Bien-aimés, j’ai la joie de partager avec vous aujourd’hui le thème tiré de Nb 8.1-2 et suivants. En effet, pourquoi est-il de nouveau question du chandelier au début du ch. 8, entre l’offrande des biens au ch. 7 et la consécration des Lévites dans les versets suivants? N’est-ce pas pour montrer que la lumière sonde et apprécie aussi bien le don que la personne, non seulement le service mais également celui qui l’accomplit? Dieu sait ce que vaut notre dévouement dont parle cette scène de consécration. Et nous remarquons que les Lévites étaient présentés par Aaron en offrande tournoyée, comme pour laisser cette lumière divine successivement tout éclairer en eux sans rien laisser dans l’ombre. S’il était resté la moindre tache à leurs vêtements, cela se serait vu immédiatement. Combien il est important de nous tenir toujours devant Dieu pour le servir (exemple 1 Rois 17.1-7).

Avant d’être présentés en offrande tournoyée, les Lévites étaient purifiés et des sacrifices étaient offerts pour eux. Ils faisaient passer le rasoir sur tout leur corps (v.7; Nb 8.5-7) et lavaient leurs vêtements. Nous avons déjà rencontré ces images à l’occasion de la consécration des sacrificateurs et de la purification des lépreux. Elles ne correspondent pas à la conversion, mais au travail que fait le Saint Esprit par le moyen de la Parole pour que les croyants restent purs. Le rasoir est l’image du jugement que nous avons à porter sur tout ce que produit la chair. Pour le serviteur l’orgueil en particulier croît vite si le « rasoir » n’est pas là pour en surveiller les apparitions. D’autre part, quand nous venons de nous laver, nous n’aimons pas remettre des habits sales. Et, pour servir le Seigneur, il nous faut non seulement une bonne conscience, mais également une conduite extérieure irréprochable. « Après cela » seulement, le Lévite pouvait faire son service (v. 22). Leçon importante! N’importe quel métier comporte un apprentissage, une période de préparation. À plus forte raison le service du Seigneur. Avant de commencer hâtivement un travail pour Christ, laissons-le faire celui que, par sa grâce, lui veut accomplir en nous.

« Et l’Éternel parla à Moïse, disant: Parle à Aaron et dis-lui Quand tu allumeras les lampes, les sept lampes éclaireront sur le devant, vis-à-vis du chandelier. Et Aaron fit ainsi; il alluma les lampes pour éclairer sur le devant, vis-à-vis du chandelier, comme l’Éternel l’avait commandé à Moïse. Et le chandelier était fait ainsi: il était d’or battu; depuis son pied jusqu’à ses fleurs, il était d’or battu. Selon la forme que l’Éternel avait montrée à Moïse, ainsi il avait fait le chandelier » (vers. 1-4). Dans ce paragraphe, deux choses réclament l’attention du lecteur, savoir: d’abord, la place qu’occupe le type du chandelier d’or, et secondement, l’instruction qu’il présente.

Il est bien remarquable que le chandelier soit le seul des meubles du tabernacle qui soit ici mentionné. Il ne nous est rien dit de l’autel d’or, rien de la table d’or. Le chandelier seul est devant nous, non point comme au chapitre 4 où il est vu, ainsi que le reste, dans son vêtement de voyage, mais dépouillé de ses couvertures bleues et de ses peaux de taissons. Ici on le voit resplendissant et découvert. Il est mentionné entre les offrandes des principaux et la consécration des Lévites, et répand sa mystique lumière conformément au commandement du Seigneur. On ne peut pas se dispenser de la lumière dans le désert, c’est pourquoi le chandelier d’or doit être dépouillé de sa couverture et peut briller en témoignage pour Dieu. Et qu’on se souvienne toujours que ce témoignage est le grand but vers lequel tout se dirige, soit qu’il s’agisse de l’offrande de nos biens, comme dans le cas des principaux; soit qu’il s’agisse de la consécration de nos personnes, comme dans le cas des Lévites. Ce n’est qu’à la lumière du sanctuaire que l’on peut voir la valeur réelle de chaque chose et de chacun.

