Bien-aimés, j’ai la joie de partager avec vous aujourd’hui le thème ci-dessus tiré de Job 1.1 et suivants. En effet, le livre de Job est différent de ceux qui le précèdent. C’est un livre poétique; il est très ancien; enfin ses personnages sont choisis en dehors du peuple d’Israël. Car la leçon qu’il contient concerne non seulement la famille d’Abraham mais toute créature. Demandons à Dieu de nous l’enseigner en même temps qu’à Job. «Il n’était pas utile de nous donner un long récit de la prospérité de Job; en revanche le Saint Esprit nous raconte en détail tout ce qui a eu lieu pendant ses épreuves. Il en valait la peine et ce récit profitera aux enfants de Dieu jusqu’à la fin des temps». Les premiers versets (1 à 5) nous apprennent donc brièvement qui est cet homme, ce qu’il possède, ce qu’il fait pour les siens. Les suivants nous révèlent ce qui se passe au ciel à son sujet. L’Accusateur redoutable entre en scène (Ap 12.7-11). Mais remarquons deux faits rassurants: (1) C’est Dieu qui engage l’action le premier. (2) La permission qu’il accorde à Satan est rigoureusement limitée. Enfin n’oublions jamais la question de Rom. 8:33… (Rm 8.26-39. Nous allons voir que «toutes choses» – les épreuves après la prospérité – concourent au bien de ceux qui aiment Dieu.

Jusqu’ici l’Éternel avait entouré son serviteur Job d’une haie de protection (v. 10). Une barrière invisible protège ainsi les croyants à la fois contre les attaques du dehors et contre leur propre tendance à quitter le lieu de la bénédiction. Les enfants de parents chrétiens par exemple sont gardés par l’enseignement reçu à la maison et dans les réunions. Qu’ils ne renversent pas délibérément cette haie! (Ec 10.8). Satan a obtenu la permission d’agir (Luc 22.31-34). Il choisit le jour favorable et, avec un empressement qui souligne sa haine, il frappe le malheureux Job de quatre coups successifs. En un moment notre patriarche, sans avoir pu reprendre haleine (9.15-18), se trouve dépossédé de toute sa prospérité et privé de ses dix enfants. Debout au milieu de ces ruines, il n’en est pas ébranlé, montrant que sa confiance ne reposait pas dans les biens reçus, mais dans Celui qui les avait donnés. «Est-ce pour rien que Job craint Dieu?» avait insinué le diable (v. 9). Par grâce, Job lui donne tort; même lorsqu’il n’a plus rien, il continue de craindre Dieu. Satan avait affirmé: «À coup sûr, il te maudira en face» (v. 11).

Que le nom de l’Éternel soit béni! – s’écrie Job quand tout lui est ôté (v. 21). Il met en pratique l’exhortation particulièrement difficile à réaliser: «Rendez grâce en toutes choses» (1 Thess. 5.16-22). En premier lieu toutefois, Job lui-même est placé devant nous. Nous voyons en lui un homme sincère, vrai et sans reproche; il jouit de tous les éléments du bonheur sur la terre: il est béni dans ses circonstances, aussi bien que dans sa famille, et marche habituellement dans la crainte de Dieu. Le fait qu’il était «plus grand que tous les fils de l’Orient» donne d’autant plus d’importance à son épreuve. Mais n’était-il pas béni de Dieu? Oui, dans une mesure abondante. Il avait sept fils et trois filles. Il avait une part très grande aux biens qui, aux premiers jours et dans ces contrées-là, constituaient les richesses des hommes. Ce n’est donc pas un pèlerin et un étranger que nous trouvons en Job. C’était à cela que Dieu avait appelé les patriarches; mais Job n’était pas l’un d’eux. Il était en dehors de l’alliance faite avec Abraham, quoique béni de Dieu et d’une façon expresse et évidente. Nous trouvons donc ici Job dans la position la plus marquée d’un homme, béni de Dieu en tout ce que son cœur pouvait désirer. Il n’est pas nécessaire de rappeler que cette bénédiction n’aurait pas été stable si l’élément divin y avait manqué; dans ce cas, il n’y a que piège et déception. En quoi consistait cet élément selon Dieu? Job était «parfait et droit, craignant Dieu et se retirant du mal» (Job 1:1). Il n’était pas un homme à angles vifs, partial, défectueux à certains égards et remarquable par quelques qualités. Il était intègre et d’un cœur entier pour Dieu; ce caractère moral était fondé sur la crainte de Dieu et avait pour trait distinctif le rejet du mal. Sa vie intérieure et sa vie extérieure étaient toutes deux sans reproche.

Nous ajouterons une autre remarque en passant. Il peut paraître singulier à quelques-uns que Satan puisse venir parmi les fils de Dieu dans le ciel, mais cela provient de l’ignorance des Écritures. À première vue, ce fait semble hors de place: Satan paraissant parmi les fils de Dieu, ce qui, sans nul doute, signifie parmi les anges en la présence de Dieu! Mais il me paraît certain que quiconque est bien fondé dans la connaissance de la Parole comprendra que c’est là une partie du «mystère de Dieu» (Apoc. 10:7), selon lequel Il prend patience jusqu’ici, en vue des buts les plus élevés, avant d’ôter le mal. Celui qui est nourri de la pensée de Dieu révélée dans les Écritures comprendra que c’est justement ce à quoi nous pouvions nous attendre. Qui était Satan et quelle était sa condition première? N’était-il pas au commencement parmi les fils de Dieu? Il était l’un d’eux. Cela nous aide à comprendre comment il se fait qu’un être semblable, quoique déchu, puisse avoir accès dans la présence de Dieu, jusqu’à ce qu’ait sonné l’heure du jugement. Ce n’est pas l’homme seul qui est tombé. Il y eut une chute antérieure à la sienne, chute d’une créature plus élevée en dignité. C’est un fait, quoiqu’il y ait des hommes assez audacieux pour donner carrière à leur incrédulité, en niant la chute de l’homme, aussi bien que l’existence de Satan. Nous ne devons pas nous en étonner. Les hommes refusent aisément de croire ce qui leur déplaît; or la vérité de la chute est offensante pour leur orgueil, et encore plus celle de leur esclavage de Satan par le péché.

Mais pourquoi le fait de la chute des anges et des hommes est-il si répulsif pour l’esprit humain? Parce qu’il est la preuve de la culpabilité et de la ruine de la créature. Cette vérité démontre aussi la faiblesse de cette dernière et la nécessité de la dépendance de Dieu. La condition première des créatures déchues avant leur chute rend un témoignage manifeste à la bonté de Dieu, avant que le mal existât, soit dans le ciel, soit sur la terre. Malgré cela la créature a abandonné son origine. En ces termes, nous apprenons à connaître Satan, le chef infatigable de la désobéissance. Il est impuissant pour séduire les saints anges élus; il peut accuser les saints avec une apparence de vérité. Ici se rencontrent la première et la dernière révélation divine. Ainsi nous cessons de considérer comme une chose singulière et incompréhensible le fait que l’Adversaire paraît parmi les fils de Dieu en Sa présence. Hélas! nous apprenons aussi qu’il connaissait très bien le privilège de se trouver là dans des conditions tout autres. Il avait brillé autrefois parmi les fils de Dieu. Qu’était-il maintenant? Un être rebelle et misérable qui avait fait du moi son objet, au lieu que Dieu le fût. Maintenant le moi ne lui donnant aucune satisfaction, il déchaîne sa malice contre tous, spécialement contre les objets de l’amour de Dieu. Toute son activité a pour but de s’opposer à Dieu en haïssant l’homme et particulièrement tous ceux dans lesquels Il trouve ses délices.

Tout d’abord, Satan fait lui-même le récit de son activité incessante çà et là sur la terre, et des voyages qu’il y accomplit sans relâche. Dieu trouve bon ensuite de signaler son serviteur: «As-tu considéré mon serviteur Job, qu’il n’y a sur la terre aucun homme comme lui, parfait et droit, craignant Dieu, et se retirant du mal?» Que fait l’Adversaire? Il se sert de la bénédiction divine pour insinuer une accusation: Job ne craint pas Dieu sans raison; il a des motifs égoïstes; c’est uniquement en vue des avantages qu’il peut en recueillir. Un esprit pervers ne peut concevoir d’autres motifs que les siens propres: «Ne l’as-tu pas, toi, entouré de toutes parts d’une haie de protection?» Tu l’as béni à tous égards. «Mais étends ta main et touche à tout ce qu’il a: tu verras s’il ne te maudit pas en face». Ce devait être la première épreuve.

On voit bientôt sur la terre les résultats de la permission divine. Le reste du chapitre nous présente le tableau des désastres se succédant avec rapidité. On n’y voit pas apparaître la main de l’Ennemi; et cependant elle est en tout cela. Ce sont des événements terrestres accomplis par des instruments ordinaires, ayant lieu sans doute avec une rapidité extraordinaire, ce qui n’est pas la moindre partie de l’épreuve. Il n’aurait pas suffi à Satan de laisser un intervalle prolongé s’écouler entre ses coups. Tout est très habilement arrangé par lui pour que ces calamités prennent l’aspect de jugements impitoyables envoyés de Dieu, et cependant par des moyens extérieurs et humains. Ainsi, tout d’abord, un jour où ses fils et ses filles mangeaient et buvaient dans la maison de leur frère aîné, un messager vint annoncer une attaque des Sabéens contre le bétail. «Ils ont frappé les jeunes hommes par le tranchant de l’épée». La main de Satan le Destructeur était manifeste en cela. «J’ai échappé, moi seul, pour te l’annoncer». Ainsi il y a un seul survivant, afin que la terrible nouvelle en parvienne sûrement, et que l’épreuve en soit rendue plus poignante. Si, dans chaque coup, il n’y avait pas eu un réchappé, le récit n’aurait pu en être donné de cette manière. Le mal est consommé; cependant Job sentait, comme nous l’aurions senti, que tout était sous le regard de Dieu.

Les versets ci-après ont été compilés pour votre édification et regroupés pour votre meilleure compréhension.

Les premières épreuves de Job :

  • Droiture, exemples

1 Rois 15.14 Mais les hauts lieux ne disparurent point, quoique le coeur d’Asa fût en entier à l’Éternel pendant toute sa vie. Jb 1.1 Il y avait dans le pays d’Uts un homme qui s’appelait Job. Et cet homme était intègre et droit; il craignait Dieu, et se détournait du mal. Lc 1.6 Tous deux étaient justes devant Dieu, observant d’une manière irréprochable tous les commandements et toutes les ordonnances du Seigneur. Lc 2.37 Restée veuve, et âgée de quatre-vingt-quatre ans, elle ne quittait pas le temple, et elle servait Dieu nuit et jour dans le jeûne et dans la prière.

  • Crainte de Dieu, exemples d’hommes dominés par la

Neh 5.15 Avant moi, les premiers gouverneurs accablaient le peuple, et recevaient de lui du pain et du vin, outre quarante sicles d’argent; leurs serviteurs mêmes opprimaient le peuple. Je n’ai point agi de la sorte, par crainte de Dieu. Jb 1.8 L’Éternel dit à Satan: As-tu remarqué mon serviteur Job? Il n’y a personne comme lui sur la terre; c’est un homme intègre et droit, craignant Dieu, et se détournant du mal. Ac 5.11 Une grande crainte s’empara de toute l’assemblée et de tous ceux qui apprirent ces choses. Ac 9.31 L’Église était en paix dans toute la Judée, la Galilée et la Samarie, s’édifiant et marchant dans la crainte du Seigneur, et elle s’accroissait par l’assistance du Saint Esprit.

  • Richesses terrestres, don de Dieu

Dt 8.18 Souviens-toi de l’Éternel, ton Dieu, car c’est lui qui te donnera de la force pour les acquérir, afin de confirmer, comme il le fait aujourd’hui, son alliance qu’il a jurée à tes pères. 1 Ch 29.12 C’est de toi que viennent la richesse et la gloire, c’est toi qui domines sur tout, c’est dans ta main que sont la force et la puissance, et c’est ta main qui a le pouvoir d’agrandir et d’affermir toutes choses. Ec 5.18 Mais, si Dieu a donné à un homme des richesses et des biens, s’il l’a rendu maître d’en manger, d’en prendre sa part, et de se réjouir au milieu de son travail, c’est là un don de Dieu. Os 2.10 Elle n’a pas reconnu que c’était moi qui lui donnais le blé, le moût et l’huile; et l’on a consacré au service de Baal l’argent et l’or que je lui prodiguais.

  • Glorifier Dieu, le devoir de

-Par la louange Ps 22.24 Vous qui craignez l’Éternel, louez-le! Vous tous, postérité de Jacob, glorifiez-le! Tremblez devant lui, vous tous, postérité d’Israël!

-Par les bonnes œuvres Mt 5.16 Que votre lumière luise ainsi devant les hommes, afin qu’ils voient vos bonnes oeuvres, et qu’ils glorifient votre Père qui est dans les cieux.

-En portant du fruit Jn 15.8 Si vous portez beaucoup de fruit, c’est ainsi que mon Père sera glorifié, et que vous serez mes disciples.

-Par l’unité spirituelle Rm 15.6 afin que tous ensemble, d’une seule bouche, vous glorifiiez le Dieu et Père de notre Seigneur Jésus Christ.

-Par une entière consécration 1 Co 6.20 Car vous avez été rachetés à un grand prix. Glorifiez donc Dieu dans votre corps et dans votre esprit, qui appartiennent à Dieu.

De tout ce qui précède, nous notons que si la main de Satan était cachée derrière ces coups affligeants, celle de Dieu était au-dessus de la sienne. Quelle grande et sûre consolation! Ensuite, par des voies mystérieuses comme auparavant, arrive le reste de l’épreuve. «Celui-ci parlait encore, qu’un autre vint et dit: Le feu de Dieu est tombé du ciel (la foudre sans doute) et a brûlé les brebis et les jeunes hommes, et les a consumés; et j’ai échappé, moi seul, pour te l’annoncer. Celui-ci parlait encore, qu’un autre vint et dit: Les Chaldéens (un ennemi venant d’une tout autre direction) ont formé trois bandes, et se sont jetés sur les chameaux et les ont pris, et ils ont frappé les jeunes hommes par le tranchant de l’épée; et j’ai échappé, moi seul, pour te l’annoncer. Celui-ci parlait encore, qu’un autre vint et dit: Tes fils et tes filles mangeaient et buvaient du vin dans la maison de leur frère premier-né, et voici, un grand vent est venu de delà le désert et a donné contre les quatre coins de la maison, et elle est tombée sur les jeunes gens et ils sont morts». Ainsi, de tous côtés, l’ouragan s’est déchaîné, causant non seulement la destruction des biens de Job, mais la perte la plus terrible de toutes, lui enlevant à la lettre tout ce qu’il possédait. N’avait-il pas des fils et des filles? Tout lui était arraché et d’une manière profondément douloureuse pour son cœur. Dieu n’était-il pas au-dessus de tout? Ne s’intéresse-t-il pas à tout ce qui se passe ici-bas? Ce fait n’avait-il pas caractérisé l’histoire de la vie de Job, l’intérêt et la bénédiction de Dieu, non seulement à son égard, mais à l’égard de tout ce qu’il avait? Et maintenant, en un jour, tout ce que la bénédiction divine avait donné avait disparu et de la manière la plus pénible. Dieu avait-il oublié? N’avait-Il pas pris garde? Job dit: «Nu je suis sorti du sein de ma mère, et nu j’y retournerai». Ainsi parla ce juste, après avoir déchiré sa robe, s’être rasé la tête et jeté à terre, car il sentait le coup comme il devait le sentir. Mais ensuite, il se prosterna et dit: «L’Éternel a donné, et l’Éternel a pris; que le nom de l’Éternel soit béni!» En tout cela Job ne pécha pas, et n’attribua rien à Dieu qui fût inconvenable, rien d’anormal et qui fût indigne de Lui. Le premier assaut avait complètement manqué. Dépouillé de tout, Job ne pécha point. Job était un homme riche, mais juste et pieux. Dieu permit à Satan de retirer à job ses richesses, sa famille et sa santé. Avec ses trois amis, Job évoque le problème suivant: pourquoi un Dieu juste permet-il la souffrance d’un être juste et innocent? Les trois amis, Éliphaz, Bildad et Tsophar, ne comprenaient pas ces voies de Dieu. Selon eux, Dieu punissait Job à cause de quelque péché; ces hommes ne voyaient pas que Dieu se sert aussi de la souffrance pour purifier et pour instruire les croyants. Désespéré, Job oppose à ses trois amis sa propre justice et sa droiture. Il estime qu’il est traité injustement, mais espère que Dieu, finalement, le recevra. Élihu intervient alors. Il est le messager et le type du Seigneur (Job 32:8; 33:4). Il explique que Dieu use de discipline envers l’homme afin de le purifier et le rapprocher de lui. Par ses paroles, Élihu fait luire la lumière dans les ténèbres et conduit Job dans la présence de Dieu. Toutes les conclusions de Job étaient erronées, parce qu’il ne comprenait pas que Dieu voulait l’amener à se sonder jusqu’au plus profond de lui-même. Lorsque Dieu parle ensuite directement à Job, celui-ci finit par reconnaître: «Mon oreille avait entendu parler de toi, maintenant mon œil t’a vu: C’est pourquoi j’ai horreur de moi, et je me repens dans la poussière et dans la cendre» (Job 42:5, 6). Dieu peut alors bénir Job à nouveau. Nos prières vous y accompagnent tous.

PRIÈRE D’ACCEPTATION DE JESUS-CHRIST COMME SEIGNEUR ET SAUVEUR PERSONNEL

J’invite à présent toute personne qui veut devenir une nouvelle création en marchant dans la vérité, à faire avec moi la prière suivante :  

Seigneur Jésus, j’ai longtemps marché dans les convoitises du monde en ignorant ton amour pour les humains. Je reconnais avoir péché contre toi et te demande pardon pour tous mes péchés, car aujourd’hui j’ai décidé de te donner ma vie en te prenant comme Seigneur et Sauveur personnel. Je reconnais que tu es mort à la croix du Calvaire et que tu es ressuscité des morts pour moi. 

Je suis maintenant sauvé(e) et né(e) de nouveau par la puissance du Saint-Esprit. Conduis-moi chaque jour vers la vie éternelle que tu donnes à tous ceux qui obéissent à ta Parole. Révèle-toi à moi et fortifie mon coeur et ma foi, afin que ta lumière luise dans ma vie dès maintenant.

Merci, Seigneur Jésus de m’accepter dans ta famille divine, afin que je puisse aussi contempler les merveilles de ton royaume.

Je vais choisir maintenant un point d’eau tout proche où me baptiser par immersion, au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.

A toi toute l’adoration, la puissance et la gloire, maintenant et pour les siècles des siècles. Amen ! 

Je serais content de réagir à vos questions et commentaires éventuels, avant de partager avec vous demain « Seconde scène dans le ciel avec Satan » (Job 2)

Que le Seigneur Jésus-Christ vous bénisse abondamment.

David Feze, Serviteur de l’Éternel des armées.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *