Bien-aimés, j’ai la joie de partager avec vous aujourd’hui le thème ci-dessus tiré de Jean 1.1-3. En effet, “Le Fils unique” faisant connaître le Père, tel est le résumé de cet évangile (1 Jn 4.7-12). Le premier verset déjà, dont chaque terme doit être pesé, nous Le présente comme la Parole, une Personne éternelle, distincte de Dieu, tout en étant Dieu. Aussi loin que peut remonter notre pensée, elle était (Ps 90.1-6). Mais cette Parole créatrice, unique source de la vie et de la lumière, ne s’est pas adressée à nous du haut du ciel; non, elle est venue dans le monde, s’assujettissant à nos limites de l’espace et du temps. 

Précisons déjà avant de continuer, que tandis que les trois premiers évangiles ont brossé, dans les grandes lignes, un tableau concordant de la venue et de l’activité de Christ, depuis son baptême au Jourdain jusqu’à sa résurrection et à son ascension (d’où l’appellation de “synoptiques” utilisée pour désigner les textes en question), dans l’évangile selon Jean, l’intention du Saint Esprit est différente. En effet, de la trentaine de miracles décrits dans les synoptiques, Jean ne parle que d’un seul (la multiplication des pains pour les cinq mille, dans Jn 5), mais en revanche, l’évangéliste mentionne six autres faits surnaturels que l’on ne retrouve pas ailleurs; il rapporte ainsi sept miracles: le chiffre suffisant de la perfection divine. En outre, pour l’apôtre ce sont des “signes” plutôt que des miracles. Il s’en explique dans Jn 20.30-31: “Jésus donc fit aussi devant ses disciples beaucoup d’autres miracles, qui ne sont pas écrits dans ce livre. Mais ces choses sont écrites afin que vous croyiez que Jésus est le Christ, le Fils de Dieu, et qu’en croyant vous ayez la vie par son nom.”

Alors, mystère insondable: la Parole devient chair (1 Tim 3.14-16)! Et elle n’est pas venue comme un messager rapide qui s’en retourne aussitôt à Celui qui l’a envoyé. Mais elle a habité (dressé sa tente) au milieu de nous, sans cesser jamais pourtant d’être “dans l’intimité du Père”. Tout ce qu’est Dieu dans sa nature même: amour et lumière (grâce pour le cœur et vérité pour la conscience du pécheur), s’est approché de nous et a brillé dans cette Personne adorable. Mais les ténèbres morales de l’homme n’ont pas compris la vraie lumière. Le monde n’a pas connu son Créateur. Les siens n’ont pas reçu leur Messie. Et vous, l’avez-vous reçu? S’il en est ainsi, vous êtes un enfant de Dieu (Ga 3.23-29).

“Au commencement était la Parole; et la Parole était avec Dieu; et la Parole était Dieu. Elle était au commencement avec Dieu”. Jésus est appelé “la Parole”, l’expression parfaite de la pensée de Dieu. Cette parole a pris une forme: elle « devient chair”. Elle vient d’un homme qu’on pouvait rencontrer chaque jour lorsqu’il était ici-bas et que nous verrons dans la gloire éternellement. Jean nous dit ce qu’il était éternellement avant sa venue dans ce monde, avant ce qui eut un commencement: anges, cieux et terre. Lorsque ce qui fut créé a commencé, la Parole était. “Au commencement était la Parole”. Cette Parole “était auprès de Dieu”, donc distincte de Dieu; mais “elle était Dieu”. “Au commencement”, non seulement dans l’éternité, “elle était auprès de Dieu”. 

Nous apprenons, par ces déclarations que, de toute éternité, la personne du Seigneur, le Fils de Dieu, existait; il n’a jamais eu de commencement. Car tout en étant Dieu, quant à sa nature, il était distinct de Dieu comme personne. Et si nous pouvons parler d’un commencement quant à Jésus, cela ne concerne que son humanité; il n’a été Homme que depuis sa naissance, alors qu’il devient chair. Et en voyant le petit enfant dans la crèche à Bethléem, on voyait celui qui, de toute éternité, était auprès de Dieu, était Dieu, et par qui toutes choses furent créées. Son humanité n’a donc rien changé aux gloires de sa personne et aucune n’en a été atténuée. Au contraire, c’est en Jésus que les gloires de Dieu furent manifestées dans leurs perfections et mises à la portée des hommes. 

Car les gloires sont les perfections de Dieu manifestées dans la personne de son Fils; à savoir  l’amour, la lumière, la grâce, la bonté, la miséricorde, la patience, la justice, la sainteté, la vérité, la fidélité, et ainsi de suite. En effet, on ne peut rien concevoir de plus merveilleux que cette manifestation de Dieu en grâce dans la personne de celui qui, après s’être anéanti comme Dieu, a été trouvé en figure comme un homme afin de sauver le pécheur, Dieu venant au milieu des hommes, à leur portée, sans qu’ils soient anéantis par sa présence, lui que nul ne peut voir et vivre (Ex 33:20). Car de tout temps, les incrédules se sont efforcés de nier l’inspiration de l’évangile selon Jean, parce que la divinité de Jésus le caractérise. 

Au contraire, le croyant est rempli d’admiration en considérant les gloires merveilleuses de celui qui vient dans ce monde pour le sauver. Cela dépasse tout ce qui pouvait monter au cœur de l’homme et le remplit de louanges et d’adoration, ici-bas, en attendant que nous puissions louer et adorer, lorsque nous verrons face à face la glorieuse personne du Fils de Dieu, en jouissant pleinement de son amour parfait dans la lumière céleste.

Car “Toutes choses furent faites par elle, et sans elle pas une chose ne fut faite de ce qui a été fait”. En Genèse 1, nous lisons: “Au commencement Dieu créa les cieux et la terre. Là, Dieu créa. Ici, la création est attribuée à la Parole, puisque la Parole était Dieu, tout en étant distincte de Dieu, ce que prouve aussi Genèse 1.26, lorsque Dieu dit: “Faisons l’homme à notre image, selon notre ressemblance”. En Jn 11:7, il est aussi dit: “Allons, descendons, et confondons là leur langage”. Jusqu’alors, tout ce qui est dit de Dieu peut être dit du Fils; il est l’Éternel de l’Ancien Testament.

Ensuite, un autre fait merveilleux est révélé: “En elle était la vie, et la vie était la lumière des hommes”. Or les hommes, dans leur état de péché, sont privés de vie et de lumière. Ils se meuvent dans les ténèbres et sont morts moralement quant à Dieu; mais, selon ses desseins éternels de grâce, Dieu leur destinait la vie qui était dans son Fils, vie-lumière par laquelle ils seraient en relation vitale avec lui et dans la lumière, capables d’apprécier toutes choses selon sa pensée. En elle, dans cette Parole, était la vie, et la vie était la lumière des hommes, ou la vie des hommes, à l’intention des hommes, non des anges. Cette vie-lumière a brillé dans toute sa beauté en Christ, ici-bas: “Et la lumière luit dans les ténèbres; et les ténèbres ne l’ont point reçue », ni comprise. 

Car la présence de Jésus apportait la lumière de Dieu dans le chaos moral où se trouve l’homme naturel; comme Gn 1, la lumière a lui dans les ténèbres et a apporté la vie. Là où la lumière se trouve physiquement, il y a la vie; car la nature ne peut se développer dans les ténèbres. Il en va de même spirituellement. Mais contrairement à ce qui a lieu dans la nature, l’apparition de la lumière, dans la personne du Fils de Dieu, n’a pas fait disparaître les ténèbres morales dans lesquelles l’homme naturel se meut; car sa nature déchue trouve dans les ténèbres l’élément qui lui convient, puisqu’elle est ténèbres elle-même. 