Aussi l’ordre moral de toute cette partie de notre livre est-il frappant et beau; il est, en vérité, divinement parfait. Ayant lu dans le chapitre 7 tout ce qui est dit de la libéralité des principaux, nous pourrions, dans notre sagesse, supposer que la première chose qui devrait suivre, serait la consécration des Lévites, montrant ainsi dans un rapport immédiat « nos personnes et nos offrandes ». Mais non. L’Esprit de Dieu fait intervenir la lumière du sanctuaire, afin que nous puissions discerner, par elle, le véritable objet de toute libéralité et de tout service dans le désert.

N’y a-t-il pas en ceci une belle convenance morale? Aucun lecteur spirituel ne peut manquer de le voir. Pourquoi n’avons-nous pas ici l’autel d’or, avec son nuage d’encens?

Pourquoi pas la table pure avec ses douze pains? Parce que ni l’un ni l’autre de ces meubles n’aurait la moindre connexion morale avec ce qui précède ou ce qui suit; mais le chandelier d’or est en parfait rapport avec tous les deux, vu qu’il nous apprend que toute libéralité et toute œuvre doivent être envisagées à la lumière du sanctuaire, afin qu’on en puisse constater la réelle valeur. C’est là une grande leçon pour le désert, et elle nous est enseignée d’une manière si bénie qu’un type peut le faire. Dans notre marche à travers le livre des Nombres, nous venons de lire le récit de la libéralité tout à fait cordiale des principaux chefs de la congrégation, à l’occasion de la dédicace de l’autel; et nous allons arriver au récit de la consécration des Lévites; mais l’écrivain inspiré s’arrête entre ces deux récits, afin de laisser resplendir sur eux la lumière du sanctuaire.

C’est l’ordre divin. C’est, nous pouvons le dire, une des nombreuses illustrations, répandues dans toute l’Écriture, et tendant à démontrer la divine perfection du volume entier, comme de chacun de ses livres, de chacune de ses divisions et de chacun de ses paragraphes. Nous sommes heureux, profondément heureux, de signaler ces précieuses illustrations à notre lecteur, tandis que nous conversons avec lui. Nous croyons en cela lui rendre un bon service; et en même temps offrir notre humble tribut de louanges à ce précieux livre que notre Père a, dans sa grâce, fait écrire pour nous. Nous savons bien que ce livre n’a pas besoin de notre pauvre témoignage, ni de celui d’aucune plume ou d’aucune langue humaine. Mais, cependant, c’est notre joie de le lui rendre, à la face des attaques nombreuses, mais futiles, que dirige l’ennemi contre son inspiration. La vraie source et le vrai caractère de toutes ces attaques deviendront de plus en plus manifestes, à mesure que nous acquerrons une connaissance toujours plus profonde, plus vivante et plus expérimentale des infinies profondeurs et des divines perfections de la Parole.

C’est pourquoi les preuves internes des Saintes Écritures – leur puissant effet sur nous-mêmes, non moins que leurs gloires morales intrinsèques, leur faculté de juger les racines mêmes du caractère et de la conduite, et leur admirable composition dans toutes leurs parties – sont les plus forts arguments en faveur de leur divinité. Un livre qui me montre ce que je suis, qui me dit tout ce qui est dans mon cœur – qui met à nu les ressorts moraux les plus cachés de ma nature, qui me juge à fond et qui, en même temps, me révèle Celui qui répond à tous mes besoins – un pareil livre porte avec lui ses lettres de créance. Il ne demande pas de lettres de recommandation de l’homme et n’en a pas besoin. Il n’a nul besoin de sa faveur et nulle crainte de sa colère.

Il nous est souvent venu à la pensée que si nous raisonnions sur la Bible, comme la femme de Sichar le faisait sur notre Seigneur, nous arriverions à une conclusion aussi saine sur la Bible, que celle de la Samaritaine sur le Seigneur. « Venez, disait cette simple femme, voyez un homme qui m’a dit tout ce que j’ai fait; celui-ci n’est-il point le Christ? » Ne pouvons-nous pas dire avec une égale force d’argumentation: « Venez, voyez un livre qui m’a dit tout ce que j’ai fait; ce livre n’est-il pas la Parole de Dieu? » Oui, vraiment; et non seulement cela, mais nous pouvons à plus forte raison tirer cette conclusion, vu que le Livre de Dieu nous dit non seulement tout ce que nous avons fait, mais tout ce que nous pensons, tout ce que nous disons, et tout ce que nous sommes. (Voyez Rm 3:10-18; Mt 15.19.)

Est-ce donc que nous méprisons les preuves externes? Loin de là. Nous nous en réjouissons. Nous estimons chaque argument et chaque témoignage qui sont propres à fortifier les fondements de la confiance du cœur en la divine inspiration des Saintes Écritures; et certes nous avons abondance de ces arguments et de ces témoignages. Mais ce n’est pas tout ce que nous apprend ce type. « Les sept lampes éclaireront sur le devant, vis-à-vis du chandelier. » Si nous voulions revêtir cette figure du langage du Nouveau Testament, nous citerions les paroles de notre Seigneur lorsqu’il nous dit « Que votre lumière luise ainsi devant les hommes, en sorte qu’ils voient vos bonnes œuvres, et qu’ils glorifient votre Père qui est dans les cieux » (Mt 5:16).

En quelque lieu que resplendisse la vraie lumière de l’Esprit, elle rendra toujours un éclatant témoignage à Christ. Elle n’appellera pas l’attention sur elle-même, mais sur Lui; et c’est là le moyen de glorifier Dieu. « Les sept lampes éclaireront sur le devant, vis-à-vis du chandelier. » C’était l’emploi d’Aaron d’allumer les lampes; c’était aussi à lui de les arranger. En d’autres termes, la lumière que, comme chrétiens, nous sommes responsables de faire luire, est non seulement fondée sur Christ, mais elle est maintenue par Lui de moment en moment, durant la nuit tout entière. Hors de Lui nous ne pouvons rien faire. La tige d’or soutenait les lampes; la main du sacrificateur les alimentait d’huile et appliquait les mouchettes. Tout est en Christ, de Christ et par Christ. En plus, tout est à Christ.

C’est un bel exemple pour tous les ouvriers du Seigneur. Et si nous nous reportons un moment au chapitre 3 des Actes, nous en trouverons un autre très frappant. La lumière du sanctuaire y éclate dans la guérison du boiteux, et quand l’attention, qu’ils n’avaient pas recherchée, fut attirée sur les ouvriers, nous voyons Pierre et Jean se retirer tout de suite, avec une sainte jalousie, derrière leur glorieux Maître, et Lui attribuer toute la gloire. « Et comme il tenait par la main Pierre et Jean, tout le peuple étonné accourut vers eux au portique appelé de Salomon. Et Pierre, voyant cela, répondit au peuple: Hommes israélites, pourquoi vous étonnez-vous de ceci? Ou pourquoi avez-vous les yeux fixés sur nous, comme si nous avions fait marcher cet homme par, notre propre puissance ou par notre piété? Le Dieu d’Abraham et d’Isaac et de Jacob, le Dieu de nos pères, a glorifié son serviteur Jésus » (vv.11-13).

Ici, nous avons véritablement « les sept lampes éclairant sur le devant, vis-à-vis du chandelier »; ou, en d’autres termes, le déploiement sextuple ou parfait de la lumière de l’Esprit rendant un témoignage positif au nom de Jésus? » Pourquoi avez-vous les yeux fixés sur nous? » disent ces fidèles porteurs de la lumière de l’Esprit. Il n’est ici nullement besoin des mouchettes! La lumière n’était point voilée. Mais s’ils l’avaient fait, ils auraient frustré leur Maître, falsifié le témoignage, contristé le Saint Esprit, et attiré sur eux-mêmes le juste jugement de Celui qui ne donnera pas sa gloire à un autre. Mais non; les sept lampes brillaient avec éclat à Jérusalem, dans ce moment intéressant. Le vrai candélabre était alors au portique de Salomon et non dans le temple. Du moins les sept lampes étaient là et y faisaient admirablement leur œuvre.

Les versets ci-après ont été compilés pour votre édification et regroupés pour votre meilleure compréhension.

Le porte-lampe :

  • Or, références générales

Gn 2.12 L’or de ce pays est pur; on y trouve aussi le bdellium et la pierre d’onyx. Ex 12.35 Les enfants d’Israël firent ce que Moïse avait dit, et ils demandèrent aux Égyptiens des vases d’argent, des vases d’or et des vêtements. Ex 37.17 Il fit le chandelier d’or pur; il fit le chandelier d’or battu; son pied, sa tige, ses calices, ses pommes et ses fleurs, étaient d’une même pièce. Ex 39.15 On passa les deux cordons d’or dans les deux anneaux aux deux extrémités du pectoral;

  • Ablutions rituelles

Lv 6.27 (6:20) Quiconque en touchera la chair sera sanctifié. S’il en rejaillit du sang sur un vêtement, la place sur laquelle il aura rejailli sera lavée dans un lieu saint. Lv 13.54  il ordonnera qu’on lave ce qui est attaqué de la plaie, et il l’enfermera une seconde fois pendant sept jours. Lv 14.8 Celui qui se purifie lavera ses vêtements, rasera tout son poil, et se baignera dans l’eau; et il sera pur. Ensuite il pourra entrer dans le camp, mais il restera sept jours hors de sa tente. Lv 16.28 Celui qui les brûlera lavera ses vêtements, et lavera son corps dans l’eau; après cela, il rentrera dans le camp.

  • Hommes de Dieu, instruments choisis pour accomplir les desseins de Dieu

Ag 2.23 En ce jour-là, dit l’Éternel des armées, Je te prendrai, Zorobabel, fils de Schealthiel, Mon serviteur, dit l’Éternel, Et je te garderai comme un sceau; Car je t’ai choisi, dit l’Éternel des armées. Jn 15.16 Ce n’est pas vous qui m’avez choisi; mais moi, je vous ai choisis, et je vous ai établis, afin que vous alliez, et que vous portiez du fruit, et que votre fruit demeure, afin que ce que vous demanderez au Père en mon nom, il vous le donne. Ac 9.15 Mais le Seigneur lui dit: Va, car cet homme est un instrument que j’ai choisi, pour porter mon nom devant les nations, devant les rois, et devant les fils d’Israël; 1 Co 1.27-29 Mais Dieu a choisi les choses folles du monde pour confondre les sages; Dieu a choisi les choses faibles du monde pour confondre les fortes; 28 et Dieu a choisi les choses viles du monde et celles qu’on méprise, celles qui ne sont point, pour réduire à néant celles qui sont, 29 afin que nulle chair ne se glorifie devant Dieu.

  • Expiation, doctrine de l’

Lv 4.20 Il fera de ce taureau comme du taureau expiatoire; il fera de même. C’est ainsi que le sacrificateur fera pour eux l’expiation, et il leur sera pardonné. Lv 8.34 Ce qui s’est fait aujourd’hui, l’Éternel a ordonné de le faire comme expiation pour vous. Lv 10.17 Pourquoi n’avez-vous pas mangé la victime expiatoire dans le lieu saint? C’est une chose très sainte; et l’Éternel vous l’a donnée, afin que vous portiez l’iniquité de l’assemblée, afin que vous fassiez pour elle l’expiation devant l’Éternel. Lv 14.21 S’il est pauvre et que ses ressources soient insuffisantes, il prendra un seul agneau, qui sera offert en sacrifice de culpabilité, après avoir été agité de côté et d’autre, et avec lequel on fera pour lui l’expiation. Il prendra un seul dixième de fleur de farine pétrie à l’huile pour l’offrande, et un log d’huile.

De tout ce qui précède, nous notons que ces serviteurs honorés ne cherchaient pas la gloire pour eux-mêmes; au contraire, ils déployèrent sur-le-champ toute leur énergie, afin d’éloigner d’eux-mêmes les regards d’étonnement de la foule et de les porter sur Celui qui seul en est digne et qui, quoiqu’il fût dans les cieux, travaillait encore par son Esprit sur la terre. Beaucoup d’autres exemples pourraient être tirés des Actes des Apôtres; mais celui que nous venons de voir suffira pour imprimer dans nos cœurs la grande leçon pratique que nous enseigne le chandelier d’or avec ses sept lampes. Nous en sentons profondément la nécessité dans ce moment même. Il y a toujours du danger à ce que l’œuvre et l’ouvrier soient mis en relief plutôt que le Maître. Tenons-nous en garde contre ce piège. C’est un grand mal; cela contriste l’Esprit saint qui travaille toujours à exalter le nom de Jésus; c’est offensant pour le Père qui voudrait toujours faire résonner à nos oreilles et descendre profondément dans nos cœurs ces paroles venant du ciel ouvert et entendues sur la montagne de la transfiguration: « Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui j’ai trouvé mon plaisir; écoutez-le » (Mt 17:5); c’est en opposition des plus directes et des plus positives avec la pensée du Ciel, où tout regard est fixé sur Jésus, où tout cœur est occupé de Jésus, et où le seul cri éternel, universel et unanime sera: « Tu es digne ». Pensons à tout cela; pensons-y sérieusement et habituellement; afin de nous abstenir de tout ce qui s’approche de la glorification de l’homme – du moi, de nos actions, de nos paroles, de nos pensées. Puissions-nous tous chercher avec plus d’ardeur le sentir paisible, ombragé et discret, où l’Esprit du doux et humble Jésus nous conduira toujours pour la marche et pour le service. En un mot, puissions-nous demeurer en Christ et recevoir de Lui, de jour en jour et de moment en moment, l’huile pure, tellement que notre lumière luise sans que nous y pensions, à la louange de Celui en qui seul nous avons TOUT, en dehors duquel nous ne pouvons faire absolument RIEN. Nos prières vous y accompagnent tous.

PRIÈRE D’ACCEPTATION DE JESUS-CHRIST COMME SEIGNEUR ET SAUVEUR PERSONNEL

J’invite à présent toute personne qui veut devenir une nouvelle création en marchant dans la vérité, à faire avec moi la prière suivante :  

Seigneur Jésus, j’ai longtemps marché dans les convoitises du monde en ignorant ton amour pour les humains. Je reconnais avoir péché contre toi et te demande pardon pour tous mes péchés, car aujourd’hui j’ai décidé de te donner ma vie en te prenant comme Seigneur et morts pour moi. 

Je suis maintenant sauvé(e) et né(e) de nouveau par la puissance du Saint-Esprit. Conduis-moi chaque jour vers la vie éternelle que tu donnes à tous ceux qui obéissent à ta Parole. Révèle-toi à moi et fortifie mon coeur et ma foi, afin que ta lumière luise dans ma vie dès Sauveur personnel. Je reconnais que tu es mort à la croix du Calvaire et que tu es ressuscité des maintenant.

Merci, Seigneur Jésus de m’accepter dans ta famille divine, afin que je puisse aussi contempler les merveilles de ton royaume en marchant selon tes voies.

Je vais choisir maintenant un point d’eau tout proche où me baptiser par immersion, au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.

A toi toute l’adoration, la puissance et la gloire, maintenant et pour les siècles des siècles. Amen ! 

Je serais content de réagir à vos questions et commentaires éventuels, avant de partager avec vous demain « La Pâque célébrée dans le désert du Sinaï – Cas particulier pour celui qui est impur ou en voyage. » Nb 9

Que le Seigneur Jésus-Christ vous bénisse abondamment.

David Feze, Serviteur de l’Éternel des armées.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *