Bien-aimés, j’ai la joie de partager avec vous aujourd’hui le thème tiré de Ga 5.1 et suivants. En effet, cet affranchissement ne comprend pas seulement la délivrance du joug de la loi, mais celle du joug du péché. Or il est rare de rencontrer des chrétiens qui réalisent une telle délivrance. La plupart d’entre eux se bornent à connaître la valeur de la mort de Christ, de son sang répandu sur la croix, pour effacer nos péchés aux yeux de Dieu, en sorte qu’il n’en soit plus jamais question entre Lui et nous. Précieuse assurance et qui nous donne un accès en justice devant la face de notre Dieu.

Mais l’affranchissement comme l’épître aux Romains et celle que nous étudions en ce moment nous le présentent, va beaucoup plus loin que cela. Car il est basé non seulement sur le fait que Christ est mort pour nous, mais que nous sommes morts avec lui, morts à la loi qui a épuisé sur Christ crucifié toute sa puissance de condamnation; morts au péché dans la chair, puisque ce jugement a été exécuté sur Christ quand il a été fait péché pour nous et que nous avons été crucifiés avec lui; morts enfin au monde, comme nous le verrons plus loin, quand le monde a été définitivement jugé par la résurrection de Christ qu’il avait fait mourir.

Désormais et avant tout une religion de la chair a perdu sa raison d’être, toute religion basée sur les principes de l’homme, dont l’apôtre a commencé de nous débarrasser définitivement, n’a aucune valeur. Car l’affranchissement nous a placés dans la liberté. Ainsi la vraie liberté nous est acquise, liberté de nous livrer nous-mêmes à Dieu(Rm 6.13; Rm 12.1). Nous ne sommes plus sous une obligation quelconque vis-à-vis du péché dans la chair; il n’a plus aucun droit sur nous. C’est une exhortation à rester fidèles au principe qui nous a été montré que nous ne sommes pas des enfants de la servante, mais de la femme libre.

Paul exhorte ces Galates à tenir ferme contre l’ennemi qui voudrait de nouveau les réduire en esclavage. Comment cela? En les engageant à se faire circoncire. Ce seul acte insignifiant en apparence pour des chrétiens, et dont l’ennemi cherchait à leur faire croire que c’était une simple formalité, ou une preuve de condescendance envers leurs frères juifs, les privait de tout le bénéfice de Christ, en sorte que Christ ne leur profitait de rien. Car la circoncision était l’engagement solennel d’accomplir toute la loi; elle replaçait le Gentil sous l’obligation de se charger d’un joug que jamais aucun homme, à commencer par le Juif, n’avait pu porter. Voyons maintenant ce que les Galates, ces Gentils, y auraient gagné. Ils se séparaient par la circoncision de tout le bénéfice qu’il y a dans le Christ. Pour eux plus de liberté, mais obligation, sous menace de mort, d’accomplir toute la loi. Justification par la loi et par conséquent abandon de la grâce, car les deux choses ne peuvent subsister ensemble. Quel était donc l’état chrétien? Le régime le plus diamétralement opposé à celui de la loi: “Pour nous, c’est de la foi que nous attendons, par l’Esprit, l’espérance de la justice.”(Ga 5.5).

Si la loi est un régime qui a la chair pour base, dans lequel on naît selon la chair et qui conduit au jugement qui en outre, persécute ce qui est né selon l’Esprit tout en retenant l’homme sous un joug de servitude, le régime de la grâce a sa source en Christ. Il se résume tout entier dans Son œuvre et dans Sa personne adorable. Car il est le régime de la liberté, et n’a rien à faire avec l’homme pécheur, avec le vieil homme, dont il proclame la condamnation définitive et la mort. Il met fin à la chair qui n’engendre que l’esclavage, la stérilité et le jugement, et dont il faut être délivré par la croix, par la mort de Christ.

Or voici, le commencement et la fin de tout ce nouvel ordre de choses que le christianisme nous apporte. En premier lieu la foi qui met entièrement de côté tout autre moyen de salut. En second lieu l’Esprit, le Saint Esprit de la promesse par lequel nous sommes scellés après avoir cru. En troisième lieu la justice divine que nous possédons à jamais par la grâce, “ayant été justifiés sur le principe de la foi” (Rm 5.1). Que peut-on voir de plus complet, de plus indépendant de l’homme, de plus exclusivement dépendant de Dieu qu’un état pareil? Mais encore cette justice a une espérance et cette espérance de la justice est la gloire, la gloire de Dieu, la gloire de Christ lui-même. “Nous nous glorifions dans l’espérance de la gloire de Dieu”(Rm 5.2). Mais de fait, l’affranchissement de la loi est le sujet capital de l’épître aux Galates et ce sujet a pour conséquence la mort du vieil homme, la condamnation de la chair à la croix de Christ, et la mort au monde. L’épître aux Romains(que nous avons vue récemment) nous présente le combat qui mène à l’affranchissement; non pas les Galates, mais plutôt les conséquences du non-affranchissement. Ici, comme dans Rm 5.1-11, nous pouvons dire: Que nous faut-il de plus? Peut-on ajouter ou retrancher quelque chose à notre délivrance? L’incirconcision ou la circoncision ont-elles quelque valeur pour ceux qui possèdent “le Christ Jésus?”

Non! Dans le Christ Jésus, la seule chose efficace c’est la foi opérante par l’amour (Ga 5.6). La foi nous introduit dans ce que l’amour nous a préparé: dans la jouissance de la faveur de Dieu. Ce même amour fait de nous, comme nous allons le voir, les serviteurs les uns des autres.

“Pour moi, frères, si je prêche encore la circoncision, pourquoi suis-je encore persécuté? Le scandale de la croix a donc disparu! Puissent-ils être retranchés, ceux qui mettent le trouble parmi vous!”(Ga 5.11-12)

Il est à supposer que, selon certains antécédents(Ac 16.3), les faux frères disaient que Paul, à l’occasion, prêchait encore la circoncision. S’il en était ainsi pourquoi était-il encore persécuté des juifs, ce que prouvait toute son histoire. Nous avons vu dans Ga 4.29, que c’était la seule chose qui attendait ceux qui étaient nés selon l’Esprit. Paul lui-même n’en avait-il pas fourni le meilleur exemple? Persécuteur aussi longtemps qu’il était dans la chair, persécuté du moment qu’il avait reçu l’Esprit Saint(Ac 9.17, 23). Et n’en était-il pas encore ainsi? Le scandale de la croix était-il anéanti pour l’apôtre, ou restait-il encore tout entier sur lui? L’apôtre voudrait que ces gens qui bouleversaient les âmes sous prétexte de sainteté aillent jusqu’à se faire eunuques pour en obtenir davantage. L’on verrait où les conduirait cette mutilation.

“Frères, vous avez été appelés à la liberté, seulement ne faites pas de cette liberté un prétexte de vivre selon la chair; mais rendez-vous, par la charité, serviteurs les uns des autres. Car toute la loi est accomplie dans une seule parole, dans celle-ci: Tu aimeras ton prochain comme toi-même. Mais si vous vous mordez et vous dévorez les uns les autres, prenez garde que vous ne soyez détruits les uns par les autres.”Ga 5.13-15)

Nous entrons ici, dans le troisième grand sujet de cette épître. Le premier traitait de ce qu’est l’homme aux yeux de Dieu; le second nous montrait ce qu’est la loi. Instituée par Dieu en rapport avec l’homme, elle ne peut que le condamner. Le troisième traite de la chair en contraste avec l’Esprit et nous amène peu à peu à voir la condamnation absolue et définitive de la chair, ainsi que celle du monde qui en est le domaine. Cette liberté ne devait en aucune manière servir de prétexte à la chair, ce dont les chrétiens légaux et mondanisants ont toujours accusé les chrétiens réellement affranchis, mais elle devait, au contraire, pousser à la manifestation de l’amour dans le service de la famille de Dieu. Ce que la loi ordonnait: l’amour, l’Esprit de Dieu l’accomplissait. C’est à quoi tout aboutissait sous le régime de la grâce. Il est donc possible que nous nous mordions et nous “dévorions les uns les autres”. Quelle en sera la conséquence? Le renversement absolu du témoignage qui nous est confié.

“Je dis donc: Marchez selon l’Esprit, et vous n’accomplirez pas les désirs de la chair. Car la chair a des désirs contraires à ceux de l’Esprit, et l’Esprit en a de contraires à ceux de la chair; ils sont opposés entre eux, afin que vous ne fassiez point ce que vous voudriez. Si vous êtes conduits par l’Esprit, vous n’êtes point sous la loi.”(Ga 5.16-18)

Du moment que nous marchons par l’Esprit, la convoitise de la chair est impossible. L’une de ces choses exclut l’autre: elles sont et resteront toujours en antagonisme et en lutte l’une avec l’autre “afin que vous ne pratiquiez pas les choses que vous voudriez”. Outre ces deux principes: la chair et l’Esprit, il y a l’individu, l’homme qui les contient tous deux, en sorte qu’il peut succomber ou être victorieux dans la lutte engagée.

“Or, les oeuvres de la chair sont manifestes, ce sont l’impudicité, l’impureté, la dissolution, l’idolâtrie, la magie, les inimitiés, les querelles, les jalousies, les animosités, les disputes, les divisions, les sectes, l’envie, l’ivrognerie, les excès de table, et les choses semblables. Je vous dis d’avance, comme je l’ai déjà dit, que ceux qui commettent de telles choses n’hériteront point le royaume de Dieu.”(Ga 5.19-21)

La loi(et cela montre son origine divine) s’oppose à toutes les œuvres de la chair qui sont manifestes. Elle n’en exclut aucune, car l’apôtre ajoute à sa liste “les choses semblables à celles-là”. Elle ne fournit jamais le moyen d’y résister, elle les condamne. Ces œuvres sont la corruption des mœurs, l’idolâtrie païenne, la haine et la violence, les intrigues et les divisions, les meurtres, la corruption de la chair. À toutes ces choses, signalées par la loi, mais comme nous le voyons par l’Ancien Testament, bien loin d’être épuisées par elle, dans notre passage, Dieu répond par l’exclusion de son royaume. Elles n’ont aucun droit à subsister dans la sphère des bénédictions divines, même sur la terre. L’Esprit n’a aucun rapport quelconque avec tout cela.

“Mais le fruit de l’Esprit, c’est l’amour, la joie, la paix, la patience, la bonté, la bénignité, la fidélité, la douceur, la tempérance; la loi n’est pas contre ces choses. Ceux qui sont à Jésus Christ ont crucifié la chair avec ses passions et ses désirs. Si nous vivons par l’Esprit, marchons aussi selon l’Esprit. Ne cherchons pas une vaine gloire, en nous provoquant les uns les autres, en nous portant envie les uns aux autres.”(Ga 5.22-26)

L’Esprit n’a rien de commun avec les œuvres de la chair. Son fruit est tout autre; il forme un bloc où tout se tient. Contre son fruit, il n’y a pas de loi. Il y a d’abord ses résultats en nous relativement à Dieu, au nombre de 3; puis relativement aux hommes, au nombre de 5; enfin, relativement à nous-mêmes, un seul résultat: la tempérance. Contre de telles choses il n’y a pas de loi. Cette dernière ne peut s’y opposer; elle peut sans doute les reconnaître, mais non les produire.

Les versets ci-après ont été compilés pour votre édification et regroupés pour votre meilleure compréhension.

Déchus de la grâce :

  • Justification de soi-même, impossible

Jb 9.2 Je sais bien qu’il en est ainsi; Comment l’homme serait-il juste devant Dieu? Jb 25.4 Comment l’homme serait-il juste devant Dieu? Comment celui qui est né de la femme serait-il pur? Ps 143.2 N’entre pas en jugement avec ton serviteur! Car aucun vivant n’est juste devant toi. Jr 2.22 Quand tu te laverais avec du nitre, Quand tu emploierais beaucoup de potasse, Ton iniquité resterait marquée devant moi, Dit le Seigneur, l’Éternel. Ez 14.14 et qu’il y eût au milieu de lui ces trois hommes, Noé, Daniel et Job, ils sauveraient leur âme par leur justice, dit le Seigneur, l’Éternel. Rm 3.20 Car nul ne sera justifié devant lui par les oeuvres de la loi, puisque c’est par la loi que vient la connaissance du péché. Ga 5.4 Vous êtes séparés de Christ, vous tous qui cherchez la justification dans la loi; vous êtes déchus de la grâce.

  • Foi dans les œuvres

Lc 18.12 je jeûne deux fois la semaine, je donne la dîme de tous mes revenus. Rm 9.32 Pourquoi? Parce qu’Israël l’a cherchée, non par la foi, mais comme provenant des oeuvres. Ils se sont heurtés contre la pierre d’achoppement; Rm 10.3 ne connaissant pas la justice de Dieu, et cherchant à établir leur propre justice, ils ne se sont pas soumis à la justice de Dieu; Ga 3.10 Car tous ceux qui s’attachent aux oeuvres de la loi sont sous la malédiction; car il est écrit: Maudit est quiconque n’observe pas tout ce qui est écrit dans le livre de la loi, et ne le met pas en pratique.

  • Les œuvres bonnes sont incapables d’assurer le salut

Mt 7.22-23 Plusieurs me diront en ce jour-là: Seigneur, Seigneur, n’avons-nous pas prophétisé par ton nom? n’avons-nous pas chassé des démons par ton nom? et n’avons-nous pas fait beaucoup de miracles par ton nom? 23 Alors je leur dirai ouvertement: Je ne vous ai jamais connus, retirez-vous de moi, vous qui commettez l’iniquité. Rm 3.20 Car nul ne sera justifié devant lui par les oeuvres de la loi, puisque c’est par la loi que vient la connaissance du péché. Rm 9.32 Pourquoi? Parce qu’Israël l’a cherchée, non par la foi, mais comme provenant des oeuvres. Ils se sont heurtés contre la pierre d’achoppement; Rm 11.6 Or, si c’est par grâce, ce n’est plus par les oeuvres; autrement la grâce n’est plus une grâce. Et si c’est par les oeuvres, ce n’est plus une grâce; autrement l’oeuvre n’est plus une oeuvre. Ga 2.16 Néanmoins, sachant que ce n’est pas par les oeuvres de la loi que l’homme est justifié, mais par la foi en Jésus Christ, nous aussi nous avons cru en Jésus Christ, afin d’être justifiés par la foi en Christ et non par les oeuvres de la loi, parce que nulle chair ne sera justifiée par les oeuvres de la loi. Ep 2.8-9 Car c’est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c’est le don de Dieu. 9 Ce n’est point par les oeuvres, afin que personne ne se glorifie. 2 Tim 1.9 par la puissance de Dieu qui nous a sauvés, et nous a adressé une sainte vocation, non à cause de nos oeuvres, mais selon son propre dessein, et selon la grâce qui nous a été donnée en Jésus Christ avant les temps éternels; Tt 3.4-5 Mais, lorsque la bonté de Dieu notre Sauveur et son amour pour les hommes ont été manifestés, 5 il nous a sauvés, non à cause des oeuvres de justice que nous aurions faites, mais selon sa miséricorde, par le baptême de la régénération et le renouvellement du Saint Esprit,

  • La tempérance

Pr 21.17 Celui qui aime la joie reste dans l’indigence; Celui qui aime le vin et l’huile ne s’enrichit pas. Pr 23.1-2 Si tu es à table avec un grand, Fais attention à ce qui est devant toi; 2 Mets un couteau à ta gorge, Si tu as trop d’avidité. Pr 25.16 Si tu trouves du miel, n’en mange que ce qui te suffit, De peur que tu n’en sois rassasié et que tu ne le vomisses. Ac 24.25 Mais, comme Paul discourait sur la justice, sur la tempérance, et sur le jugement à venir, Félix, effrayé, dit: Pour le moment retire-toi; quand j’en trouverai l’occasion, je te rappellerai. 1 Co 9.25 Tous ceux qui combattent s’imposent toute espèce d’abstinences, et ils le font pour obtenir une couronne corruptible; mais nous, faisons-le pour une couronne incorruptible. Ga 5.22 Mais le fruit de l’Esprit, c’est l’amour, la joie, la paix, la patience, la bonté, la bénignité, la fidélité, la douceur, la tempérance; Tt 2.2 Dis que les vieillards doivent être sobres, honnêtes, modérés, sains dans la foi, dans la charité, dans la patience. 2 P 1.6 à la science la tempérance, à la tempérance la patience, à la patience la piété,

De tout ce qui précède, nous notons que ceux qui sont du Christ ont crucifié la chair avec les passions et les convoitises. Ici à la fois la mort et la mortification sont considérées comme le résultat en nous de l’énergie divine (Ga 2.20, 21; Col 3.5-7). L’apôtre conclut dans Ga 5.25: “Si nous vivons par l’Esprit, marchons aussi par l’Esprit”. L’Esprit est vie, il nous apporte la vie afin que nous marchions par elle, car ces deux choses sont inséparables. Outre tous les fruits de la chair, il y a chez l’homme le désir de se faire une place, de s’acquérir un renom dans le monde. C’est ce que l’apôtre appelle ici la vaine gloire. La vanité qui nous met en antagonisme les uns avec les autres, met en jeu les sentiments d’envie et de jalousie contre le prochain. De fait, le sujet de l’antagonisme entre la chair et l’Esprit continue encore ici et plus loin. En fin de compte, la vraie sainteté est accomplie sans la loi, comme aussi la justice n’est pas fondée sur elle. Or il n’y a pas de difficulté pour juger entre ce qui est de la chair et ce qui est de l’Esprit. L’apôtre énumère les tristes fruits de la chair, en y ajoutant le témoignage certain que ceux qui font de pareilles choses n’hériteront pas du royaume de Dieu. Les fruits de l’Esprit sont également évidents dans leur caractère, et certes contre de telles choses, il n’y a pas de loi. Si nous marchons selon l’Esprit, la loi ne trouvera rien à condamner en nous. Or ceux qui sont du Christ, ont crucifié la chair et ses convoitises. C’est ce qu’ils sont; en tant que chrétiens, c’est ce qui les distingue. Si ces Galates vivaient réellement, c’était par l’Esprit; ils devaient donc marcher par l’Esprit. Telle est la réponse à ceux qui alors cherchaient et à ceux qui cherchent maintenant encore à introduire la loi comme moyen de sanctification et comme guide: la puissance et la règle pour la sainteté sont dans l’Esprit. De plus, les chrétiens ne doivent pas être désireux de vaine gloire en se provoquant les uns les autres, en se portant envie les uns aux autres. Nos prières vous soutiennent tous dans vos efforts vers cette voie.

PRIERE D’ACCEPTATION DE JESUS-CHRIST COMME SEIGNEUR ET SAUVEUR PERSONNEL

J’invite à présent toute personne qui veut devenir une nouvelle création en marchant dans la vérité, à faire avec moi la prière suivante :  

Seigneur Jésus, j’ai longtemps marché dans les convoitises du monde en ignorant ton amour pour les humains. Je reconnais avoir péché contre toi et te demande pardon pour tous mes péchés, car aujourd’hui j’ai décidé de te donner ma vie en te prenant comme Seigneur et Sauveur personnel. Je reconnais que tu es mort à la croix du Calvaire et que tu es ressuscité des morts pour moi. 

Je suis maintenant sauvé(e) et né(e) de nouveau par la puissance du Saint-Esprit. Conduis-moi chaque jour vers la vie éternelle que tu donnes à tous ceux qui obéissent à ta Parole. Révèle-toi à moi et fortifie mon coeur et ma foi, afin  que ta lumière luise dans ma vie dès maintenant.

Merci Seigneur Jésus de m’accepter dans ta famille divine, afin que je puisse aussi contempler les merveilles de ton royaume.

Je vais choisir maintenant un point d’eau tout proche où me baptiser par immersion, au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.

A toi toute l’adoration, la puissance et la gloire, maintenant et pour les siècles des siècles. Amen !

Je serais content de réagir à vos questions et commentaires éventuels, avant de partager avec vous demain sur “ soins mutuels et humilité ; on moissonnera ce qu’on a semé.”

Que le Seigneur Jésus-Christ vous bénisse abondamment.

David Feze, Serviteur de l’Eternel des armées. 

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