Bien-aimés, j’ai la joie de partager avec vous aujourd’hui le thème ci-dessus tiré de 2 Co 5. 1 et suivants. En effet, un artiste qui a fini de restaurer un portrait détérioré met son travail en valeur en y juxtaposant la photo du tableau initial. Car, étant souvent peu sensibles au péché, nous mesurons aussi trop peu la grâce qui nous pardonne et nous supporte. Et le tribunal de Christ nous en fera enfin réaliser toute l’immensité.
Pour s’acquitter de cette mission et persuader les hommes, deux grands motifs pressaient l’apôtre: la solennité du jugement: il connaissait combien le Seigneur doit être craint; et l’amour de Christ pour les âmes, amour sans lequel le prédicateur le plus éloquent n’est qu’un bronze qui résonne (1 Co 13.1-3). En quoi consiste encore le message de la réconciliation? Christ, le seul homme sans péché a été identifié sur la croix pour l’expier, avec le péché même. Ainsi Dieu a annulé en grâce le péché qui nous séparait de Lui. Car “Les choses vieilles sont passées”. Dieu ne les raccommode pas, ce n’est pas digne de Lui. Il se plaît à faire “toutes choses nouvelles”. Car “Si quelqu’un est en Christ, c’est une nouvelle création”
Ici, nous apprenons que, malgré toutes les choses merveilleuses dont les chapitres précédents nous ont entretenus, telles que contempler le Seigneur, être transformés à son image, communiquer sa vie au-dehors, jouir de ses gloires dans notre âme, il nous en manque encore une: c’est de Lui être conformes. Car être conformes n’est pas la même chose qu’être transformés. En effet, notre transformation se fait très lentement, comme celle des chrysalides qui semblent rester des mois dans le même état, quoique la transformation d’où sortira un jour le papillon complet, s’opère en secret. Pour lui être conformes, il faut que nous le voyions de nos propres yeux. C’est pourquoi l’apôtre aborde ici la question de notre corps. L’âme peut jouir du Seigneur, mais qu’adviendra-t-il du corps? “Nous savons que si notre maison terrestre, qui n’est qu’une tente, est détruite, nous avons un édifice de la part de Dieu, une maison qui n’est pas faite de main, éternelle, dans les cieux”.
L’apôtre présente le corps comme une tente qui est détruite, et l’on pourrait croire, d’après le “nous avons”, que l’édifice notre corps glorieux, nous est déjà préparé d’avance dans le ciel. Cela ne se peut pas, car nous entrerons dans le ciel avec le corps que nous possédions ici-bas, mais transformé en la conformité du corps de sa gloire(Ph 3.21). Alors, nous avons compris depuis que ce passage fait allusion, d’un côté au tabernacle, de l’autre au temple. Car le peuple d’Israël a eu pendant longtemps, même après son entrée en Canaan, comme “maison”, la tente érigée par Moïse dans le désert. Cependant cette tente ne devait pas durer toujours. Alors quand Salomon édifia le temple, il y transporta tous les ustensiles du tabernacle, qui lui-même disparut ensuite. Tout ce qu’il contenait faisait désormais partie du temple. C’était la même maison, et cependant l’une était passagère et l’autre subsistait glorieuse.
Malgré cela, le temple de Salomon était destiné à la terre; il n’était qu’une image des choses célestes; il était “de cette création”, il était “fait de main”(He 9.11). Nous avons aujourd’hui un tabernacle où Dieu habite, car notre corps est son temple; mais, comme le tabernacle, ce corps peut être détruit. Seulement “nous savons”, nous sommes absolument certains par la foi que, s’il est détruit, il sera remplacé par une maison éternelle dans les cieux. Ce sera la même maison, mais elle ne sera pas de cette création. L’Esprit de Dieu y habitera en gloire, comme il habite aujourd’hui en faiblesse dans notre maison terrestre. L’apôtre se réjouit à la pensée que, si sa tente est détruite, sa maison future durera éternellement dans le ciel.
En fixant les yeux sur Jésus, l’apôtre voyait ce qui s’était passé pour le Seigneur et ce qui, par conséquent, devait se passer pour nous tous. “Détruisez ce temple”, avait dit Jésus, “et en trois jours je le relèverai”. Il était venu dans ce monde pour laisser sa vie et, par conséquent, l’homme pouvait la lui ôter. Car le temple de son corps pouvait être détruit, mais il a pris en résurrection un corps glorieux. Ce corps qu’il habitait ici-bas, sans trace de péché, était un corps saint, mais n’était pas un corps glorieux: il l’est devenu par la résurrection. L’apôtre regarde au ciel, y voit Jésus dans son corps glorifié et peut dire: J’ai une maison, elle m’appartient, elle est dans les cieux. Un autre homme l’a déjà revêtue; je la revêtirai donc aussi et cela remplit son cœur de joie.
Il dit: “Car aussi, dans cette tente, nous gémissons”. Cette maison terrestre est en effet, un lieu où l’on entend bien des soupirs, où coulent bien des larmes, mais il ajoute: “désirant avec ardeur d’avoir revêtu notre domicile qui est du ciel”. Il a affaire avec la destruction de la tente, il y gémit, mais la mort n’est pas du tout ce qu’il attend. Son désir est non pas d’être dépouillé, mais d’être revêtu, afin que ce qui est mortel soit absorbé par la vie. Alors il attend le Seigneur Jésus dont la venue, tout en ressuscitant les saints endormis, transformera nos corps mortels, à nous qui vivons, sans que nous ayons à passer par la mort.
L’apôtre se trouve donc ici devant trois possibilités: d’abord, voir sa tente détruite et ressusciter immédiatement pour obtenir une maison qui n’est pas faite de main, éternelle dans les cieux; ensuite, revêtir, à la venue du Seigneur, son domicile qui est du ciel, sans passer par la mort; et enfin, quitter cette tente et être absent du corps, dans un état qui n’est pas la perfection, mais être présent avec le Seigneur. Même cette troisième solution lui suffit( à nous aussi), et il peut dire: “Cela est de beaucoup meilleur”.
Si, faisant un retour sur nous-mêmes, nous nous demandons comment notre âme se comporte vis-à-vis de ces trois éventualités, que répondrons-nous? Disons-nous, devant la possibilité de la mort: Je suis parfaitement heureux de pouvoir échanger cette pauvre maison contre une maison glorieuse que je connais bien, puisque mon Sauveur l’a revêtue? Disons-nous peut-être: J’attends le Seigneur d’un moment à l’autre? Dieu ne m’a pas formé pour mourir, mais il m’a “formé à cela même”, c’est-à-dire à être revêtu, afin que ce qui est mortel soit absorbé par la vie, et j’ai déjà son Esprit comme arrhes de mon espérance.
Tressaillons-nous de joie à la pensée que, d’un moment à l’autre, le Seigneur peut venir, mais aussi qu’il peut nous appeler à déposer notre tente, pour aller attendre auprès de Lui la perfection dans laquelle lui-même est entré et dans laquelle nous serons ses compagnons, éternellement? Dans ce que nous avons vu aujourd’hui, nous trouvons une seconde vérité qui concerne à la fois les croyants et les non-croyants: En effet, “Il faut que nous soyons tous manifestés devant le tribunal du Christ, afin que chacun reçoive les choses accomplies dans le corps, selon ce qu’il aura fait, soit bien, soit mal”. Et comme il y a deux résurrections, il y a aussi deux comparutions devant le tribunal du Christ. S’il s’agit de la résurrection des méchants, appelés les morts, nous apprenons qu’ils seront vêtus d’un corps ressuscité, afin de paraître devant le “trône blanc”, érigé quand il n’est plus trouvé de lieu, ni pour la terre, ni pour le ciel(Ap 20.11-15).