En effet, la lumière demeure lumière, et les ténèbres, ténèbres. C’est une question de nature immuable. Car non seulement l’homme ne peut changer, mais il ne veut pas changer. Il a vu la lumière, et il a préféré les ténèbres:  “les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière, parce que leurs œuvres étaient mauvaises.” (Jn 3.19). C’est pourquoi l’homme a rejeté Jésus, parce qu’il lui apportait la pensée de Dieu, la lumière, sur son état de péché. L’homme se croit bon alors Dieu dit qu’il est mauvais. Car il se croit capable de faire le bien, mais Dieu dit le contraire, et l’appelle à se repentir, mais il ne le veut pas et appelle bien ce que Dieu appelle mal. 

Or le Saint et le Juste est venu en la personne de Christ, mais l’homme l’a appelé un pécheur, un Samaritain, un fou. Il n’a rien vu en lui qui le faisait désirer; cependant il faisait les délices de Dieu, le Père, qui trouvait en lui tout son plaisir. Ainsi, il y a incompatibilité de nature entre l’homme et Dieu, comme elle existe entre la lumière et les ténèbres et entre la vie et la mort. Nous verrons plus loin que celui qui recevait Jésus et croyait en lui, bénéficiait de tout ce qu’il apportait; c’est-à-dire: vie, lumière, amour, et puissance. Notons ici simplement que les ténèbres n’ont pas été changées par le rayonnement parfait de la lumière divine.

Les versets ci-après ont été compilés pour votre édification et regroupés pour votre meilleure compréhension.

  • Vie de Jésus : ses attributs

-Fils de Dieu Jn 1.1, 14 Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. 14 Et la parole a été faite chair, et elle a habité parmi nous, pleine de grâce et de vérité; et nous avons contemplé sa gloire, une gloire comme la gloire du Fils unique venu du Père.

-Fils de l’homme : premier miracle aux noces de Cana : Jn 2.9 Quand l’ordonnateur du repas eut goûté l’eau changée en vin, -ne sachant d’où venait ce vin, tandis que les serviteurs, qui avaient puisé l’eau, le savaient bien, -il appela l’époux,

-Le Maître divin : Jn 3.2 qui vint, lui, auprès de Jésus, de nuit, et lui dit: Rabbi, nous savons que tu es un docteur venu de Dieu; car personne ne peut faire ces miracles que tu fais, si Dieu n’est avec lui.

-Le gagneur d’âmes : Jn 4.13-14 Jésus lui répondit: Quiconque boit de cette eau aura encore soif; 14 mais celui qui boira de l’eau que je lui donnerai n’aura jamais soif, et l’eau que je lui donnerai deviendra en lui une source d’eau qui jaillira jusque dans la vie éternelle.

-Le grand médecin : Jn 5.8-9 Lève-toi, lui dit Jésus, prends ton lit, et marche. 9 Aussitôt cet homme fut guéri; il prit son lit, et marcha.

-Le Pain vie : Jn 6.48-50 Je suis le pain de vie. 49 Vos pères ont mangé la manne dans le désert, et ils sont morts. 50 C’est ici le pain qui descend du ciel, afin que celui qui en mange ne meure point.

-L’Eau vive : Jn 7.37-38 Le dernier jour, le grand jour de la fête, Jésus, se tenant debout, s’écria: Si quelqu’un a soif, qu’il vienne à moi, et qu’il boive. 38 Celui qui croit en moi, des fleuves d’eau vive couleront de son sein, comme dit l’Écriture.

-Le défenseur des faibles : Jn 8.3-7 Alors les scribes et les pharisiens amenèrent une femme surprise en adultère; 4 et, la plaçant au milieu du peuple, ils dirent à Jésus: Maître, cette femme a été surprise en flagrant délit d’adultère. 5 Moïse, dans la loi, nous a ordonné de lapider de telles femmes: toi donc, que dis-tu? 6 Ils disaient cela pour l’éprouver, afin de pouvoir l’accuser. Mais Jésus, s’étant baissé, écrivait avec le doigt sur la terre. 7 Comme ils continuaient à l’interroger, il se releva et leur dit: Que celui de vous qui est sans péché jette le premier la pierre contre elle.

-La lumière du monde : Jn 9.5-7 Pendant que je suis dans le monde, je suis la lumière du monde. 6 Après avoir dit cela, il cracha à terre, et fit de la boue avec sa salive. Puis il appliqua cette boue sur les yeux de l’aveugle, 7 et lui dit: Va, et lave-toi au réservoir de Siloé (nom qui signifie envoyé). Il y alla, se lava, et s’en retourna voyant clair.

-Le bon berger : Jn 10.11 Je suis le bon berger. Le bon berger donne sa vie pour ses brebis.

-Le Prince de la vie : Jn 11.25, 43-44 Jésus lui dit: Je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort; 43 Ayant dit cela, il cria d’une voix forte: Lazare, sors! 44 Et le mort sortit, les pieds et les mains liés de bandes, et le visage enveloppé d’un linge. Jésus leur dit: Déliez-le, et laissez-le aller.

-Le Roi : Jn 12.12-15Le lendemain, une foule nombreuse de gens venus à la fête ayant entendu dire que Jésus se rendait à Jérusalem, 13 prirent des branches de palmiers, et allèrent au-devant de lui, en criant: Hosanna! Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur, le roi d’Israël! 14 Jésus trouva un ânon, et s’assit dessus, selon ce qui est écrit:15 Ne crains point, fille de Sion; Voici, ton roi vient, Assis sur le petit d’une ânesse.

-Le rôle d’un serviteur : Jn 13.4-5 se leva de table, ôta ses vêtements, et prit un linge, dont il se ceignit. 5 Ensuite il versa de l’eau dans un bassin, et il se mit à laver les pieds des disciples, et à les essuyer avec le linge dont il était ceint.

-Le Consolateur : Jn 14.1-2 Que votre coeur ne se trouble point. Croyez en Dieu, et croyez en moi. 2 Il y a plusieurs demeures dans la maison de mon Père. Si cela n’était pas, je vous l’aurais dit. Je vais vous préparer une place.

-Le vrai Cep : Jn 15.1-2 Je suis le vrai cep, et mon Père est le vigneron. 2 Tout sarment qui est en moi et qui ne porte pas de fruit, il le retranche; et tout sarment qui porte du fruit, il l’émonde, afin qu’il porte encore plus de fruit.

-Le Donateur de l’Esprit : Jn 16.7, 15 Cependant je vous dis la vérité: il vous est avantageux que je m’en aille, car si je ne m’en vais pas, le consolateur ne viendra pas vers vous; mais, si je m’en vais, je vous l’enverrai. 15 Tout ce que le Père a est à moi; c’est pourquoi j’ai dit qu’il prend de ce qui est à moi, et qu’il vous l’annoncera.

-Le grand intercesseur : Jn 17(merci de lire ceci à tête reposée)

-La victime modèle : Jn 18.11 Jésus dit à Pierre: Remets ton épée dans le fourreau. Ne boirai-je pas la coupe que le Père m’a donnée à boire?

-Le Sauveur crucifié : Jn 19.18 C’est là qu’il fut crucifié, et deux autres avec lui, un de chaque côté, et Jésus au milieu.

