Bien-aimés, j’ai la joie de partager avec vous aujourd’hui le thème ci-dessus tiré de Ex 10.1 et suivants. En effet, « J’ai péché », a reconnu le Pharaon (Ex 9.22-35). Est-ce une vraie repentance? Non: sitôt que la grêle a cessé, il continue de pécher et il endurcit volontairement son cœur. Alors désormais c’est l’Éternel qui endurcira ce cœur (v. 1). Combien c’est solennel! Dieu parle une fois, deux fois (Job 33.14-18), souvent davantage. Puis un jour il est trop tard. Lecteur, combien de fois Dieu vous a-t-il parlé? Voici les sauterelles qui menacent une Égypte déjà ruinée. Joseph avait sauvé le pays: le Pharaon le ruine; de même Satan entraîne le monde à sa perte. À présent, une nouvelle proposition est faite à Moïse: Seuls les adultes iront célébrer la fête. Les petits enfants resteront dans le pays. C’est ainsi que Satan cherche à retenir les âmes par les affections naturelles, les liens de la famille. Mais relisons la belle et importante réponse de Moïse au v. 9. Aucun membre de la famille de la foi, si petit soit-il, ne doit demeurer au pouvoir de l’Ennemi. Ne pensez pas, jeunes amis, que le christianisme soit seulement l’affaire de vos parents. La maison chrétienne forme un tout, et c’est pourquoi il vous est demandé d’en suivre les principes, de vous conformer à ses habitudes et à ses abstentions, même si vous n’en avez pas encore personnellement compris la valeur et la nécessité.

Car tout ce que la grêle avait laissé est à présent ravagé par les sauterelles. Un fléau terrible! « J’ai péché », répète le Pharaon avec une mauvaise foi évidente, dans le seul but d’être débarrassé des sauterelles. Mais on ne se moque pas de Dieu. Il a laissé passer le moment du pardon (Jr 46.17) et l’Éternel endurcit à nouveau son cœur. Puis viennent les ténèbres, trois jours entiers d’épaisses ténèbres! C’était un signe particulièrement frappant pour les Égyptiens. Le soleil, source de lumière, de chaleur, de vie, qu’ils adoraient comme un dieu (Râ), se montre sans pouvoir devant le Créateur de l’univers. Mais dans les habitations de tous les fils d’Israël, il y avait de la lumière. « Quiconque croit en moi ne reste pas dans les ténèbres », déclare le Seigneur Jésus (Jean 12.44-50). Et encore: « Moi je suis la lumière du monde; celui qui me suit ne marchera certainement pas dans les ténèbres, mais il aura la lumière de la vie » (Jean 8.12-18). Au milieu d’un monde rempli des ténèbres du péché, le croyant peut donc réaliser la présence de la lumière: Christ faisant son habitation chez lui (Jean 14.23-24). Il s’ensuit que pour lui tout est clair: l’état du monde, son avenir, l’état de son propre cœur. Il sait où poser les pieds. Ce qu’il fait peut être vu de tous (Luc 11.33-36).

En effet, le monde a crucifié Christ, mais « Dieu l’a haut élevé » (Ph 2:9). L’homme lui a donné la place la plus basse, Dieu lui a donné la place la plus élevée; et puisque le croyant est appelé à une pleine communion avec Dieu, dans ses pensées à l’égard de Christ, il partagera la place que le monde a faite à Christ, et il pourra, de son côté, regarder le monde comme une chose crucifiée. Si donc, le croyant est sur une croix et le monde sur une autre, la distance morale qui les sépare est considérable en effet. Et si la distance est considérable en principe, elle devrait l’être en pratique aussi. Le monde et le chrétien ne devraient avoir absolument rien en commun; et ils n’auront rien en commun, si ce n’est pour autant que le chrétien renie son Seigneur et Maître. Le croyant se montre infidèle à Christ en proportion de la communion qu’il entretient avec le monde.

Tout cela est assez clair; mais, bien-aimés, où cela nous place-t-il quant à ce qui concerne le monde? Assurément, en dehors de lui, et cela complètement. Nous sommes morts au monde et vivants avec Christ. Nous sommes à la fois participants de sa rejection par la terre et de son acceptation dans le ciel; et la joie de cette acceptation nous fait compter pour rien l’épreuve qui se rattache à la rejection. Être rejeté de la terre, sans savoir que j’ai une place et une part dans le ciel, serait pour moi insupportable; mais quand les gloires du ciel absorbent les regards de l’âme, très peu de la terre suffit.

Car plus vous vous réjouissez dans l’amour du Père, plus aussi vous rejetez le monde. Mais qui est-ce qui révèle le Père? C’est le Fils. Et il le fait par la puissance du Saint Esprit. C’est pourquoi, plus je sais, dans la puissance d’un Esprit non contristé, m’abreuver dans la révélation que le Fils fait du Père, plus mon discernement de ce qui est du monde est juste. C’est à mesure que le royaume de Dieu gagne du terrain dans le cœur, que le jugement à l’égard de la mondanité devient plus juste. Marchez avec Dieu et vous ne marcherez pas avec le monde. De froides distinctions, des règles sévères, ne sont ici d’aucune efficacité. C’est la puissance divine qu’il nous faut. Nous avons besoin de comprendre la signification et l’application spirituelle du « chemin de trois jours dans le désert », lequel nous sépare pour toujours non seulement des fours à briques et des commissaires de l’Égypte, mais aussi de ses temples et de ses autels.

La seconde objection de Pharaon participait à un haut degré du caractère et de la tendance de la première. « Et le Pharaon dit: Je vous laisserai aller, et vous sacrifierez à l’Éternel, votre Dieu, dans le désert; seulement ne vous éloignez pas trop en vous en allant » (Ex 8:28). S’il ne pouvait pas garder les Israélites en Égypte, il voulait au moins chercher à les tenir près des frontières, de manière à pouvoir agir sur eux par les diverses influences du pays. Le peuple pourrait être ainsi ramené, et le témoignage plus effectivement anéanti que si Israël n’eût jamais quitté l’Égypte. Les personnes qui retournent au monde, après avoir paru l’abandonner, nuisent beaucoup plus à la cause de Christ que si elles étaient toujours restées dans le monde; car elles confessent virtuellement que, ayant essayé des choses divines, elles ont découvert que les choses terrestres sont meilleures et plus satisfaisantes. Ce n’est pas tout. L’effet moral de la vérité sur la conscience des gens inconvertis reçoit un sérieux échec par ceux qui, après avoir fait profession d’abandonner le monde, retournent aux choses qu’ils semblaient avoir laissées.

C’est pourquoi, si l’on ne veut pas « s’en aller entièrement », mieux vaut ne pas bouger du tout. L’Ennemi ne l’ignorait pas; de là sa seconde objection. Le maintien d’une position de voisinage répond admirablement bien à ses desseins. Ceux qui ne savent pas prendre une position décidée sont toujours faibles et inconséquents; et, de fait, leur influence, quelle qu’elle soit, porte d’un côté entièrement faux. Il est très important de bien saisir que le but de Satan, dans chacune de ces objections, était de mettre obstacle au témoignage, qui ne pouvait être rendu au nom du Dieu d’Israël que par «un pèlerinage de trois jours au désert». C’était là, en toute vérité, «s’éloigner», aller bien plus loin que Pharaon ne pouvait se l’imaginer, ou qu’il n’aurait pu suivre Israël. Et quel bonheur ce serait, si tous ceux qui font profession de sortir de l’Égypte s’en éloignaient ainsi véritablement, dans l’esprit de leur entendement et par l’élévation de leur caractère; s’ils savaient bien reconnaître la croix et la tombe de Christ comme formant la limite entre eux et le monde! Nul homme ne peut par la seule énergie de sa nature se placer sur ce terrain-là. Le Psalmiste a pu dire: « N’entre pas en jugement avec ton serviteur, car devant toi nul homme vivant ne sera justifié ». (Ps. 143:2).

La troisième objection de Pharaon réclame de notre part une attention toute spéciale. « Et on fit revenir Moïse et Aaron vers le Pharaon; et il leur dit: Allez, servez l’Éternel, votre Dieu. Qui sont ceux qui iront? Et Moïse dit. Nous irons avec nos jeunes gens et avec nos vieillards, nous irons avec nos fils et avec nos filles, avec notre menu bétail et avec notre gros bétail; car nous avons à célébrer une fête à l’Éternel. Et il leur dit: Que l’Éternel soit ainsi avec vous, comme je vous laisserai aller avec vos petits enfants! Regardez, car le mal est devant vous. Il n’en sera pas ainsi; allez donc, vous les hommes faits, et servez l’Éternel; car c’est là ce que vous avez désiré. Et on les chassa de devant la face du Pharaon ». (Ex 10:8-11). Ici encore, nous voyons que l’Ennemi cherche à porter un coup mortel au témoignage rendu au nom du Dieu d’Israël. Les parents au désert et les enfants en Égypte, quelle affreuse anomalie!

La quatrième et dernière objection de Pharaon se rapportait au gros et au menu bétail. « Et le Pharaon appela Moïse, et dit: Allez, servez l’Éternel; seulement que votre menu et votre gros bétail restent; vos petits enfants aussi iront avec vous ». (Chap. 10:24). Avec quelle persévérance Satan disputait à Israël chaque pouce de terrain de son chemin hors de l’Égypte! Il cherche premièrement à les faire rester dans le pays; ensuite à les faire rester dans le voisinage du pays; puis à retenir une partie du peuple dans le pays; et enfin, quand il ne réussit dans aucune de ces trois tentatives, il cherche à les faire partir sans aucun moyen de servir l’Éternel. S’il ne peut retenir les serviteurs, il cherche à retenir ce par quoi ils peuvent servir, et à arriver au même but par ce procédé. S’il ne peut les induire à sacrifier dans le pays, il voudrait les envoyer hors du pays sans victimes pour les sacrifices.

Mais la réponse de Moïse à cette dernière objection nous présente une magnifique exposition des droits souverains de l’Éternel sur son peuple et sur tout ce qui lui appartient. « Et Moïse dit: Tu nous donneras aussi dans nos mains des sacrifices et des holocaustes, et nous les offrirons à l’Éternel, notre Dieu; nos troupeaux aussi iront avec nous; il n’en restera pas un ongle, car nous en prendrons pour servir l’Éternel, notre Dieu; et nous ne savons pas comment nous servirons l’Éternel, jusqu’à ce que nous soyons parvenus là ». (Ex 10:25-26). Ce n’est que quand les enfants de Dieu savent prendre, par une foi simple et enfantine, la haute position dans laquelle la mort et la résurrection les ont placés, qu’ils peuvent avoir une intelligence quelque peu exacte des droits de Dieu sur eux. « Nous ne savons pas ce que nous offrirons à l’Éternel jusqu’à ce que nous soyons parvenus là »: Israël ne connaissait pas quelles étaient sa responsabilité et les exigences de Dieu jusqu’à ce qu’il eût fait « le chemin de trois jours ». Il ne pouvait pas connaître ces choses au milieu de l’atmosphère corrompue de l’Égypte. Il faut que la rédemption soit connue comme un fait accompli, avant que l’on puisse avoir en aucune manière une idée juste ou complète de la responsabilité. Tout ceci est parfait et d’une grande beauté. « Si quelqu’un veut faire sa volonté, il connaîtra de la doctrine ». (Jean 7:17). Il faut que, dans la puissance de la mort et de la résurrection, nous soyons complètement hors de l’Égypte; alors, et seulement alors, nous connaîtrons ce qu’est réellement le service du Seigneur.

Les versets ci-après ont été compilés pour votre édification et regroupés pour votre meilleure compréhension.

Huitième fléau, les sauterelles :

  • Manifestations, signes donnés pour affermir la foi

Jg 6.38 Et il arriva ainsi. Le jour suivant, il se leva de bon matin, pressa la toison, et en fit sortir la rosée, qui donna de l’eau plein une coupe. Esa 7.14 C’est pourquoi le Seigneur lui-même vous donnera un signe, Voici, la jeune fille deviendra enceinte, elle enfantera un fils, Et elle lui donnera le nom d’Emmanuel. Esa 55.13 Au lieu de l’épine s’élèvera le cyprès, Au lieu de la ronce croîtra le myrte; Et ce sera pour l’Éternel une gloire, Un monument perpétuel, impérissable. Lc 2.12 Et voici à quel signe vous le reconnaîtrez: vous trouverez un enfant emmailloté et couché dans une crèche.

