoltèrent contre toi. Ils jetèrent ta loi derrière leur dos, ils tuèrent tes prophètes qui les conjuraient de revenir à toi, et ils se livrèrent envers toi à de grands outrages. Ez 16.17-18 Tu as pris ta magnifique parure d’or et d’argent, que je t’avais donnée, et tu en as fait des simulacres d’hommes, auxquels tu t’es prostituée. 18 Tu as pris tes vêtements brodés, tu les en as couverts, et tu as offert à ces simulacres mon huile et mon encens. Rm 1.21 puisque ayant connu Dieu, ils ne l’ont point glorifié comme Dieu, et ne lui ont point rendu grâces; mais ils se sont égarés dans leurs pensées, et leur coeur sans intelligence a été plongé dans les ténèbres. 

  • Infirmité spirituelle, guérison :

Ps 41.5 Je dis: Éternel, aie pitié de moi! Guéris mon âme! car j’ai péché contre toi. Es 53.5 Mais il était blessé pour nos péchés, Brisé pour nos iniquités; Le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, Et c’est par ses meurtrissures que nous sommes guéris. Jr 3.22 Revenez, enfants rebelles, Je pardonnerai vos infidélités. -Nous voici, nous allons à toi, Car tu es l’Éternel, notre Dieu. Os 6.1 Venez, retournons à l’Éternel! Car il a déchiré, mais il nous guérira; Il a frappé, mais il bandera nos plaies. Lc 4.18 L’Esprit du Seigneur est sur moi, Parce qu’il m’a oint pour annoncer une bonne nouvelle aux pauvres; Il m’a envoyé pour guérir ceux qui ont le coeur brisé; Ap 22.2 Au milieu de la place de la ville et sur les deux bords du fleuve, il y avait un arbre de vie, produisant douze fois des fruits, rendant son fruit chaque mois, et dont les feuilles servaient à la guérison des nations.

De tout ce qui précède, nous notons que c’est notre foi qui nous guérit, et nous devrions nous demander: « Combien il y a-t-il de reconnaissance dans ma vie de prière à Dieu pour tout ce qu’Il a déjà accompli dans ma vie et m’a donné ? » ou, « Combien de temps est-ce que je passe à supplier Dieu de changer les choses que je n’aime pas dans ma vie ? ». Et le pourcentage que nous donnons en réponse à ces questions déterminera grandement la part de paix, de joie, de bénédictions, d’accomplissement et de victoire dans nos vies! Si nous regardons en arrière, nous avons tant de raisons d’être reconnaissants. Car un coeur reconnaissant élève ses actions de grâce et sa louange à Celui qui a pourvu à tous ses besoins, à Celui qui nous a soutenus, préservés, aidés et consolés. Pourquoi ne pas prendre quelques instants pour faire une pause et méditer sur la bonté de Dieu qui nous a été manifestée toute l’année passée ? Nos prières vous soutiennent tous dans vos efforts à suivre les pas du Seigneur Jésus et le louer pour ses bienfaits.

PRIERE D’ACCEPTATION DE JESUS-CHRIST COMME SEIGNEUR ET SAUVEUR PERSONNEL

J’invite à présent toute personne qui veut devenir une nouvelle création en marchant dans la vérité, à faire avec moi la prière suivante:

Seigneur Jésus, j’ai longtemps marché dans les convoitises du monde en ignorant ton amour pour les humains. Je reconnais avoir péché contre toi et te demande pardon pour tous mes péchés, car aujourd’hui j’ai décidé de te donner ma vie en te prenant comme Seigneur et Sauveur personnel. Je reconnais que tu es mort à la croix du Calvaire et que tu es ressuscité des morts pour moi. 

Je suis maintenant sauvé(e) et né(e) de nouveau par la puissance du Saint-Esprit. Conduis-moi chaque jour vers la vie éternelle que tu donnes à tous ceux qui obéissent à ta Parole. Révèle-toi à moi et fortifie mon coeur et ma foi, afin  que ta lumière luise dans ma vie dès maintenant.

Merci Seigneur Jésus de m’accepter dans ta famille divine, afin que je puisse aussi contempler les merveilles de ton royaume.

Je vais choisir maintenant un point d’eau tout proche où me baptiser par immersion, au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.

A toi toute l’adoration, la puissance et la gloire, maintenant et pour les siècles des siècles. Amen !

Je serais content de réagir à vos questions et commentaires éventuels, avant de partager avec vous la semaine prochaine « Jésus qui enseigne sur celui qui est le plus grand.»

Que le Seigneur Jésus-Christ vous bénisse abondamment.

David Feze, Serviteur de l’Eternel des armées.

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