Bien-aimés, j’ai la joie de partager avec vous aujourd’hui le thème ci-dessus tiré de Ex 24.1 et suivants. En effet, la première alliance est inaugurée solennellement. Elle est scellée avec du sang (Hb 9.15-22). Puis l’Éternel montre quelques rayons de sa gloire aux anciens d’Israël. Ils voient « sous ses pieds comme un ouvrage de saphir transparent, et comme le ciel lui-même en pureté » (v. 10; Éz 1.26-28). Ses pieds nous font penser au glorieux sentier du Fils de Dieu, tel que les Évangiles nous le présentent, un sentier « comme le ciel lui-même en pureté… ». Christ est non seulement « descendu du ciel », « monté au ciel », mais d’une manière permanente il est « le Fils de l’homme qui est dans le ciel » (Jean 3:13, selon certains manuscrits). C’est dans la marche de Christ ici-bas que la gloire de Dieu peut être admirée dans toutes ses perfections morales (Ps 68.23-26). « Celui qui m’a vu, a vu le Père », dit Jésus à ses disciples (Jean 14.8-11). Le v. 11 est la préfiguration de la sainte liberté et de la communion dont jouissent maintenant les rachetés du Seigneur Jésus. Sur la base de l’œuvre accomplie par Christ et de sa présence à la droite de Dieu, ils sont en quelque sorte « chez eux » dans la gloire.

Moïse, sur une autre montagne – celle de la transfiguration – sera témoin avec Élie et les trois disciples, de la gloire du Seigneur Jésus (Luc 9.28-36). Ce chapitre s’ouvre par une expression qui caractérise remarquablement l’économie mosaïque tout entière: « Et il dit à Moïse: Monte vers l’Éternel, toi et Aaron, Nadab et Abihu, et soixante-dix des anciens d’Israël, et vous vous prosternerez de loin; et Moïse s’approchera seul de l’Éternel; mais eux ne s’approcheront pas, et le peuple ne montera pas avec lui ». (v.1-2). Nulle part, dans toutes les ordonnances de la loi, nous ne trouvons ces précieuses paroles: « Venez, approchez! » Non! de semblables paroles ne pouvaient se faire entendre du haut du Sinaï, ni du milieu des ombres de la loi. Elles ne pouvaient être prononcées que de l’autre côté de la tombe vide de Jésus, où le sang de la croix avait ouvert une perspective sans nuage pour le regard de la foi. Car les paroles: « de loin » caractérisent la loi, comme l’expression: « approchez » caractérise l’Évangile. Sous la loi, l’œuvre qui pouvait donner à un pécheur le droit de s’approcher n’était jamais faite. L’homme n’avait pas obéi, comme il s’était engagé à le faire; et « le sang du taureau et de bouc » (Lév. 16:18) ne pouvait ni expier son péché, ni donner la paix à sa conscience; c’est pourquoi il fallait qu’il se tînt « loin ». Les vœux que l’homme avait faits étaient violés, et le péché de l’homme n’était pas lavé; comment donc l’homme aurait-il pu s’approcher? Le sang de dix mille taureaux n’aurait pu effacer une seule des taches qui souillaient sa conscience, ni lui donner le sentiment paisible de la proximité d’un Dieu de grâce, juste et justifiant.

Cependant la « première alliance » (Héb. 9) est ici consacrée avec du sang. Moïse bâtit un autel au pied de la montagne, ayant « douze pierres, selon le nombre des tribus des fils d’Israël ». (Jos. 4, et 1 Rois 18:31). « Et il envoya des jeunes hommes des fils d’Israël, qui offrirent des holocaustes, et sacrifièrent des taureaux à l’Éternel en sacrifices de prospérités. Et Moïse prit la moitié du sang et le mit dans des bassins; et de la moitié du sang il fit aspersion sur l’autel. – Et Moïse prit le sang, et en fit aspersion sur le peuple, et dit: Voici le sang de l’alliance que l’Éternel a faite avec vous selon toutes ces paroles ». (vv.5, 6, 8). Bien que, comme l’apôtre nous l’apprend, il soit « impossible que le sang de taureaux et de boucs ôte les péchés, il sanctifiait néanmoins pour la pureté de la chair » (Héb. 10:4; 9:13); et comme « ombre des biens à venir » (Héb. 10:1), il servait à maintenir le peuple en relation avec l’Éternel.

« Et Moïse et Aaron, Nadab et Abihu et soixante-dix des anciens d’Israël montèrent; et ils virent le Dieu d’Israël, et sous ses pieds comme un ouvrage de saphir transparent, et comme le ciel même en pureté. Et il ne porta point sa main sur les nobles d’entre les fils d’Israël: ils virent Dieu, et ils mangèrent et burent ». (vv. 9-11). C’était là la manifestation du « Dieu d’Israël », en lumière et en pureté, en majesté et en sainteté. Ce n’était pas la révélation des affections du Père ni les doux accents de la voix d’un Père, répandant la paix et la confiance dans le cœur. Non, « l’ouvrage de saphir transparent » révélait cette pureté et cette lumière inaccessibles, qui ne pouvaient que dire au pécheur de se tenir « loin ». Toutefois, « ils virent Dieu, et ils mangèrent et burent »; preuve touchante de la longanimité et de la miséricorde divines, comme aussi de la puissance du sang!

En ne considérant cette scène tout entière que comme une image, elle renferme beaucoup de choses qui sont faites pour intéresser le cœur : Il y a en bas le camp, et en haut le pavé de saphir; mais l’autel, au pied de la montagne, nous parle de ce chemin par lequel le pécheur peut se soustraire à la corruption de sa nature, et s’élever jusque dans la présence de Dieu pour y faire la fête et adorer dans une parfaite paix. Le sang qui coulait autour de l’autel était le seul droit de l’homme à subsister dans la présence de cette gloire, qui « était comme un feu dévorant aux yeux des fils d’Israël » (v.17). « Et Moïse entra au milieu de la nuée, et monta sur la montagne; et Moïse fut sur la montagne quarante jours et quarante nuits ». C’était là, véritablement, pour Moïse, une haute et sainte position. Il était appelé loin de la terre et des choses de la terre. Isolé des influences de la nature, il est renfermé avec Dieu, pour entendre de sa bouche les profonds mystères de la personne et de l’œuvre de Christ, tels que nous les représente le tabernacle dans toute sa structure et ses accessoires, si pleins de signification, « les images des choses qui sont dans les cieux ». (Hb 9:23).

Dieu savait bien quelle serait la fin de l’alliance d’œuvres de l’homme; mais il montre à Moïse, dans des types et des ombres, ses propres pensées d’amour et ses conseils de grâce, manifestés en Christ et rendus fermes par lui. Bénie soit à jamais la grâce qui ne nous a pas laissés sous une alliance d’œuvres. Béni soit Celui qui a imposé silence pour nous aux tonnerres de la loi et éteint les flammes de Sinaï, par « le sang de l’alliance éternelle » (Hb 13:20), et qui nous a donné une paix que nulle puissance de la terre ou de l’enfer ne peut ébranler. « À Celui qui nous aime et qui nous a lavés de nos péchés dans son sang, et il nous a fait un royaume, des sacrificateurs pour son Dieu et Père à lui la gloire et la force aux siècles des siècles Amen! » (Apocalypse 1). Car les premiers mots de ce chapitre (« montez vers le Seigneur ») impliquent, sans affirmer explicitement, que Moïse fut d’abord envoyé pour transmettre à Israël les lois qui venaient d’être promulguées. Ce code, ils l’ont accepté à l’unanimité, et il l’a écrit. C’est une déclaration mémorable, enregistrant l’origine de la première partie de l’Écriture Sainte qui n’ait jamais existé en tant que telle, quels que soient les écrits antérieurs qui peuvent maintenant ou après avoir été incorporés dans le Pentateuque. Il bâtit ensuite un autel pour Dieu et douze colonnes pour les tribus, et sacrifia des holocaustes et des sacrifices de prospérités au Seigneur. On observera que les offrandes pour le péché n’étaient pas encore instituées ; et le sacerdoce non plus, de sorte que les jeunes gens tuèrent les offrandes.

La moitié du sang a été versée sur l’autel, parce que Dieu avait parfait sa part dans l’alliance. Le reste n’a pas été utilisé jusqu’à ce que la loi ait été lue à haute voix et que le peuple ait répondu d’une seule voix : « Tout ce que le Seigneur a commandé, nous le ferons et nous serons obéissants. Là-dessus, eux aussi furent aspergés de sang, et les paroles solennelles furent prononcées : « Voici le sang de l’alliance que le Seigneur a faite avec vous concernant toutes ces paroles ». Le peuple était maintenant définitivement lié : aucune alliance ultérieure du même genre ne sera trouvée dans l’Ancien Testament. Et maintenant commença à fonctionner le principe qui fut ensuite incorporé dans la pratique. Ce principe, énoncé en termes généraux, était l’exclusion de la présence de Dieu, soulagée et remplie d’espoir par l’admission de représentants. Il était encore interdit au peuple de s’approcher, sous peine de mort. Mais Moïse et Aaron n’étaient plus les seuls à franchir les limites fixées. Avec eux vinrent les deux fils d’Aaron, (par la suite, malgré leur privilège, pour rencontrer un sort terrible,) et aussi soixante-dix représentants de tout le peuple de la nouvelle alliance.

Josué, aussi, en tant que serviteur de Moïse, était libre de venir, bien que non spécifié dans la convocation (Exode 24:113). « Ils ont vu le Dieu d’Israël », et sous ses pieds le bleu du ciel comme un saphir intense. Et ils étaient en sécurité : ils virent Dieu, et mangèrent et burent. Mais dans le privilège lui-même, il y a des degrés : Moïse a été appelé encore plus haut et a laissé Aaron et Hur gouverner le peuple pendant qu’il communiquait avec son Dieu. Pendant six jours, la nation vit les flancs de la montagne couverts de nuées et son sommet couronné de la gloire de l’Éternel comme un feu dévorant. Alors Moïse entra dans la nuée, et pendant quarante jours ils ne savaient pas ce qu’il était devenu. Était-ce du temps perdu ? Dites plutôt que tout le temps est perdu sauf ce qui est dépensé en communion, directe ou indirecte, avec l’Éternel. Car l’effet produit n’est pas la satisfaction, mais le désir. Chaque nouvelle vision approfondit le sens de l’invisible. Ainsi, nous lisons d’abord que Moïse et Aaron, Nadab et Abihu et les soixante-dix anciens virent Dieu, révélation de laquelle le peuple se sentit et se savait exclu.

A quoi peuvent servir les nuages ​​et le feu pour la manifestation d’un Dieu dont l’essence est son amour ? C’est à partir du récit de l’Ancien Testament que le Nouveau Testament a déduit que Moïse a enduré en voyant vraiment, mais en voyant Celui qui est inévitablement et pour toujours invisible aux yeux de la chair : il a appris le plus, non pas quand il a vu une forme de crainte, debout un ouvrage pavé de pierre de saphir et comme le ciel même pour la clarté, mais lorsqu’il est caché dans une fente du rocher et couvert par la main de Dieu pendant qu’il passe. D’un côté le peuple a vu la gloire de Dieu : de l’autre c’était la meilleure leçon enseignée par un accès beaucoup plus proche, toujours prier et aspirer à voir cette gloire. Les soixante-dix virent le Dieu d’Israël : pour leur chef était réservée la connaissance la plus exaltante, qu’au-delà de toute vision se trouve l’ombre mystique du Divin, et une voix qui dit « Aucun homme ne me verra et ne vivra ». La différence de cœur est bien caractérisée dans cette différence dans leur conduite, qu’ils ont vu Dieu et ont mangé et bu, mais lui, pendant quarante jours, n’a pas mangé. La satisfaction et l’assurance sont un piètre idéal comparé à l’aspiration et au désir passionnés.

Ainsi, nous voyons qu’aucun conflit n’existe entre cette déclaration et notre croyance en la spiritualité de Dieu.

Les versets ci-après ont été compilés pour votre édification et regroupés pour votre meilleure compréhension.

Dieu conclut l’alliance avec Israël :

  • Vraie adoration de Dieu, commandée

Dt 26.10 Maintenant voici, j’apporte les prémices des fruits du sol que tu m’as donné, ô Éternel! Tu les déposeras devant l’Éternel, ton Dieu, et tu te prosterneras devant l’Éternel, ton Dieu. Ps 95.6 Venez, prosternons-nous et humilions-nous, Fléchissons le genou devant l’Éternel, notre créateur! Mt 4.10 Jésus lui dit: Retire-toi, Satan! Car il est écrit: Tu adoreras le Seigneur, ton Dieu, et tu le serviras lui seul. Jn 4.24 Dieu est Esprit, et il faut que ceux qui l’adorent l’adorent en esprit et en vérité.

  • Proximité de Dieu

1 S 14.36 Saül dit: Descendons cette nuit après les Philistins, pillons-les jusqu’à la lumière du matin, et n’en laissons pas un de reste. Ils dirent: Fais tout ce qui te semblera bon. Alors le sacrificateur dit: Approchons-nous ici de Dieu. Ps 73.28 Pour moi, m’approcher de Dieu, c’est mon bien: Je place mon refuge dans le Seigneur, l’Éternel, Afin de raconter toutes tes oeuvres. Hb 7.19 -car la loi n’a rien amené à la perfection, -et introduction d’une meilleure espérance, par laquelle nous nous approchons de Dieu. Jac 4.8 Approchez-vous de Dieu, et il s’approchera de vous. Nettoyez vos mains, pécheurs; purifiez vos coeurs, hommes irrésolus.

  • Alliance de l’homme avec Dieu, dans la prière et la communion

Ex 24.7 Il prit le livre de l’alliance, et le lut en présence du peuple; ils dirent: Nous ferons tout ce que l’Éternel a dit, et nous obéirons. Jos 24.24 Et le peuple dit à Josué: Nous servirons l’Éternel, notre Dieu, et nous obéirons à sa voix. 2 Rois 11.17 Jehojada traita entre l’Éternel, le roi et le peuple, l’alliance par laquelle ils devaient être le peuple de l’Éternel; il établit aussi l’alliance entre le roi et le peuple. Neh 10.30 Nous promîmes de ne pas donner nos filles aux peuples du pays et de ne pas prendre leurs filles pour nos fils;

  • Instruction spirituelle, exemples d’, spirituelle

1 S 9.27 Quand ils furent descendus à l’extrémité de la ville, Samuel dit à Saül: Dis à ton serviteur de passer devant nous. Et le serviteur passa devant. Arrête-toi maintenant, reprit Samuel, et je te ferai entendre la parole de Dieu. 2 Rois 17.28 Un des prêtres qui avaient été emmenés captifs de Samarie vint s’établir à Béthel, et leur enseigna comment ils devaient craindre l’Éternel. Mt 5.2 Puis, ayant ouvert la bouche, il les enseigna, et dit: Ac 18.26 Il se mit à parler librement dans la synagogue. Aquilas et Priscille, l’ayant entendu, le prirent avec eux, et lui exposèrent plus exactement la voie de Dieu.

De tout ce qui précède, nous notons qu’il faut encore ajouter que la manifestation divine convient exactement au stade atteint maintenant dans l’éducation d’Israël. Leurs pères avaient déjà « vu Dieu » à l’image de l’homme : Abraham l’avait reçu ; Jacob avait lutté avec Lui. Et ainsi Josué devant Aï, et Manoah près du rocher de Zorah, et Ézéchiel près du fleuve Kebar, devraient voir la ressemblance d’un homme. Nous qui croyons à la doctrine d’une véritable Incarnation pouvons bien percevoir que dans ces aperçus passagers et mystérieux, Dieu se révélait non seulement de la manière qui préparerait le mieux l’humanité à sa venue future dans la force actuelle, mais aussi de la manière par laquelle, en attendant, la lumière la plus vraie et la plus profonde pourrait être jetée sur sa nature, une nature qui pourrait désormais se manifester parfaitement dans la chair. Pourquoi, alors, les annales de l’Exode ne font-elles pas allusion à une ressemblance humaine ? Pourquoi n’ont-ils « vu aucune similitude » ? Clairement parce que les masses d’Israël n’étaient absolument pas préparées à recevoir à juste titre une telle vision. Pour eux, la ressemblance de l’homme n’aurait signifié rien de plus que la ressemblance d’un aigle volant ou d’un veau. L’idolâtrie aurait suivi, mais aucun sentiment de sympathie, aucune conscience de la grandeur et de la responsabilité d’être fait à la ressemblance de Dieu. Car l’Incarnation est le couronnement de la doctrine de la foi. Les révélations de Dieu dans le désert étaient liées à des menaces et des interdits : la loi était donnée par Moïse ; la grâce et la vérité sont venues par Jésus-Christ. Et avec le ton différent du message, il fallait s’attendre à un aspect différent de l’orateur. Des rochers flamboyants du Sinaï, clôturés autour, la voix d’une trompette de plus en plus forte, a dit « Tu ne le feras pas! » Sur la verte colline au bord du lac de Galilée, Jésus s’assit, et ses disciples vinrent à lui, et il ouvrit sa bouche et dit : « Bienheureux ». Or, la conscience de tout pécheur sait que le Dieu des commandements est redoutable. C’est de Lui, et non de l’enfer, qu’Esaïe a dit : « Les pécheurs de Sion ont peur ; le tremblement a surpris les impies. Qui parmi nous habitera avec le feu dévorant ? Qui parmi nous habitera avec des brûlures éternelles ? (Ésaïe 33:14). Pour celui qui rejette le joug lumineux du Seigneur de l’Amour, les feux du Sinaï sont toujours la plus vraie révélation de la divinité ; et nous ne devons pas renier le Sinaï parce que nous connaissons Bethléem. Que le Seigneur nous aide à bien choisir. Nos prières vous y accompagnent tous.

PRIÈRE D’ACCEPTATION DE JESUS-CHRIST COMME SEIGNEUR ET SAUVEUR PERSONNEL

J’invite à présent toute personne qui veut devenir une nouvelle création en marchant dans la vérité, à faire avec moi la prière suivante :  

Seigneur Jésus, j’ai longtemps marché dans les convoitises du monde en ignorant ton amour pour les humains. Je reconnais avoir péché contre toi et te demande pardon pour tous mes péchés, car aujourd’hui j’ai décidé de te donner ma vie en te prenant comme Seigneur et Sauveur personnel. Je reconnais que tu es mort à la croix du Calvaire et que tu es ressuscité des morts pour moi. 

Je suis maintenant sauvé(e) et né(e) de nouveau par la puissance du Saint-Esprit. Conduis-moi chaque jour vers la vie éternelle que tu donnes à tous ceux qui obéissent à ta Parole. Révèle-toi à moi et fortifie mon coeur et ma foi, afin que ta lumière luise dans ma vie dès maintenant.

Merci, Seigneur Jésus de m’accepter dans ta famille divine, afin que je puisse aussi contempler les merveilles de ton royaume en marchant selon tes voies.

Je vais choisir maintenant un point d’eau tout proche où me baptiser par immersion, au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.

A toi toute l’adoration, la puissance et la gloire, maintenant et pour les siècles des siècles. Amen ! 

Je serais content de réagir à vos questions et commentaires éventuels, avant de partager avec vous demain « L’offrande élevée. » (Ex 25)

Que le Seigneur Jésus-Christ vous bénisse abondamment.

David Feze, Serviteur de l’Éternel des armées.

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