Bien-aimés, j’ai la joie de partager avec vous aujourd’hui le thème ci-dessus tiré de Ex 4.1 et suivants. En effet, à la cour du Pharaon, Moïse avait été instruit dans toute la sagesse des Égyptiens. Mais il n’y avait pas appris à connaître « je suis ». Les années passées dans le palais royal n’ont pas davantage pu faire de lui un instrument qualifié pour la délivrance du peuple. Le meurtre de l’Égyptien a plutôt montré le contraire. Après les 40 années à l’école du Pharaon, il en faut 40 autres à l’école de Dieu, à l’écart, en Madian. Le résultat, c’est que Moïse n’a plus rien à faire valoir de lui-même. Jadis « puissant en paroles et en œuvres » (Ac 7.20-25), il affirme à présent n’avoir aucune éloquence et met de côté toutes ses capacités personnelles. Mais s’il a justement cessé d’avoir confiance en lui-même, il n’a pas encore une pleine confiance en Dieu. Il doit apprendre que quand le Seigneur charge d’un service, Il donne en même temps toutes les ressources pour l’accomplir.

Le bâton se changeant en serpent montre que si Dieu permet à Satan d’agir un moment, il reste au-dessus de lui pour annuler son pouvoir. À la croix, Christ a triomphé des puissances de méchanceté (Col 2.13-15). La mainmise sur la poitrine (le cœur: source du mal) devenue lépreuse, puis rendue saine, illustre la puissance de Dieu pour ôter la souillure du péché.Moïse était parti jadis sans avoir été envoyé par Dieu. Maintenant que l’Éternel l’envoie, il soulève toutes les objections possibles pour décliner l’appel: son incapacité, son ignorance (Ex 3.10-15), son manque d’autorité (Ex 4.1-3), d’éloquence, d’aptitude à sa mission avec le désir qu’un autre en soit chargé (Ex 4.10-14), l’insuccès de sa première tentative (Ex 5.22-6.1), ou l’incompréhension montrée par ses frères (Ex 6.10-13). N’invoquons-nous pas souvent de tels motifs pour ne pas obéir?

Les v. 24 à 26 rappellent qu’avant de se mettre en route pour un service public, il faut que le serviteur de Dieu ait mis de l’ordre dans sa maison. Jusqu’ici, sous l’influence probable de sa femme, Moïse n’avait pas circoncis son fils, figure de la condamnation de la chair. Dieu l’exigeait (Gn 17.9-14), à plus forte raison dans la maison de son serviteur. C’est cette question qui doit être maintenant réglée, sous peine de mort! Les v. 27 et 28 nous indiquent où des frères sont appelés à se rencontrer: à la montagne de Dieu; et quel est le sujet de leur entretien: la Parole du Seigneur et ses merveilles. Au commencement du chapitre Moïse disait: Voici ils ne me croiront pas. Or, l’Éternel a préparé les cœurs. Les fils d’Israël croient (v. 31; 2 Ch 29.35-36). Avant même la délivrance, ils se prosternent devant Lui. Nous sommes encore appelés à nous arrêter au pied du mont Horeb, « derrière le désert », pour y voir l’incrédulité de l’homme et la grâce illimitée de Dieu se manifester d’une manière frappante.

« Et Moïse répondit, et dit: Mais voici, ils ne me croiront pas, et n’écouteront pas ma voix; car ils diront: L’Éternel ne t’est point apparu ». (v.1). – Qu’il est difficile de vaincre l’incrédulité du cœur de l’homme, et combien celui-ci a de peine à se confier en Dieu! Que l’homme est lent à se hasarder en avant sur la simple promesse de l’Éternel! Tout va à la nature, excepté cela. Le plus faible roseau, visible pour l’œil de l’homme, est tenu par elle pour infiniment plus solide, comme fondement de confiance, que l’invisible « Rocher des siècles ». (Ésaïe 36:4). La nature se précipitera avec ardeur vers n’importe quel ruisseau humain, ou quelle citerne crevassée, plutôt que de demeurer près de la source cachée des « eaux vives » (Jr. 2:13; Jr 17:13).

Mais Moïse avait une importante leçon à apprendre, tant à l’égard de la verge qu’à l’égard de la main qui devait s’en servir. Il avait à apprendre; et le peuple avait à être convaincu. « Et Dieu dit: Jette-la à terre. Et il la jeta à terre, et elle devint un serpent; et Moïse fuyait devant lui. Et l’Éternel dit à Moïse: Étends ta main, et saisis-le par la queue (et il étendit sa main, et le saisit, et il devint une verge dans sa main), afin qu’ils croient que l’Éternel, le Dieu de leurs pères, le Dieu d’Abraham, le Dieu d’Isaac, et le Dieu de Jacob, t’est apparu ». (v.3-5). La verge devint un serpent, en sorte que Moïse s’enfuit de devant lui; mais sur l’ordre de l’Éternel, il prit le serpent par la queue, et celui-ci devint une verge. Rien n’est plus propre que cette figure pour exprimer l’idée de la puissance de Satan tournée contre lui-même, et nous avons de nombreux exemples de ce fait dans les voies de Dieu et dans Moïse lui-même. Le serpent est entièrement sous la puissance de Christ; et quand il sera parvenu à la dernière limite de sa carrière insensée, il sera précipité dans l’étang de feu pour y recueillir, pendant tous les siècles de l’éternité, les fruits de son œuvre. « Le serpent ancien », « l’accusateur » et « l’adversaire » sera éternellement terrassé sous la verge de l’Oint de Dieu. (Ap 12:9-10).

« Et l’Éternel lui dit encore: Mets maintenant ta main dans ton sein. Et il mit sa main dans son sein; et il la retira, et voici, sa main était lépreuse, blanche comme neige. Et il dit: Remets ta main dans ton sein. Et il remit sa main dans son sein; et il la retira de son sein, et voici, elle était redevenue comme sa chair ». (v.6-7). La main couverte de lèpre et la purification de cette lèpre représentent l’effet moral du péché, et la manière dont le péché a été ôté par l’œuvre parfaite de Christ. Mise dans le sein, la main nette devient lépreuse; et la main lépreuse, mise dans le sein, devient nette. La lèpre est le type bien connu du péché; or le péché est entré par le premier homme, et il a été ôté par le second. « La mort est par l’homme, c’est par l’homme aussi qu’est la résurrection des morts » (1 Co 15:21). La chute vint par l’homme, et par l’homme la rédemption; par l’homme vint l’offense, et par l’homme le pardon; par l’homme vint le péché, et par l’homme la justice; par l’homme, la mort vint dans le monde; par l’homme, la mort fut abolie, et la vie, la justice et la gloire furent introduites. C’est là une grande vérité pratique. L’incrédulité n’est que de l’orgueil, et non de l’humilité. Elle refuse de croire Dieu, parce qu’elle ne trouve pas dans le moi une raison de croire. Si, à cause de quelque chose qui soit en moi, je refuse de croire quand Dieu parle, je fais Dieu menteur. (1 Jean 5:10).

Les versets ci-après ont été compilés pour votre édification et regroupés pour votre meilleure compréhension.

Dieu révèle sa puissance à Moïse :

  • Incrédulité des hommes religieux

-Abraham, quand un enfant lui a été promis Gn 17.17 Abraham tomba sur sa face; il rit, et dit en son coeur: Naîtrait-il un fils à un homme de cent ans? et Sara, âgée de quatre-vingt-dix ans, enfanterait-elle?

-Moïse, quand on lui a dit que le peuple d’Israël serait nourri Nb 11.21 Moïse dit: Six cent mille hommes de pied forment le peuple au milieu duquel je suis, et tu dis: Je leur donnerai de la viande, et ils en mangeront un mois entier!

