Bien-aimés, j’ai la joie de partager avec vous aujourd’hui le thème ci-dessus tiré de Pr 13.1-2 et suivants. En effet, «la lumière des justes est joyeuse…» (verset 9; Ps 97.8-12). La joie selon Dieu fait partie du témoignage des enfants de lumière. Un chrétien triste est souvent un triste chrétien. L’humeur maussade est comme un écran qui voile tout le rayonnement qu’un croyant pourrait avoir. En contraste, «la lampe des méchants s’éteindra» (v. 9; Pr 24.19-20). L’huile leur manque, comme aux vierges folles de la parabole (Matthieu 25.1-13), car la vie de l’Esprit est absente pour entretenir la lumière. «Ce n’est que de l’orgueil que vient la querelle» (verset 10). Nous expliquons en général nos disputes par d’autres motifs. Tout au plus chacun saura-t-il discerner l’orgueil chez son adversaire. Eh bien, ce verset m’ouvre les yeux. Une querelle trahit mon propre orgueil: Je veux avoir raison; cela m’humilie de céder. Il suffira donc que je montre l’esprit de Christ pour faire aussitôt cesser le conflit et… au fond, remporter la victoire (Matt. 5.38-42; Gen. 13.5-13).

L’enseignement du sage est une source de vie (verset 14). Écoutons donc ceux chez qui nous pouvons reconnaître cette sagesse d’en haut. Mais il est encore plus profitable de marcher avec eux (verset 20). Quelles sont nos fréquentations? Un fils sage écoute l’instruction du père, mais le moqueur n’écoute pas la répréhension (v. 1). Le v. 28 du chap. 12 terminait victorieusement toute la série de pensées présentées du chap. 10 au chap. 12 au sujet du caractère et du chemin de la justice. Nous entrons ici dans une nouvelle subdivision du livre inaugurée par le v. 1 comme la première subdivision l’avait été par le v. 1 du chap. 10: «Un fils sage réjouit son père». Ce passage nous ramène au fils, à celui qui, étant engendré par la sagesse, est soumis à l’instruction du père et en est pour ainsi dire le fruit. Cette relation de fils est la clef de tous les Proverbes et sans elle leur but nous échapperait entièrement. Il n’est pas question ici, comme au chap. 10:1, de la différence chez le fils, entre ce qui est de Dieu et ce qui est de la chair, mais de l’opposition formelle entre le caractère du fils et celui du moqueur. Ce sont deux familles entièrement distinctes. Jamais le fils n’a une relation quelconque avec cette autre famille. Son chemin est l’opposé de celui des méchants, comme les chapitres que nous venons d’étudier nous l’ont montré à chaque pas, mais en outre «il ne s’assied pas au siège des moqueurs» (Ps. 1). Le moqueur n’a aucune part à l’instruction qui est le privilège du fils, car il rejette tout particulièrement la répréhension qui en fait partie. Le moqueur marche selon ses propres convoitises, se rit des promesses de Dieu, méprise ses jugements et les tient pour non avenus (2 Pierre 3:3). Il n’y a rien de Dieu dans son cœur.

Du fruit de sa bouche l’homme mange du bien, mais l’âme des perfides mange la violence (v. 2). Nous avons déjà trouvé cette pensée exprimée au chapitre 12:14, mais là, en regard de l’activité manuelle. Ici l’homme est nourri par les paroles qu’il prononce pour d’autres. Il est l’intermédiaire des paroles de Dieu, selon Deut. 6:6: «Ces paroles, que je te commande aujourd’hui, seront sur ton cœur. Tu les inculqueras à tes fils, et tu en parleras… et tu les lieras comme un signe sur ta main, et elles te seront pour fronteau entre les yeux, et tu les écriras sur les poteaux de ta maison et sur tes portes» et elles deviennent sa nourriture au moment où il les inculque à d’autres. En revanche l’âme des perfides se nourrit de violence et leurs propres discours le prouvent. C’est l’un des caractères sataniques de ces hommes: perfidie et violence. Il n’y a aucun trait d’union entre eux et les justes. Qui surveille sa bouche garde son âme; la ruine est pour celui qui ouvre ses lèvres toutes grandes (v. 3). Cette pensée se lie à la précédente. Tout en nourrissant d’autres et soi-même du fruit de sa bouche, il y a une surveillance à exercer sur elle. Car si je veille sur la porte de ma maison je veille sur ma maison elle-même. Par la présence en moi des deux natures, je puis mettre au jour des choses qui tendent à la ruine. «Ouvrir ses lèvres toutes grandes», c’est donner issue à des choses qui seront la ruine des autres, et donner entrée aux choses qui sont ma propre ruine (cf. Ps. 81:11).

L’âme des paresseux désire, et il n’y a rien; mais l’âme des diligents sera engraissée (v. 4). Les paresseux désirent acquérir ce qui peut les édifier ou les faire croître en connaissance, mais ne se donnent aucune peine pour arriver à ce résultat. Quelle en est la conséquence? Il n’y a rien: terrible parole pour ceux qui «apprennent toujours et qui ne peuvent jamais parvenir à la connaissance de la vérité». Pour être enrichi des pensées de Dieu et croître dans la connaissance de la vérité, il faut le travail, l’effort, mais cet effort, souvenons-nous-en, n’a rien à faire avec l’énergie de la chair qui ne récoltera jamais ni édification, ni fruits pour Dieu. Le juste hait la parole mensongère, mais le méchant se rend odieux et se couvre de honte (v. 5). Nous sommes toujours ici dans le domaine des paroles. Le caractère du méchant n’est pas seulement la violence, c’est aussi le mensonge. Or le juste hait le mensonge, même en paroles. Il ne peut l’entendre, encore moins le prononcer, lui qui a été «engendré par la parole de la vérité». Le caractère du méchant qui est «menteur dès le commencement» est odieux au juste et particulièrement quand il s’exerce sur les choses de Dieu et cherche à altérer la vérité par ses mensonges. Mais la vérité triomphera et le couvrira de honte. La justice garde celui qui est intègre dans sa voie, mais la méchanceté renverse le pécheur (v. 6; Pr 11.5)

L’homme intègre est mis ici sous la sauvegarde de la justice qui veille sur lui. Il répond dans sa voie au caractère de Dieu tel que Celui-ci le lui a révélé (Gen. 17:1), aussi Dieu le préserve pratiquement du mal dont chaque fils de la sagesse est en danger de devenir la proie. La méchanceté, caractère du monde, de l’homme éloigné de Dieu (car, nous ne pouvons assez le répéter, il n’y a que deux familles dans ce monde, les justes et les méchants), la méchanceté ne peut exercer aucun contrôle sur le pécheur; l’esprit du monde ne peut le conduire qu’à sa ruine. Tel fait le riche et n’a rien du tout; et tel se fait pauvre et a de grands biens (v. 7), Les uns «font» les riches, se glorifient dans l’apparence de la richesse et s’en contentent; ils n’ont rien. Si cela se rencontre dans les choses de la terre, combien plus encore dans les choses spirituelles. Laodicée dit: «Je suis riche, et je me suis enrichi, et je n’ai besoin de rien», mais, dit le Seigneur, «tu ne connais pas que, toi, tu es le malheureux et le misérable, et pauvre, et aveugle, et nu». Tel, est-il ajouté, «se fait pauvre» (non pas «fait le pauvre»), mais se dépouille de ses richesses «et a de grands biens». Cette condition a été réalisée par le Seigneur, comme lui seul pouvait le faire. «Étant riche, il a vécu dans la pauvreté pour nous, afin que par sa pauvreté nous fussions enrichis». Mais bien plus encore ces grands biens il les a tous en les communiquant aux siens dans leur plénitude: «Je vous donne ma paix; je ne vous donne pas, moi, comme le monde donne».