Ce trône est pour eux le tribunal de Christ. C’est là que le Seigneur Jésus est assis pour juger, car il est dit de Lui que Dieu l’a établi juge, non seulement des vivants, mais aussi des morts. Or, tout ressuscités qu’ils soient, ces hommes sont des morts. Car devant ce tribunal les livres sont ouverts, le livre de vie d’un côté, le livre des responsabilités de l’autre. Pas un seul mot ne sort de la bouche de ceux qui se tiennent devant ce tribunal. Ils sont jugés d’après leurs œuvres, s’ils ne sont pas trouvés écrits dans le livre de vie.
Il y a une seconde face du tribunal qui a trait d’une manière exclusive aux enfants de Dieu. “Il nous faut tous être manifestés devant le tribunal du Christ”. Il arrivera un moment, pour nous, chrétiens, où tout ce que nous avons été ou fait sera mis en pleine lumière devant le tribunal du Christ, en la présence de Dieu, et où rien absolument, ne sera caché. Mon histoire tout entière, depuis le commencement, jusqu’au moment où il plaira à Dieu de me rappeler à Lui, sera mise au jour.
Nous avons vu quelle est l’attitude du monde d’un côté, des chrétiens de l’autre, vis à-vis de ces trois choses: le péché, la mort, et le jugement. Quand le pécheur est placé devant ces trois questions, son état est absolument désespéré et il n’a rien à attendre qu’une misère éternelle. Il en est tout autrement du chrétien: Où sont ses péchés? Disparus! Car la question du péché ayant été réglée pour lui à la croix, où Christ a été fait péché à notre place. S’agit-il de la mort, elle est pour nous l’antichambre de la résurrection, ou mieux encore! La mort est comme un accident sur notre chemin, car c’est la résurrection qui est la réalité.
Les versets ci-après ont été compilés pour votre édification et regroupés pour votre meilleure compréhension.
- Demeure céleste ou demeure finale des justes Col 1.5 à cause de l’espérance qui vous est réservée dans les cieux, et que la parole de la vérité, la parole de l’Évangile vous a précédemment fait connaître.
-un dépôt sur pour les trésors Mt 6.20 mais amassez-vous des trésors dans le ciel, où la teigne et la rouille ne détruisent point, et où les voleurs ne percent ni ne dérobent.
-contient un registre des justes Lc 10.20 Cependant, ne vous réjouissez pas de ce que les esprits vous sont soumis; mais réjouissez-vous de ce que vos noms sont écrits dans les cieux.
-un lieu pour tous les croyants Jn 14.2 Il y a plusieurs demeures dans la maison de mon Père. Si cela n’était pas, je vous l’aurais dit. Je vais vous préparer une place.
-le Christ glorifié est entré dans la demeure céleste Ac 7.55-56 Mais Étienne, rempli du Saint Esprit, et fixant les regards vers le ciel, vit la gloire de Dieu et Jésus debout à la droite de Dieu. 56 il dit: Voici, je vois les cieux ouverts, et le Fils de l’homme debout à la droite de Dieu.
-construite par la main de Dieu 2 Co 5.1 Nous savons, en effet, que, si cette tente où nous habitons sur la terre est détruite, nous avons dans le ciel un édifice qui est l’ouvrage de Dieu, une demeure éternelle qui n’a pas été faite de main d’homme. He 11.10 Car il attendait la cité qui a de solides fondements, celle dont Dieu est l’architecte et le constructeur.
-les rachetés de toutes les nations rassemblées dans la demeure céleste Ap 7.9 Après cela, je regardai, et voici, il y avait une grande foule, que personne ne pouvait compter, de toute nation, de toute tribu, de tout peuple, et de toute langue. Ils se tenaient devant le trône et devant l’agneau, revêtus de robes blanches, et des palmes dans leurs mains. Ap 21.1 Puis je vis un nouveau ciel et une nouvelle terre; car le premier ciel et la première terre avaient disparu, et la mer n’était plus.
-l’obéissance, condition pour entrer dans la demeure céleste Ap 22.14 Heureux ceux qui lavent leurs robes, afin d’avoir droit à l’arbre de vie, et d’entrer par les portes dans la ville!
- Les Sept certitudes qui encouragent le croyant
-Promesses certaines 1 Rois 8.56 Béni soit l’Éternel, qui a donné du repos à son peuple d’Israël, selon toutes ses promesses! De toutes les bonnes paroles qu’il avait prononcées par Moïse, son serviteur, aucune n’est restée sans effet.
-les Fondements certains Es 28.16 C’est pourquoi ainsi parle le Seigneur, l’Éternel: Voici, j’ai mis pour fondement en Sion une pierre, Une pierre éprouvée, une pierre angulaire de prix, solidement posée; Celui qui la prendra pour appui n’aura point hâte de fuir.
-les Récompenses certaines Mt 10.42 Et quiconque donnera seulement un verre d’eau froide à l’un de ces petits parce qu’il est mon disciple, je vous le dis en vérité, il ne perdra point sa récompense.
-l’Acceptation assurée Jn 6.37 Tous ceux que le Père me donne viendront à moi, et je ne mettrai pas dehors celui qui vient à moi;
-l’Amour divin Rm 8.39 ni les puissances, ni la hauteur, ni la profondeur, ni aucune autre créature ne pourra nous séparer de l’amour de Dieu manifesté en Jésus Christ notre Seigneur.
-l’Immortalité assurée 2 Co 5.1 Nous savons, en effet, que, si cette tente où nous habitons sur la terre est détruite, nous avons dans le ciel un édifice qui est l’ouvrage de Dieu, une demeure éternelle qui n’a pas été faite de main d’homme.
-l’Ancre éternelle He 6.19 Cette espérance, nous la possédons comme une ancre de l’âme, sûre et solide; elle pénètre au delà du voile,
- Immortalité
Lc 20.36 Car ils ne pourront plus mourir, parce qu’ils seront semblables aux anges, et qu’ils seront fils de Dieu, étant fils de la résurrection. Jn 8.51 En vérité, en vérité, je vous le dis, si quelqu’un garde ma parole, il ne verra jamais la mort. Jn 11. 26 et quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais. Crois-tu cela? Rm 2.7 réservant la vie éternelle à ceux qui, par la persévérance à bien faire, cherchent l’honneur, la gloire et l’immortalité; 1 Co 15.53 Car il faut que ce corps corruptible revête l’incorruptibilité, et que ce corps mortel revête l’immortalité. 2 Co 5.1 Nous savons, en effet, que, si cette tente où nous habitons sur la terre est détruite, nous avons dans le ciel un édifice qui est l’ouvrage de Dieu, une demeure éternelle qui n’a pas été faite de main d’homme. 1 Th 4.17 Ensuite, nous les vivants, qui seront restés, nous serons tous ensemble enlevés avec eux sur des nuées, à la rencontre du Seigneur dans les airs, et ainsi nous serons toujours avec le Seigneur. 2 Tim 1.10 et qui a été manifestée maintenant par l’apparition de notre Sauveur Jésus Christ, qui a détruit la mort et a mis en évidence la vie et l’immortalité par l’Évangile.
- Plaidoiries divines
Pr 1.24 Puisque j’appelle et que vous résistez, Puisque j’étends ma main et que personne n’y prend garde; Es 1.18 Venez et plaidons! dit l’Éternel. Si vos péchés sont comme le cramoisi, ils deviendront blancs comme la neige; S’ils sont rouges comme la pourpre, ils deviendront comme la laine. Es 55.1 Vous tous qui avez soif, venez aux eaux, Même celui qui n’a pas d’argent! Venez, achetez et mangez, Venez, achetez du vin et du lait, sans argent, sans rien payer! Ez 18.31 Rejetez loin de vous toutes les transgressions par lesquelles vous avez péché; faites-vous un coeur nouveau et un esprit nouveau. Pourquoi mourriez-vous, maison d’Israël? Mi 6.3 Mon peuple, que t’ai-je fait? En quoi t’ai-je fatigué? Réponds-moi! Mt 23.37 Jérusalem, Jérusalem, qui tues les prophètes et qui lapides ceux qui te sont envoyés, combien de fois ai-je voulu rassembler tes enfants, comme une poule rassemble ses poussins sous ses ailes, et vous ne l’avez pas voulu! Rm 10.21 Mais au sujet d’Israël, il dit: J’ai tendu mes mains tout le jour vers un peuple rebelle Et contredisant. 2 Co 5.20 Nous faisons donc les fonctions d’ambassadeurs pour Christ, comme si Dieu exhortait par nous; nous vous en supplions au nom de Christ: Soyez réconciliés avec Dieu!
De tout ce qui précède, nous notons que nous avons aussi vu que la question de la mort est comme l’assise même de l’Évangile. On ne peut annoncer un salut complet dans toute sa force et dans toute sa puissance, sans présenter ce qui lui sert de point de départ, la mort morale du pécheur perdu, et c’est en quoi l’évangélisation actuelle manque si gravement. C’est pourquoi il joignait ensemble ces deux grandes vérités de l’Évangile: la mort et l’amour: Car “Si un est mort pour tous, tous donc sont morts”. La preuve était donnée qu’il n’y a dans l’âme d’aucun pécheur aucune étincelle de la vie de Dieu, mais que Son amour a trouvé moyen de nous substituer à tous un seul homme, venu pour se placer dans la position où nous étions et en porter toutes les conséquences. Il est donc mort. Pour qui? Pour tous. Son amour l’a fait descendre là et se substituer à nous sous la sentence de mort. Mais Dieu ne pouvait laisser dans la mort son Fils bien-aimé, auquel cette œuvre avait tout coûté, même sa propre vie. Alors, comme Dieu l’avait donné pour nous, il le ressuscite pour nous: “Celui qui pour vous est mort et a été ressuscité”. Car Paul désirait avec ardeur la gloire céleste (2 Co 5.1-10) mais en attendant il s’appliquait avec la même ardeur à être agréable au Seigneur. N’ayant rien à cacher ni à Dieu, ni aux hommes, il ne vivait plus pour lui-même; corps et âme, il était l’esclave de Christ mort et ressuscité pour lui(2 Co 5.15). Or le Seigneur l’avait appelé(comme chaque racheté) à une très haute fonction: celle d’ambassadeur du Dieu souverain pour offrir de Sa part au monde la réconciliation. Nos prières vous y accompagnent tous.
PRIERE D’ACCEPTATION DE JESUS-CHRIST COMME SEIGNEUR ET SAUVEUR PERSONNEL
J’invite à présent toute personne qui veut devenir une nouvelle création en marchant dans la vérité, à faire avec moi la prière suivante :
Seigneur Jésus, j’ai longtemps marché dans les convoitises du monde en ignorant ton amour pour les humains. Je reconnais avoir péché contre toi et te demande pardon pour tous mes péchés, car aujourd’hui j’ai décidé de te donner ma vie en te prenant comme Seigneur et Sauveur personnel. Je reconnais que tu es mort à la croix du Calvaire et que tu es ressuscité des morts pour moi.
Je suis maintenant sauvé(e) et né(e) de nouveau par la puissance du Saint-Esprit. Conduis-moi chaque jour vers la vie éternelle que tu donnes à tous ceux qui obéissent à ta Parole. Révèle-toi à moi et fortifie mon coeur et ma foi, afin que ta lumière luise dans ma vie dès maintenant.
Merci Seigneur Jésus de m’accepter dans ta famille divine, afin que je puisse aussi contempler les merveilles de ton royaume.
Je vais choisir maintenant un point d’eau tout proche où me baptiser par immersion, au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.
A toi toute l’adoration, la puissance et la gloire, maintenant et pour les siècles des siècles. Amen !
Je serais content de réagir à vos questions et commentaires éventuels, avant de partager avec vous demain: sur ”les souffrances de Paul dans son ministère.”
Que le Seigneur Jésus-Christ vous bénisse abondamment.
David Feze, Serviteur de l’Éternel des armées.