-Le Vainqueur de la mort : Mt 9.24-25 il leur dit: Retirez-vous; car la jeune fille n’est pas morte, mais elle dort. Et ils se moquaient de lui. 25 Quand la foule eut été renvoyée, il entra, prit la main de la jeune fille, et la jeune fille se leva. Lc 7.11-15 Le jour suivant, Jésus alla dans une ville appelée Naïn; ses disciples et une grande foule faisaient route avec lui. 12 Lorsqu’il fut près de la porte de la ville, voici, on portait en terre un mort, fils unique de sa mère, qui était veuve; et il y avait avec elle beaucoup de gens de la ville. 13 Le Seigneur, l’ayant vue, fut ému de compassion pour elle, et lui dit: Ne pleure pas! 14 Il s’approcha, et toucha le cercueil. Ceux qui le portaient s’arrêtèrent. Il dit: Jeune homme, je te le dis, lève-toi! 15 Et le mort s’assit, et se mit à parler. Jésus le rendit à sa mère. Jn 11.43-44 43 Ayant dit cela, il cria d’une voix forte: Lazare, sors! 44 Et le mort sortit, les pieds et les mains liés de bandes, et le visage enveloppé d’un linge. Jésus leur dit: Déliez-le, et laissez-le aller. Jn 20.11-12, 17 Cependant Marie se tenait dehors près du sépulcre, et pleurait. Comme elle pleurait, elle se baissa pour regarder dans le sépulcre; 12 et elle vit deux anges vêtus de blanc, assis à la place où avait été couché le corps de Jésus, l’un à la tête, l’autre aux pieds. 17 Jésus lui dit: Ne me touche pas; car je ne suis pas encore monté vers mon Père. Mais va trouver mes frères, et dis-leur que je monte vers mon Père et votre Père, vers mon Dieu et votre Dieu. Ap 1.18 Je suis le premier et le dernier, et le vivant. J’étais mort; et voici, je suis vivant aux siècles des siècles. Je tiens les clefs de la mort et du séjour des morts.

-Celui qui rétablit le pénitent : Jn 21.15-17 Après qu’ils eurent mangé, Jésus dit à Simon Pierre: Simon, fils de Jonas, m’aimes-tu plus que ne m’aiment ceux-ci? Il lui répondit: Oui, Seigneur, tu sais que je t’aime. Jésus lui dit: Pais mes agneaux. 16 Il lui dit une seconde fois: Simon, fils de Jonas, m’aimes-tu? Pierre lui répondit: Oui, Seigneur, tu sais que je t’aime. Jésus lui dit: Pais mes brebis. 17 Il lui dit pour la troisième fois: Simon, fils de Jonas, m’aimes-tu? Pierre fut attristé de ce qu’il lui avait dit pour la troisième fois: M’aimes-tu? Et il lui répondit: Seigneur, tu sais toutes choses, tu sais que je t’aime. Jésus lui dit: Pais mes brebis.

  • Divinité de Christ :

Le témoignage des apôtres : Mt 16.16 Simon Pierre répondit: Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant. Jn 1.1-2 Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. 2 Elle était au commencement avec Dieu. Rm 1.5 par qui nous avons reçu la grâce et l’apostolat, pour amener en son nom à l’obéissance de la foi tous les païens; Rm 9.5 et les promesses, et les patriarches, et de qui est issu, selon la chair, le Christ, qui est au-dessus de toutes choses, Dieu béni éternellement. Amen! Col 2.9 Car en lui habite corporellement toute la plénitude de la divinité. 1 Tim 3.16 Et, sans contredit, le mystère de la piété est grand: celui qui a été manifesté en chair, justifié par l’Esprit, vu des anges, prêché aux Gentils, cru dans le monde, élevé dans la gloire. He 1.3 et qui, étant le reflet de sa gloire et l’empreinte de sa personne, et soutenant toutes choses par sa parole puissante, a fait la purification des péchés et s’est assis à la droite de la majesté divine dans les lieux très hauts,

  • Christ éternel :

Mi 5.1 Et toi, Bethléhem Éphrata, Petite entre les milliers de Juda, De toi sortira pour moi Celui qui dominera sur Israël, Et dont l’origine remonte aux temps anciens, Aux jours de l’éternité. Jn 8.58 Jésus leur dit: En vérité, en vérité, je vous le dis, avant qu’Abraham fût, je suis. Jn 17.5 Et maintenant toi, Père, glorifie-moi auprès de toi-même de la gloire que j’avais auprès de toi avant que le monde fût. Jn 17.24 Père juste, le monde ne t’a point connu; mais moi je t’ai connu, et ceux-ci ont connu que tu m’as envoyé. He 7.3 qui est sans père, sans mère, sans généalogie, qui n’a ni commencement de jours ni fin de vie, -mais qui est rendu semblable au Fils de Dieu, -ce Melchisédek demeure sacrificateur à perpétuité. Ap 22.13 Je suis l’alpha et l’oméga, le premier et le dernier, le commencement et la fin.

  • Christ créateur :

Jn 1.3 Toutes choses ont été faites par elle, et rien de ce qui a été fait n’a été fait sans elle. 1 Co 8.6 néanmoins pour nous il n’y a qu’un seul Dieu, le Père, de qui viennent toutes choses et pour qui nous sommes, et un seul Seigneur, Jésus Christ, par qui sont toutes choses et par qui nous sommes. Ep 3.9 et de mettre en lumière quelle est la dispensation du mystère caché de tout temps en Dieu qui a créé toutes choses; Col 1.16 Car en lui ont été créées toutes les choses qui sont dans les cieux et sur la terre, les visibles et les invisibles, trônes, dignités, dominations, autorités. Tout a été créé par lui et pour lui. He 1.1-2 Après avoir autrefois, à plusieurs reprises et de plusieurs manières, parlé à nos pères par les prophètes, 2 Dieu, dans ces derniers temps, nous a parlé par le Fils, qu’il a établi héritier de toutes choses, par lequel il a aussi créé le monde,

De tout ce qui précède, nous notons que, de toute éternité, la personne du Seigneur, le Fils de Dieu, existait; il n’a jamais eu de commencement. Car tout en étant Dieu, quant à sa nature, il était distinct de Dieu comme personne. Et si nous pouvons parler d’un commencement quant à Jésus, cela ne concerne que son humanité; il n’a été Homme que depuis sa naissance, alors qu’il devient chair. Et en voyant le petit enfant dans la crèche à Bethléem, on voyait celui qui, de toute éternité, était auprès de Dieu, était Dieu, et par qui toutes choses furent créées. Son humanité n’a donc rien changé aux gloires de sa personne et aucune n’en a été atténuée. Au contraire, c’est en Jésus que les gloires de Dieu furent manifestées dans leurs perfections et mises à la portée des hommes. Car les gloires sont les perfections de Dieu manifestées dans la personne de son Fils; à savoir  l’amour, la lumière, la grâce, la bonté, la miséricorde, la patience, la justice, la sainteté, la vérité, la fidélité. Nos prières vous soutiennent tous dans vos efforts à mener une vie humble comme notre Sauveur.

PRIERE D’ACCEPTATION DE JESUS-CHRIST COMME SEIGNEUR ET SAUVEUR PERSONNEL

J’invite à présent toute personne qui veut devenir une nouvelle création en marchant dans la vérité, à faire avec moi la prière suivante :  

Seigneur Jésus, j’ai longtemps marché dans les convoitises du monde en ignorant ton amour pour les humains. Je reconnais avoir péché contre toi et te demande pardon pour tous mes péchés, car aujourd’hui j’ai décidé de te donner ma vie en te prenant comme Seigneur et Sauveur personnel. Je reconnais que tu es mort à la croix du Calvaire et que tu es ressuscité des morts pour moi. 

Je suis maintenant sauvé(e) et né(e) de nouveau par la puissance du Saint-Esprit. Conduis-moi chaque jour vers la vie éternelle que tu donnes à tous ceux qui obéissent à ta Parole. Révèle-toi à moi et fortifie mon coeur et ma foi, afin  que ta lumière luise dans ma vie dès maintenant.

Merci Seigneur Jésus de m’accepter dans ta famille divine, afin que je puisse aussi contempler les merveilles de ton royaume.

Je vais choisir maintenant un point d’eau tout proche où me baptiser par immersion, au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.

A toi toute l’adoration, la puissance et la gloire, maintenant et pour les siècles des siècles. Amen !

Je serais content de réagir à vos questions et commentaires éventuels, avant de partager avec vous la semaine prochaine sur  “ le témoignage de Jean-Baptiste.”

 Que le Seigneur Jésus-Christ vous bénisse abondamment.

David Feze, Serviteur de l’Eternel des armées.

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