-Les disciples, quand ils ne purent guérir un démoniaque Mt 17.19-20 Alors les disciples s’approchèrent de Jésus, et lui dirent en particulier: Pourquoi n’avons-nous pu chasser ce démon? 20 C’est à cause de votre incrédulité, leur dit Jésus. Je vous le dis en vérité, si vous aviez de la foi comme un grain de sénevé, vous diriez à cette montagne: Transporte-toi d’ici là, et elle se transporterait; rien ne vous serait impossible.

-Zacharie, quand on lui a promis qu’il aurait un fils choisi de Dieu Lc 1.20 Et voici, tu seras muet, et tu ne pourras parler jusqu’au jour où ces choses arriveront, parce que tu n’as pas cru à mes paroles, qui s’accompliront en leur temps.

-Les disciples, quand on leur annonça la résurrection de Christ Lc 24.11 Ils tinrent ces discours pour des rêveries, et ils ne crurent pas ces femmes.

  • Excuses, sept excuses présentées pour expliquer la négligence dans l’accomplissement du devoir

-Incompétence personnelle Ex 3.11 Moïse dit à Dieu: Qui suis-je, pour aller vers Pharaon, et pour faire sortir d’Égypte les enfants d’Israël? Ex 4.10 Moïse dit à l’Éternel: Ah! Seigneur, je ne suis pas un homme qui ait la parole facile, et ce n’est ni d’hier ni d’avant-hier, ni même depuis que tu parles à ton serviteur; car j’ai la bouche et la langue embarrassées.

-Manque de statut social Jg 6.15 Gédéon lui dit: Ah! mon seigneur, avec quoi délivrerai-je Israël? Voici, ma famille est la plus pauvre en Manassé, et je suis le plus petit dans la maison de mon père.

-Difficulté de l’entreprise Pr 22.13 Le paresseux dit: Il y a un lion dehors! Je serai tué dans les rues!

-Faiblesse personnelle Jr 1.6-7 Je répondis: Ah! Seigneur Éternel! voici, je ne sais point parler, car je suis un enfant. 7 Et l’Éternel me dit: Ne dis pas: Je suis un enfant. Car tu iras vers tous ceux auprès de qui je t’enverrai, et tu diras tout ce que je t’ordonnerai.

-La dureté du Maître Mt 25.24-25 Celui qui n’avait reçu qu’un talent s’approcha ensuite, et il dit: Seigneur, je savais que tu es un homme dur, qui moissonnes où tu n’as pas semé, et qui amasses où tu n’as pas vanné; 25 j’ai eu peur, et je suis allé cacher ton talent dans la terre; voici, prends ce qui est à toi.

-Aucun besoin apparent Mt 25.44-45 Ils répondront aussi: Seigneur, quand t’avons-nous vu ayant faim, ou ayant soif, ou étranger, ou nu, ou malade, ou en prison, et ne t’avons-nous pas assisté? 45 Et il leur répondra: Je vous le dis en vérité, toutes les fois que vous n’avez pas fait ces choses à l’un de ces plus petits, c’est à moi que vous ne les avez pas faites.

-La pression du travail Lc 14.18-20 Mais tous unanimement se mirent à s’excuser. Le premier lui dit: J’ai acheté un champ, et je suis obligé d’aller le voir; excuse-moi, je te prie. 19 Un autre dit: J’ai acheté cinq paires de boeufs, et je vais les essayer; excuse-moi, je te prie. 20 Un autre dit: Je viens de me marier, et c’est pourquoi je ne puis aller.

  • Puissance de Dieu, permet à Dieu d’utiliser des i nstruments faibles pour accomplir de grandes choses :

-Un bâton Ex 4.2 L’Éternel lui dit: Qu’y a-t-il dans ta main? Il répondit: Une verge.

-Une mâchoire Jg 15.15 Il trouva une mâchoire d’âne fraîche, il étendit sa main pour la prendre, et il en tua mille hommes.