  • Témoignage du croyant, comment et quand il doit être donné

 -En tout temps Esa 62.6 Sur tes murs, Jérusalem, j’ai placé des gardes; Ils ne se tairont ni jour ni nuit. Vous qui la rappelez au souvenir de l’Éternel, Point de repos pour vous!

-Chez soi Mc 5.18-19 Comme il montait dans la barque, celui qui avait été démoniaque lui demanda la permission de rester avec lui. 19 Jésus ne le lui permit pas, mais il lui dit: Va dans ta maison, vers les tiens, et raconte-leur tout ce que le Seigneur t’a fait, et comment il a eu pitié de toi.

-Sous la puissance du Saint-Esprit Ac 1.8 Mais vous recevrez une puissance, le Saint Esprit survenant sur vous, et vous serez mes témoins à Jérusalem, dans toute la Judée, dans la Samarie, et jusqu’aux extrémités de la terre.

-Dans l’assemblée des saints Ep 5.19 entretenez-vous par des psaumes, par des hymnes, et par des cantiques spirituels, chantant et célébrant de tout votre coeur les louanges du Seigneur;

-Sans honte ni crainte 2 Tim 1.8 N’aie donc point honte du témoignage à rendre à notre Seigneur, ni de moi son prisonnier. Mais souffre avec moi pour l’Évangile,

-En étant toujours préparé 1 P 3.15 Mais sanctifiez dans vos coeurs Christ le Seigneur, étant toujours prêts à vous défendre, avec douceur et respect, devant quiconque vous demande raison de l’espérance qui est en vous,

  • Humilité ordonnée

Mi 6.8 On t’a fait connaître, ô homme, ce qui est bien; Et ce que l’Éternel demande de toi, C’est que tu pratiques la justice, Que tu aimes la miséricorde, Et que tu marches humblement avec ton Dieu. Lc 14.10 Mais, lorsque tu seras invité, va te mettre à la dernière place, afin que, quand celui qui t’a invité viendra, il te dise: Mon ami, monte plus haut. Alors cela te fera honneur devant tous ceux qui seront à table avec toi. Lc 22.26 Qu’il n’en soit pas de même pour vous. Mais que le plus grand parmi vous soit comme le plus petit, et celui qui gouverne comme celui qui sert. 1 P 5.5 De même, vous qui êtes jeunes, soyez soumis aux anciens. Et tous, dans vos rapports mutuels, revêtez-vous d’humilité; car Dieu résiste aux orgueilleux, Mais il fait grâce aux humbles.

  • Adoration universelle

Ps 22.28-29 Toutes les extrémités de la terre penseront à l’Éternel et se tourneront vers lui; Toutes les familles des nations se prosterneront devant ta face. 29 Car à l’Éternel appartient le règne: Il domine sur les nations. Esa 45.22-23 Tournez-vous vers moi, et vous serez sauvés, Vous tous qui êtes aux extrémités de la terre! Car je suis Dieu, et il n’y en a point d’autre. 23 Je le jure par moi-même, La vérité sort de ma bouche et ma parole ne sera point révoquée: Tout genou fléchira devant moi, Toute langue jurera par moi. Esa 66.23 A chaque nouvelle lune et à chaque sabbat, Toute chair viendra se prosterner devant moi, dit l’Éternel. Ap 15.4 Qui ne craindrait, Seigneur, et ne glorifierait ton nom? Car seul tu es saint. Et toutes les nations viendront, et se prosterneront devant toi, parce que tes jugements ont été manifestés.  

De tout ce qui précède, nous notons que c’est quand, par la foi, nous prenons place dans ces riches et glorieux parvis, dans lesquels le précieux sang de Christ nous introduit; c’est quand nous regardons autour de nous et que nous contemplons les résultats variés, excellents et merveilleux de l’amour qui nous a rachetés; c’est quand nous considérons attentivement la personne de Celui qui nous a introduits dans ce lieu et qui nous a fait don de toutes ces richesses, que nous sommes pressés de dire avec le poète: Que mettre aux pieds d’un tel amour? Que donner au Seigneur pour sa grâce infinie? Ah! ma vie et mon cœur sont à lui sans retour. « Il n’en restera pas un ongle »; ce sont de nobles paroles! L’Égypte n’est pas le lieu de quoi que ce soit qui appartienne aux rachetés de Dieu: Dieu est digne de tout; « corps, âme, esprit », tout ce que nous sommes, tout ce que nous avons lui appartient. « Vous n’êtes pas à vous-mêmes, car vous avez été achetés à prix » (1 Co 6:19-20); et c’est notre heureux privilège de nous consacrer nous-mêmes, avec tout ce que nous possédons, à Celui auquel nous appartenons et que nous sommes appelés à servir. Il n’y a rien ici d’un esprit légal. Les paroles: « jusqu’à ce que nous soyons parvenus là », sont notre sauvegarde contre ce mal affreux. Nous avons fait « le chemin de trois jours », avant qu’un seul mot relatif au sacrifice se soit fait entendre ou ait pu être compris; nous sommes mis en possession pleine et incontestée de la vie de résurrection et de la justice éternelle; nous avons quitté ce pays de mort et de ténèbres; nous avons été amenés à Dieu lui-même, en sorte que nous pouvons jouir de lui, dans la puissance de cette vie qu’il nous a donnée, et dans cette sphère de justice dans laquelle nous avons été placés: servir devient ainsi notre joie. Il n’y a pas dans le cœur une seule affection dont Dieu ne soit digne; il n’y a pas, dans tout le troupeau, de sacrifice trop précieux pour son autel. Plus nous marcherons près de lui et dans une communion intime avec lui, plus aussi nous estimerons que notre nourriture et notre breuvage sont de faire sa sainte volonté. Le croyant considère comme son plus grand privilège, de servir le Seigneur. Il prend son plaisir dans tout exercice et toute manifestation de la nature divine. Il ne marche pas chargé d’un lourd et pénible joug. Son joug est rompu « à cause de l’onction » (Ésaïe 10:27); son fardeau a été ôté pour toujours par le sang de la croix, tandis que lui-même, il s’avance « racheté, régénéré et affranchi », en vertu de ces consolantes et encourageantes paroles: « Laisse aller mon peuple ». Nos prières vous y accompagnent tous.

PRIÈRE D’ACCEPTATION DE JESUS-CHRIST COMME SEIGNEUR ET SAUVEUR PERSONNEL

J’invite à présent toute personne qui veut devenir une nouvelle création en marchant dans la vérité, à faire avec moi la prière suivante :  

Seigneur Jésus, j’ai longtemps marché dans les convoitises du monde en ignorant ton amour pour les humains. Je reconnais avoir péché contre toi et te demande pardon pour tous mes péchés, car aujourd’hui j’ai décidé de te donner ma vie en te prenant comme Seigneur et Sauveur personnel. Je reconnais que tu es mort à la croix du Calvaire et que tu es ressuscité des morts pour moi. 

Je suis maintenant sauvé(e) et né(e) de nouveau par la puissance du Saint-Esprit. Conduis-moi chaque jour vers la vie éternelle que tu donnes à tous ceux qui obéissent à ta Parole. Révèle-toi à moi et fortifie mon coeur et ma foi, afin que ta lumière luise dans ma vie dès maintenant.

Merci, Seigneur Jésus de m’accepter dans ta famille divine, afin que je puisse aussi contempler les merveilles de ton royaume en marchant selon tes voies.

Je vais choisir maintenant un point d’eau tout proche où me baptiser par immersion, au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.

A toi toute l’adoration, la puissance et la gloire, maintenant et pour les siècles des siècles. Amen ! 

Je serais content de réagir à vos questions et commentaires éventuels, avant de partager avec vous demain « Annonce du dixième fléau » (Ex 11)

Que le Seigneur Jésus-Christ vous bénisse abondamment.

David Feze, Serviteur de l’Éternel des armées.

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