Bien-aimés, j’ai la joie de partager avec vous aujourd’hui le thème ci-dessus tiré de Ac 26.1-2. En effet, Paul, invité à témoigner devant le roi Agrippa, étend solennellement son bras chargé de chaînes. Comme dans Ac 22, il fait le récit de sa rencontre avec le Seigneur et des conditions dans lesquelles son service lui a été confié. Ses propres yeux ayant été ouverts, il a reçu la charge d’ouvrir ceux des gens des nations pour qu’ils aient accès par la foi à la lumière, à la liberté, à la rémission des péchés, et à la part céleste des saints(Col 1.12-14). Car les circonstances des conversions ne se ressemblent pas. En effet, Pierre était dans son bateau quand il a reconnu son état de péché. Lévi était assis à son bureau et Zachée dans un arbre au moment de l’appel du Seigneur(Luc 5.8-32; Luc 19.1-6). L’Éthiopien a été converti dans son char et le geôlier dans la prison, à minuit(Ac 8.26-31; Ac 16.25-32).

Au contraire, Paul le fut, en plein midi, pendant qu’il marchait sur la route: “Vers le milieu du jour, ô roi, je vis en chemin resplendir autour de moi et de mes compagnons une lumière venant du ciel, et dont l’éclat surpassait celui du soleil.”(Ac 26.13). L’important est que chacun puisse dire où et quand il a rencontré Jésus. Ne craignons pas, quand l’occasion s’en présente, de raconter notre conversion. Car ce n’est pas là se glorifier, puisqu’il faut en même temps parler du triste état dans lequel nous avons été trouvés. C’est au contraire exalter la grâce souveraine qui a voulu nous en arracher.

En effet, appelé par Jésus Christ à un ministère extraordinaire parmi les nations, Paul n’a pas été désobéissant: “En conséquence, roi Agrippa, je n’ai point résisté à la vision céleste.” Ne le soyons pas pour accomplir les services les plus modestes et les plus faciles que le Seigneur nous a confiés!

Pour Festus, homme sans besoins spirituels, les propos de Paul sont pure divagation: “Comme il parlait ainsi pour sa justification, Festus dit à haute voix: Tu es fou, Paul! Ton grand savoir te fait déraisonner.” (Ac 26.24). En effet, “l’homme animal ne reçoit pas les choses qui sont de l’Esprit de Dieu, car elles lui sont folie”(1 Co 2.12-16). Alors l’apôtre s’adresse directement au roi, avec déférence, mais aussi avec l’autorité que lui donne la Parole(Ps 119.45-48). Car Agrippa cache sa gêne en détournant la question: “Et Agrippa dit à Paul: Tu vas bientôt me persuader de devenir chrétien!” Malheureusement, être à peu près convaincu ou devenir presque un chrétien, c’est être encore tout à fait perdu. Et du roi ou du pauvre captif, lequel avait la part la plus enviable? Car conscient de sa haute position devant Dieu, Paul, le prisonnier de Jésus Christ, ne pense pas à la couronne de l’homme qui est devant lui, mais à son âme! Ne nous laissons pas arrêter non plus par l’apparence des hommes; pensons à leur sort éternel.

Ainsi l’apôtre a été traduit successivement devant le sanhédrin, Félix, Festus et Agrippa. Il faut encore qu’il comparaisse devant César qui, à ce moment-là, n’était autre que le cruel Néron. Car Festus voulait mener Paul à Jérusalem pour gagner les Juifs, mais Rome devait avoir sa part dans le rejet de l’Évangile de grâce et du témoignage de l’Église, et Paul en appelle à César. Festus est obligé d’envoyer l’apôtre à Rome, mais il est embarrassé de savoir quel crime lui imputer en l’y envoyant. Triste tableau de l’injustice de l’homme! Mais tout accomplit les desseins de Dieu. Par son appel à César, Paul ici n’a guère mieux réussi que dans l’effort qu’il avait fait pour contenter les Juifs. Cet appel était peut-être aux yeux des hommes la seule ressource qui lui restait dans ces circonstances, mais il aurait pu (le Saint Esprit prend soin de nous le dire) être mis en liberté, s’il n’en avait pas appelé à César.

Mais le Seigneur Dieu a voulu constater en face du monde l’innocence de son bien-aimé serviteur. Et le discours de Paul a ce but. Il va plus loin, mais le but de l’apôtre est de rendre compte de sa conduite: sa conversion miraculeuse est racontée en vue de justifier sa carrière subséquente, mais elle est racontée de manière à agir sur la conscience d’Agrippa, qui avait des connaissances juives et avait évidemment le désir d’apprendre quelque chose du christianisme, qu’il soupçonnait d’être la vérité. Aussi le roi saisit-il avec avidité l’occasion qui se présente d’entendre l’apôtre expliquer la doctrine nouvelle; mais il en reste à être à peu près convaincu. Car cet état d’âme d’Agrippa ouvre cependant la bouche de Paul, et il s’adresse directement et particulièrement au roi qui, du reste, l’interpellait, préoccupé évidemment du sujet que Paul allait traiter; quant à Festus, ce que Paul disait n’était pour lui que des futilités.

En effet, la dignité de Paul devant tous ces gouverneurs est parfaite: il s’adresse à leur conscience avec un oubli de lui-même qui montre un homme en qui la communion avec Dieu et la conscience de ses relations avec lui, maintenaient l’esprit au-dessus de l’effet des circonstances. Il agit de la part de Dieu et avec une déférence parfaite pour la position de ceux auxquels il s’adresse: moralement il est entièrement élevé au-dessus d’eux. Car le discours de Paul au roi Agrippa nous fournit le tableau le plus complet de l’ensemble de la position de l’apôtre, comme il l’envisageait lui-même quand son long service, et la lumière de l’Esprit, éclairaient pour lui tout son passé.

Dans ce but, Jésus l’avait mis à part en le séparant des Juifs autant que des Gentils, la mission de Paul tenant directement au ciel et ayant là sa source; l’apôtre avait été formellement envoyé aux Gentils par le Seigneur de gloire pour changer leur position vis-à-vis de Dieu par la foi en ce Jésus glorieux, pour ouvrir leurs yeux, pour les transporter des ténèbres à la lumière, de la puissance de Satan à Dieu, et leur donner un héritage parmi les sanctifiés. C’était là une œuvre bien définie. L’apôtre n’avait pas été désobéissant à la vision céleste, car il avait enseigné aux Gentils à se tourner vers Dieu et à agir comme tels. Voilà pourquoi les Juifs cherchaient à le tuer.

Rien de plus simple et de plus vrai que cette histoire; elle mettait la position de Paul et la conduite des Juifs dans le jour le plus clair. Car sur l’interpellation de Festus, qui ne voyait naturellement dans les paroles de Paul qu’un enthousiasme déraisonnable, l’apôtre, avec une admirable dignité et avec le tact le plus parfait, en appelle à la connaissance qu’Agrippa avait des faits sur lesquels tout son récit était basé, car ce dont il parlait n’avait pas été fait en secret.

Alors Agrippa, le cœur surpris et entraîné par le récit clair et plein de droiture de Paul, déclare qu’il est à peu près persuadé d’être chrétien. “Paul répondit: Que ce soit bientôt ou que ce soit tard, plaise à Dieu que non seulement toi, mais encore tous ceux qui m’écoutent aujourd’hui, vous deveniez tels que je suis, à l’exception de ces liens!”(Ac 26.29). Quel bonheur et quel amour en Dieu, car ces deux choses vont ensemble et s’expriment dans ces paroles! Car pauvre prisonnier, déjà âgé et rejeté à la fin de sa carrière, il est riche en Dieu!… Heureuses années celles qu’il avait passées en prison! Car l’apôtre pouvait se donner comme un modèle de bonheur, et son cœur en était plein: il est des états d’âme qui s’expriment sans qu’on puisse s’y méprendre. Et pourquoi l’apôtre ne serait-il pas heureux? Ses fatigues étaient terminées, son travail dans un certain sens fini: il possédait Jésus, et en lui toutes choses. Le Jésus glorieux qui l’avait fait entrer dans les peines et le labeur du témoignage, était maintenant sa possession et sa couronne. Tel est toujours le cas.

Car la croix qu’il faut charger dans le service, en vertu de ce que Jésus est, devient pour l’âme la jouissance de tout ce qu’Il est quand le service est fini, et en quelque sorte la mesure de cette jouissance. Ce même changement a eu lieu en Jésus lui-même dans toute sa plénitude. Il en est de même pour nous dans notre mesure, selon la grâce souveraine de Dieu; seulement l’expression de Paul suppose que le Saint Esprit agit puissamment dans le cœur, afin qu’il soit libre d’entrer pleinement dans cette jouissance; et elle suppose que le Saint Esprit n’est pas contristé.

Un Jésus glorieux, un Jésus qui l’aimait, un Jésus qui mettait le sceau de son approbation et de son amour sur son service, un Jésus qui le prendrait à lui dans la gloire et avec qui il était un; et connu par lui selon l’abondante puissance du Saint Esprit, selon la justice divine, un Jésus qui révélait le Père et par lequel Paul avait reçu l’adoption, était la source infinie de sa joie, l’objet glorieux de son cœur et de sa foi; et connu en amour, il remplissait son cœur de cet amour qui débordait envers tous les hommes. Que pouvait-il souhaiter de mieux à ses auditeurs que d’être ce qu’il était, hormis ses liens? Comment, jouissant d’un tel amour, pouvait-il ne pas souhaiter cela ou ne pas être rempli de cette large affection?  Car le Seigneur Jésus en était la mesure.

Nous remarquons dans cet intéressant récit qu’au moment où Paul aurait pu être le plus troublé, au moment où sa marche a été, semble-t-il, le moins évidemment selon la puissance de l’Esprit, et où il a mis le désordre dans le sanhédrin par des arguments qu’il hésite lui-même peut-être à justifier ensuite entièrement, le Seigneur, plein de grâce, lui apparaît pour l’encourager et le fortifier. Alors Jésus apparaît à Paul pour lui dire que, comme il lui a rendu témoignage à Jérusalem, il devra aussi rendre témoignage à Rome.

Les versets ci-après ont été compilés pour votre édification et regroupés pour votre meilleure compréhension.

  • Hérode Agrippa II

Ac 25.13 Quelques jours après, le roi Agrippa et Bérénice arrivèrent à Césarée, pour saluer Festus. Ac 26. 1, 27 Agrippa dit à Paul: Il t’est permis de parler pour ta défense. Et Paul, ayant étendu la main, se justifia en ces termes. 27 Crois-tu aux prophètes, roi Agrippa?… Je sais que tu y crois.

  • Paul, références générales

Ac 7.58 le traînèrent hors de la ville, et le lapidèrent. Les témoins déposèrent leurs vêtements aux pieds d’un jeune homme nommé Saul. Ac 8.1 Saul avait approuvé le meurtre d’Étienne. Il y eut, ce jour-là, une grande persécution contre l’Église de Jérusalem; et tous, excepté les apôtres, se dispersèrent dans les contrées de la Judée et de la Samarie. Ac 9.1, 22 Cependant Saul, respirant encore la menace et le meurtre contre les disciples du Seigneur, se rendit chez le souverain sacrificateur, 22 Cependant Saul se fortifiait de plus en plus, et il confondait les Juifs qui habitaient Damas, démontrant que Jésus est le Christ. Ac 11.25 Barnabas se rendit ensuite à Tarse, pour chercher Saul; Ac 12.25 Barnabas et Saul, après s’être acquittés de leur message, s’en retournèrent de Jérusalem, emmenant avec eux Jean, surnommé Marc. Ac 13.2, 25 Pendant qu’ils servaient le Seigneur dans leur ministère et qu’ils jeûnaient, le Saint Esprit dit: Mettez-moi à part Barnabas et Saul pour l’oeuvre à laquelle je les ai appelés. 25 Et lorsque Jean achevait sa course, il disait: Je ne suis pas celui que vous pensez; mais voici, après moi vient celui des pieds duquel je ne suis pas digne de délier les souliers.  Ac 14.19 Alors survinrent d’Antioche et d’Icone des Juifs qui gagnèrent la foule, et qui, après avoir lapidé Paul, le traînèrent hors de la ville, pensant qu’il était mort. Ac 15.12 Toute l’assemblée garda le silence, et l’on écouta Barnabas et Paul, qui racontèrent tous les miracles et les prodiges que Dieu avait faits par eux au milieu des païens. Ac 27.1, 23 Lorsqu’il fut décidé que nous nous embarquerions pour l’Italie, on remit Paul et quelques autres prisonniers à un centenier de la cohorte Auguste, nommé Julius. 23 Un ange du Dieu à qui j’appartiens et que je sers m’est apparu cette nuit,

-l’homme de vision :  du Christ : Ac 9.3-6 Comme il était en chemin, et qu’il approchait de Damas, tout à coup une lumière venant du ciel resplendit autour de lui. 4  Il tomba par terre, et il entendit une voix qui lui disait: Saul, Saul, pourquoi me persécutes-tu? 5 Il répondit: Qui es-tu, Seigneur? Et le Seigneur dit: Je suis Jésus que tu persécutes. Il te serait dur de regimber contre les aiguillons. 6 Tremblant et saisi d’effroi, il dit: Seigneur, que veux-tu que je fasse? Et le Seigneur lui dit: Lève-toi, entre dans la ville, et on te dira ce que tu dois faire. Ac 16.9 Pendant la nuit, Paul eut une vision: un Macédonien lui apparut, et lui fit cette prière: Passe en Macédoine, secours-nous! 2 Co 12.1-4 Il faut se glorifier… Cela n’est pas bon. J’en viendrai néanmoins à des visions et à des révélations du Seigneur. 2 Je connais un homme en Christ, qui fut, il y a quatorze ans, ravi jusqu’au troisième ciel (si ce fut dans son corps je ne sais, si ce fut hors de son corps je ne sais, Dieu le sait). 3 Et je sais que cet homme (si ce fut dans son corps ou sans son corps je ne sais, Dieu le sait) 4 fut enlevé dans le paradis, et qu’il entendit des paroles ineffables qu’il n’est pas permis à un homme d’exprimer.

  • Calomnie, fausses accusations :

1 S 1.14 et il lui dit: Jusques à quand seras-tu dans l’ivresse? Fais passer ton vin. Ne 6.7 tu as même établi des prophètes pour te proclamer à Jérusalem roi de Juda. Et maintenant ces choses arriveront à la connaissance du roi.Viens donc, et consultons-nous ensemble. Jb 2.5 Mais étends ta main, touche à ses os et à sa chair, et je suis sûr qu’il te maudit en face. Jb 22.6 Tu enlevais sans motif des gages à tes frères, Tu privais de leurs vêtements ceux qui étaient nus; Jr 37.13 Lorsqu’il fut à la porte de Benjamin, le commandant de la garde, nommé Jireija, fils de Schélémia, fils de Hanania, se trouvait là, et il saisit Jérémie, le prophète, en disant: Tu passes aux Chaldéens! Mt 5.11 Heureux serez-vous, lorsqu’on vous outragera, qu’on vous persécutera et qu’on dira faussement de vous toute sorte de mal, à cause de moi. Mt 27.12 Mais il ne répondit rien aux accusations des principaux sacrificateurs et des anciens. Lc 6.7 Les scribes et les pharisiens observaient Jésus, pour voir s’il ferait une guérison le jour du sabbat: c’était afin d’avoir sujet de l’accuser. 1P 3.16 et ayant une bonne conscience, afin que, là même où ils vous calomnient comme si vous étiez des malfaiteurs, ceux qui décrient votre bonne conduite en Christ soient couverts de confusion.

  • Exemples d’honneur rendu aux Souverains

Gn 41.43 Il le fit monter sur le char qui suivait le sien; et l’on criait devant lui: A genoux! C’est ainsi que Pharaon lui donna le commandement de tout le pays d’Égypte. 1 S 10.24 Samuel dit à tout le peuple: Voyez-vous celui que l’Éternel a choisi? Il n’y a personne dans tout le peuple qui soit semblable à lui. Et tout le peuple poussa les cris de: Vive le roi! 2 S 19.16 Schimeï, fils de Guéra, Benjamite, qui était de Bachurim, se hâta de descendre avec ceux de Juda à la rencontre du roi David. 1 R 8.66 Le huitième jour, il renvoya le peuple. Et ils bénirent le roi, et s’en allèrent dans leurs tentes, joyeux et le coeur content pour tout le bien que l’Éternel avait fait à David, son serviteur, et à Israël, son peuple. Dn 3.9 Ils prirent la parole et dirent au roi Nebucadnetsar: O roi, vis éternellement! Ac 26.2 Je m’estime heureux, roi Agrippa, d’avoir aujourd’hui à me justifier devant toi de toutes les choses dont je suis accusé par les Juifs,

De tout ce qui précède, nous notons que le Seigneur interprète en grâce tout ce qui est arrivé à son serviteur Paul et toute sa conduite, au moment où il aurait pu sentir ce qu’il y avait de pénible dans sa position, et être accablé peut-être en se souvenant que l’Esprit lui avait dit de ne pas monter à Jérusalem, car le doute est un tourment au moment de l’épreuve. En effet, ses propres yeux ayant été ouverts, il a reçu la charge d’ouvrir ceux des gens des nations pour qu’ils aient accès par la foi à la lumière, à la liberté, à la rémission des péchés, et à la part céleste des saints. Si le Seigneur a dû exercer la discipline pour le bien de Paul, à cause de l’état de son serviteur et pour lui faire faire des progrès vers la perfection, il a été avec lui dans la discipline. Rien de plus touchant que la tendresse et l’opportunité de cette grâce. Ainsi, appelé par Jésus Christ à un ministère extraordinaire parmi les nations, Paul n’a pas été désobéissant. Ne le soyons pas pour accomplir les services les plus modestes et les plus faciles que le Seigneur nous a confiés!  Car Paul, le prisonnier de Jésus Christ, ne pense pas à la couronne de l’homme qui est devant lui, mais à son âme! Ne nous laissons pas arrêter non plus par l’apparence des hommes; pensons plutôt à leur sort éternel. Nos prières vous y accompagnent tous.

PRIERE D’ACCEPTATION DE JESUS-CHRIST COMME SEIGNEUR ET SAUVEUR PERSONNEL

J’invite à présent toute personne qui veut devenir une nouvelle création en marchant dans la vérité, à faire avec moi la prière suivante :  

Seigneur Jésus, j’ai longtemps marché dans les convoitises du monde en ignorant ton amour pour les humains. Je reconnais avoir péché contre toi et te demande pardon pour tous mes péchés, car aujourd’hui j’ai décidé de te donner ma vie en te prenant comme Seigneur et Sauveur personnel. Je reconnais que tu es mort à la croix du Calvaire et que tu es ressuscité des morts pour moi. 

Je suis maintenant sauvé(e) et né(e) de nouveau par la puissance du Saint-Esprit. Conduis-moi chaque jour vers la vie éternelle que tu donnes à tous ceux qui obéissent à ta Parole. Révèle-toi à moi et fortifie mon coeur et ma foi, afin que ta lumière luise dans ma vie dès maintenant.

Merci Seigneur Jésus de m’accepter dans ta famille divine, afin que je puisse aussi contempler les merveilles de ton royaume.

Je vais choisir maintenant un point d’eau tout proche où me baptiser par immersion, au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.

A toi toute l’adoration, la puissance et la gloire, maintenant et pour les siècles des siècles. Amen !

Je serais content de réagir à vos questions et commentaires éventuels, avant de partager avec vous demain sur ” le départ de Paul pour Rome, navigation et naufrage.”

Que le Seigneur Jésus-Christ vous bénisse abondamment.

David Feze, Serviteur de l’Éternel des armées.

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