-Cinq pierres polies 1 S 17.40 Il prit en main son bâton, choisit dans le torrent cinq pierres polies, et les mit dans sa gibecière de berger et dans sa poche. Puis, sa fronde à la main, il s’avança contre le Philistin.

-Une poignée de farine et un peu d’huile 1 Rois 17.12 Et elle répondit: L’Éternel, ton Dieu, est vivant! je n’ai rien de cuit, je n’ai qu’une poignée de farine dans un pot et un peu d’huile dans une cruche. Et voici, je ramasse deux morceaux de bois, puis je rentrerai et je préparerai cela pour moi et pour mon fils; nous mangerons, après quoi nous mourrons.

-Un nuage de la taille de la paume d’une main d’homme 1 Rois 18.44 A la septième fois, il dit: Voici un petit nuage qui s’élève de la mer, et qui est comme la paume de la main d’un homme. Élie dit: Monte, et dis à Achab: Attelle et descends, afin que la pluie ne t’arrête pas.

-De petits commencements Zac 4.10 Car ceux qui méprisaient le jour des faibles commencements se réjouiront en voyant le niveau dans la main de Zorobabel. Ces sept sont les yeux de l’Éternel, qui parcourent toute la terre.

-Le grain de moutarde Mt 13.32 C’est la plus petite de toutes les semences; mais, quand il a poussé, il est plus grand que les légumes et devient un arbre, de sorte que les oiseaux du ciel viennent habiter dans ses branches.

-Cinq pains d’orge Jn 6.9 Il y a ici un jeune garçon qui a cinq pains d’orge et deux poissons; mais qu’est-ce que cela pour tant de gens?

-Les ressources de Dieu 1 Co 1.27-29 Mais Dieu a choisi les choses folles du monde pour confondre les sages; Dieu a choisi les choses faibles du monde pour confondre les fortes; 28 et Dieu a choisi les choses viles du monde et celles qu’on méprise, celles qui ne sont point, pour réduire à néant celles qui sont, 29 afin que nulle chair ne se glorifie devant Dieu.

  • Merveilles de Dieu

Ex 4.21 L’Éternel dit à Moïse: En partant pour retourner en Égypte, vois tous les prodiges que je mets en ta main: tu les feras devant Pharaon. Et moi, j’endurcirai son coeur, et il ne laissera point aller le peuple. Ex 15.11 Qui est comme toi parmi les dieux, ô Éternel? Qui est comme toi magnifique en sainteté, Digne de louanges, Opérant des prodiges? Jos 3.5 Josué dit au peuple: Sanctifiez-vous, car demain l’Éternel fera des prodiges au milieu de vous. Ac 6.8 Étienne, plein de grâce et de puissance, faisait des prodiges et de grands miracles parmi le peuple.

De tout ce qui précède, nous notons que les causes qui nous font agir, et les  objets qui nous animent sont tous en haut, là où est Celui qui est « le même hier, et aujourd’hui, et éternellement » (Héb. 13:8). C’est là aussi que le cœur de ce bien-aimé et grand serviteur, dans l’histoire duquel nous avons puisé déjà tant de vraies et profondes leçons, trouvait la grâce et la force qui l’ont conduit au travers des scènes pénibles et variées de la vie dans le désert. Et nous pouvons, sans crainte de nous tromper, affirmer que, à la fin, et malgré les épreuves et les luttes de quarante années, Moïse pouvait embrasser son frère sur le mont Hor avec la même affection que lorsqu’il l’avait rencontré au commencement « à la montagne de Dieu ». (Exode 18:5). Ces deux rencontres eurent lieu, il est vrai, dans des circonstances bien différentes. À « la montagne de Dieu » les deux frères se rencontrèrent, s’embrassèrent et se mirent ensemble en chemin pour accomplir leur mission divine. Sur le « mont Hor » ils se rencontrèrent par le commandement de l’Éternel (Nomb. 20:25), pour que Moïse dépouillât son frère de ses vêtements sacerdotaux et le vît recueilli vers ses Pères, à cause d’une faute à laquelle il avait lui-même participé. Les circonstances changent; les hommes peuvent se détourner l’un de l’autre; mais en Dieu, « il n’y a pas de variation, ou d’ombre de changement » (Jacques 1:17). « Et Moïse et Aaron allèrent, et assemblèrent tous les anciens des fils d’Israël; et Aaron dit toutes les paroles que l’Éternel avait dites à Moïse, et fit les signes devant les yeux du peuple. Et le peuple crut; et ils apprirent que l’Éternel avait visité les fils d’Israël, et qu’il avait vu leur affliction; et ils s’inclinèrent et se prosternèrent ». (Vers. 29-31). Quand Dieu intervient, il faut que toute barrière tombe. Moïse avait dit: « Ils ne me croiront point »; mais il ne s’agissait pas de savoir s’ils le croiraient, lui, mais s’ils croiraient Dieu. Celui qui peut se considérer simplement comme l’envoyé de Dieu, peut aussi être parfaitement tranquille pour ce qui regarde la réception de son message, et cette assurance bienheureuse ne le détourne, en aucune manière, de sa tendre et affectueuse sollicitude à l’égard de ceux auxquels il s’adresse; bien au contraire! mais elle le préserve de cette inquiétude désordonnée de l’esprit qui ne peut que contribuer à rendre un homme impropre à porter un témoignage ferme, élevé et persévérant. Un envoyé de Dieu devrait toujours se souvenir que le message qu’il porte est le message de Dieu. Quand Zacharie dit à l’ange: « Comment connaîtrai-je cela? » – ce dernier fut-il troublé par cette question? Nullement, mais il répondit: « Moi, je suis Gabriel qui me tiens devant Dieu, et j’ai été envoyé pour te parler et pour t’annoncer ces bonnes nouvelles ». (Luc 1:18, 19). Les doutes du mortel ne troublent pas chez l’ange le sentiment de la dignité de son message. « Comment, semble-t-il dire, peux-tu douter, quand, de la salle du trône de la Majesté dans les cieux, un messager t’a été maintenant envoyé? » C’est ainsi que tout messager de Dieu, selon sa mesure, devrait aller, et dans cet esprit qu’il devrait délivrer son message. Nos prières vous y accompagnent tous.

PRIÈRE D’ACCEPTATION DE JESUS-CHRIST COMME SEIGNEUR ET SAUVEUR PERSONNEL

J’invite à présent toute personne qui veut devenir une nouvelle création en marchant dans la vérité, à faire avec moi la prière suivante :  

Seigneur Jésus, j’ai longtemps marché dans les convoitises du monde en ignorant ton amour pour les humains. Je reconnais avoir péché contre toi et te demande pardon pour tous mes péchés, car aujourd’hui j’ai décidé de te donner ma vie en te prenant comme Seigneur et Sauveur personnel. Je reconnais que tu es mort à la croix du Calvaire et que tu es ressuscité des morts pour moi. 

Je suis maintenant sauvé(e) et né(e) de nouveau par la puissance du Saint-Esprit. Conduis-moi chaque jour vers la vie éternelle que tu donnes à tous ceux qui obéissent à ta Parole. Révèle-toi à moi et fortifie mon coeur et ma foi, afin que ta lumière luise dans ma vie dès maintenant.

Merci, Seigneur Jésus de m’accepter dans ta famille divine, afin que je puisse aussi contempler les merveilles de ton royaume en marchant selon tes voies.

Je vais choisir maintenant un point d’eau tout proche où me baptiser par immersion, au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.

A toi toute l’adoration, la puissance et la gloire, maintenant et pour les siècles des siècles. Amen ! 

Je serais content de réagir à vos questions et commentaires éventuels, avant de partager avec vous demain « Moïse et Aaron se présentent devant le Pharaon. » (Ex 5)

Que le Seigneur Jésus-Christ vous bénisse abondamment.

David Feze, Serviteur de l’Éternel des armées.

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