La rançon pour la vie d’un homme, c’est sa richesse; mais le pauvre n’entend pas la réprimande (v. 8). Ce passage est interprété de manière très différente. Il semble simple si l’on admet l’interprétation donnée au v. 7. La vraie richesse d’un homme est la rançon payée par un autre pour sa vie; en revanche, le pauvre, s’il est repris, ne comprend pas que cette rançon est aussi pour lui (v.18). Les quatre versets qui suivent ne semblent pas avoir de liaison entre eux. Ce sont des maximes générales et morales. Car la lumière des justes est joyeuse, mais la lampe des méchants s’éteindra (v. 9). La lumière qui éclaire les justes ne leur apporte ni confusion, ni appréhension; il n’y a que joie pour eux en présence de Celui qui est Lumière. À combien plus forte raison pour nous, chrétiens, qui sommes «tous des fils de la lumière et des fils du jour» et dont «le fruit consiste en toute bonté, justice et vérité». Un juste, se trouvant en pleine lumière, n’a pas à se juger, mais se réjouit de ne rencontrer que la perfection divine. Le méchant a une lampe, la Parole de Dieu, mais à laquelle il n’est pas attentif; aussi un jour arrivera où cette lampe lui sera retirée et où il sera plongé dans les ténèbres profondes.

Ce n’est que de l’orgueil que vient la querelle, mais la sagesse est avec ceux qui se laissent conseiller (v. 10). D’où viennent les querelles parmi nous, dit Jacques. N’est-ce pas de ce qui est au fond du cœur de l’homme, des convoitises? De l’orgueil, dit Salomon. L’homme naturel ne veut pas avoir tort, encore moins s’humilier et estimer les autres supérieurs à lui-même. C’est ainsi que se déchaînent les querelles et les guerres. Tout autres sont les fils de la sagesse; ils recherchent conseil et direction, estiment d’autres supérieurs à eux-mêmes, gardent une position de dépendance qui convient à l’humilité (cf. 12:15; 11:2). Les biens qui viennent de la vanité diminuent, mais celui qui amasse à la main les accroîtra (v. 11). La vanité peut donner des biens, la vanité en faire hériter. Venus de cette source, ils ne peuvent être en bénédiction: ils diminuent. Celui qui amasse à la main, comme un humble glaneur, sa poignée d’épis, celui pour qui rien n’est trop insignifiant ni trop petit, celui qui n’a aucune prétention à être quelque chose, accroîtra des biens. Il va sans dire que, dans ces maximes, le côté moral est aussi en vue.

L’attente différée rend le cœur malade, mais le désir qui arrive est un arbre de vie (v. 12). Nous sommes souvent mis à l’épreuve par l’attente prolongée de voir se réaliser un désir qui nous tient au cœur. Il va sans dire qu’il s’agit ici d’un désir légitime, comme celui d’Anne en 1 Sam. 1, bien que la convoitise non satisfaite produise les mêmes effets, comme dans le cas d’Achab (1 Rois 21:4). Cette attente est une cause de souffrance, une maladie pour le cœur qui est empêché de trouver sa joie en d’autres objets. Mais Dieu choisit son moment et s’il le diffère, il nous fait sonder par ce moyen l’état de notre cœur.

Les versets ci-après ont été compilés pour votre édification et regroupés pour votre meilleure compréhension.

Maximes diverses :

  • Surdité spirituelle

Esa 6.10 Rends insensible le coeur de ce peuple, Endurcis ses oreilles, et bouche-lui les yeux, Pour qu’il ne voie point de ses yeux, n’entende point de ses oreilles, Ne comprenne point de son coeur, Ne se convertisse point et ne soit point guéri. Ez 12.2 Fils de l’homme, tu habites au milieu d’une famille de rebelles, qui ont des yeux pour voir et qui ne voient point, des oreilles pour entendre et qui n’entendent point; car c’est une famille de rebelles. Mt 13.15 Car le coeur de ce peuple est devenu insensible; Ils ont endurci leurs oreilles, et ils ont fermé leurs yeux, De peur qu’ils ne voient de leurs yeux, qu’ils n’entendent de leurs oreilles, Qu’ils ne comprennent de leur coeur, Qu’ils ne se convertissent, et que je ne les guérisse. 2 Tim 4.4 détourneront l’oreille de la vérité, et se tourneront vers les fables.

  • Paroles inutiles, condamnées

Jb 11.2 Cette multitude de paroles ne trouvera-t-elle point de réponse, Et suffira-t-il d’être un discoureur pour avoir raison? Pr 10.19 Celui qui parle beaucoup ne manque pas de pécher, Mais celui qui retient ses lèvres est un homme prudent. Ec 5.2 Car, si les songes naissent de la multitude des occupations, la voix de l’insensé se fait entendre dans la multitude des paroles. Tt 1.10 Il y a, en effet, surtout parmi les circoncis, beaucoup de gens rebelles, de vains discoureurs et de séducteurs,

  • Encouragement à la bienfaisance

2 Ch 31.10 Alors le souverain sacrificateur Azaria, de la maison de Tsadok, lui répondit: Depuis qu’on a commencé d’apporter les offrandes dans la maison de l’Éternel, nous avons mangé, nous nous sommes rassasiés, et nous en avons beaucoup laissé, car l’Éternel a béni son peuple; et voici la grande quantité qu’il y a de reste. Ps 112.9 Il fait des largesses, il donne aux indigents; Sa justice subsiste à jamais; Sa tête s’élève avec gloire, Lc 6.38 Donnez, et il vous sera donné: on versera dans votre sein une bonne mesure, serrée, secouée et qui déborde; car on vous mesurera avec la mesure dont vous vous serez servis. 2 Co 9.6 Sachez-le, celui qui sème peu moissonnera peu, et celui qui sème abondamment moissonnera abondamment.

  • La Plénitude spirituelle satisfait les besoins les plus profonds

-Coupe débordante Ps 23.5 Tu dresses devant moi une table, En face de mes adversaires; Tu oins d’huile ma tête, Et ma coupe déborde.

-Abondance de bénédictions Ml 3.10 Apportez à la maison du trésor toutes les dîmes, Afin qu’il y ait de la nourriture dans ma maison; Mettez-moi de la sorte à l’épreuve, Dit l’Éternel des armées. Et vous verrez si je n’ouvre pas pour vous les écluses des cieux, Si je ne répands pas sur vous la bénédiction en abondance.

-Abondance de joie Jn 15.11 Je vous ai dit ces choses, afin que ma joie soit en vous, et que votre joie soit parfaite.

-Plénitude de Dieu Ep 3.19 et connaître l’amour de Christ, qui surpasse toute connaissance, en sorte que vous soyez remplis jusqu’à toute la plénitude de Dieu.

-Plénitude de l’Esprit Ep 5.18 Ne vous enivrez pas de vin: c’est de la débauche. Soyez, au contraire, remplis de l’Esprit;

-Abondance de sagesse Col 1.9 C’est pour cela que nous aussi, depuis le jour où nous en avons été informés, nous ne cessons de prier Dieu pour vous, et de demander que vous soyez remplis de la connaissance de sa volonté, en toute sagesse et intelligence spirituelle,

De tout ce qui précède, nous notons qu’il y a beaucoup à manger dans le défrichement des pauvres, mais il y a ce qui se perd faute de règle. Il y a beaucoup à manger dans le défrichement du terrain non cultivé et partant improductif qui échoit au pauvre. Ce dernier met beaucoup de soin à le faire produire, car il s’agit de la vie de sa famille. Ainsi son travail laborieux, fruit de la nécessité, est abondamment béni pour d’autres. En outre le pauvre, tout en travaillant, est obligé de regarder à Dieu, plus que celui qui a des champs en abondance. Si la récolte de son défrichement était mauvaise, tout serait perdu pour lui et il ne pourrait rien fournir aux siens. «Mais il y a ce qui se perd, faute de règle». Si l’activité ne vise pas à un but, ne s’astreint pas à une règle, s’éparpille sur divers objets au lieu de s’occuper d’un seul, de «faire une chose», le fruit n’est pas produit et se perd. Personne n’en profite. Comme cela est vrai au sens spirituel! Celui qui épargne la verge hait son fils, mais celui qui l’aime met de la diligence à le discipliner (v. 24; Pr 3:12; 23:13). Ce passage rejoint le premier verset de notre chapitre. C’est la discipline; Ne pas châtier son fils, et lui épargner la correction, c’est manquer d’amour envers lui; bien plus, c’est le haïr. Comme les parents s’en doutent peu, et cependant la discipline est la manière d’agir de Dieu envers nous comme notre Père. Il met de la diligence à nous discipliner. «Il ne retire pas ses yeux de dessus le juste» (Job 36:7). Le juste mange pour le rassasiement de son âme, mais le ventre des méchants aura disette (v. 25; Pr 10:3). Se lie de loin au v. 23. Quand le juste mange, ce n’est pas seulement son corps qu’il nourrit, mais il rassasie son âme. «Soit que vous mangiez, soit que vous buviez, ou quoi que vous fassiez faites tout pour la gloire de Dieu». En contraste avec l’âme du juste nous voyons le ventre des méchants. Ceux dont «le dieu est leur ventre» ne trouveront que disette dans les choses dont ils cherchent à rassasier leur corps. Une nouvelle division des Proverbes est marquée par le v. 1 du chap. 13 auquel se rejoint le v. 24 tout à la fin du même chapitre. Les versets 2-6 nous présentent les conséquences des paroles. Les v. 7-8 font la différence entre les vrais riches et les vrais pauvres. Les v. 9-12 sont des maximes générales sans liaison entre elles. Les v. 13-20 nous montrent l’avantage qu’on retire de l’instruction de la sagesse. La nourriture que l’on obtient, pour soi-même et pour les autres, c’est de la discipline exercée par la Sagesse. Nos prières vous y accompagnent tous.

PRIÈRE D’ACCEPTATION DE JESUS-CHRIST COMME SEIGNEUR ET SAUVEUR PERSONNEL

J’invite à présent toute personne qui veut devenir une nouvelle création en marchant dans la vérité, à faire avec moi la prière suivante :  

Seigneur Jésus, j’ai longtemps marché dans les convoitises du monde en ignorant ton amour pour les humains. Je reconnais avoir péché contre toi et te demande pardon pour tous mes péchés, car aujourd’hui j’ai décidé de te donner ma vie en te prenant comme Seigneur et Sauveur personnel. Je reconnais que tu es mort à la croix du Calvaire et que tu es ressuscité des morts pour moi. 

Je suis maintenant sauvé(e) et né(e) de nouveau par la puissance du Saint-Esprit. Conduis-moi chaque jour vers la vie éternelle que tu donnes à tous ceux qui obéissent à ta Parole. Révèle-toi à moi et fortifie mon coeur et ma foi, afin que ta lumière luise dans ma vie dès maintenant.

Merci, Seigneur Jésus de m’accepter dans ta famille divine, afin que je puisse aussi contempler les merveilles de ton royaume.

Je vais choisir maintenant un point d’eau tout proche où me baptiser par immersion, au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.

A toi toute l’adoration, la puissance et la gloire, maintenant et pour les siècles des siècles. Amen ! 

Je serais content de réagir à vos questions et commentaires éventuels, avant de partager avec vous demain “Collections des proverbes sur la vie morale (Pr 14).

Que le Seigneur Jésus-Christ vous bénisse abondamment.

David Feze, Serviteur de l’Éternel des armées.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *