Bien-aimés, j’ai la joie de partager avec vous aujourd’hui le thème ci-dessus tiré de Luc 20.37-38. En effet, maintenant que le Seigneur a réduit au silence les sacrificateurs et les scribes, c’est le tour des sadducéens, la classe des raisonneurs incrédules d’alors, qui niaient la résurrection. Ils formulent une question aussi subtile en apparence que celle concernant le tribut à payer ; mais par là ils étalent au grand jour leur ignorance et leur incrédulité. C’est ce qui arrive chaque fois que les pensées ténébreuses de la raison humaine entrent en contact avec la lumière de la Parole de Dieu.

Car ces raisonneurs citent à Jésus une ordonnance de Moïse en Dt 25.5-10 : lorsqu’un homme mourait sans enfant, son frère devait épouser sa veuve et lui créer une postérité. Ils supposent le cas de sept frères qui moururent tous sans enfants, la femme du premier ayant passé successivement à chacun selon la loi de Moïse. A la résurrection, duquel d’entre eux sera-t-elle donc la femme ? Car les sept l’ont eue pour femme. Jésus leur répondit : Les enfants de ce siècle prennent des femmes et des maris ; mais ceux qui seront trouvés dignes d’avoir part au siècle à venir et à la résurrection des morts ne prendront ni femmes ni maris. Car ils ne pourront plus mourir, parce qu’ils seront semblables aux anges, et qu’ils seront fils de Dieu, étant fils de la résurrection.

En effet, l’état de choses de la première création, purement matérielle, ne se continue pas au ciel, il faut une création nouvelle, spirituelle et éternelle. Car au commencement, Dieu dit à l’homme : “Soyez féconds, multipliez, remplissez la terre, et l’assujettissez.” Dans le ciel il n’en sera pas ainsi. En effet, la résurrection d’entre les morts amènera ceux qui sont estimés dignes d’y avoir part, corps et âme, dans un état spirituel, semblable à celui des anges, définitif et glorieux. Comme ils ne mourront plus, il n’y aura pas besoin de remplacer une génération qui s’en va par une suivante, comme c’est le cas maintenant sur la terre.

Là, rien ne se gâtera ; rien ne finira sur la nouvelle terre ; tout s’y maintiendra dans une éternelle fraîcheur. Nous lisons dans Apo 21.4: “et la mort ne sera plus, et il n’y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur, car les premières choses ont disparu.” Heureux avenir où les relations naturelles seront remplacées avantageusement et glorieusement par les relations spirituelles, célestes et divines, où Jésus, en qui Dieu sera vu et connu dans toutes ses gloires, absorbera toutes les pensées et remplira les cœurs dans le repos de l’amour divin !

Ensuite, Jésus donne une preuve de la résurrection, tirée des livres de Moïse, partie des Écritures que les sadducéens admettaient : “Que les morts ressuscitent, c’est ce que Moïse a fait connaître quand, à propos du buisson, il appelle le Seigneur le Dieu d’Abraham, le Dieu d’Isaac, et le Dieu de Jacob. Or, Dieu n’est pas Dieu des morts, mais des vivants ; car pour lui tous sont vivants.” Donc le fait que Dieu s’appelle le Dieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob, lorsqu’il se révèle à Moïse dans le buisson ardent, au désert de Madian(Ex 3.1-6), alors que ces patriarches étaient morts pour les hommes depuis plusieurs siècles, est la preuve de la résurrection. Car Dieu ne s’appellerait pas leur Dieu, s’ils avaient cessé d’exister ; il ne dit pas qu’il avait été leur Dieu, mais qu’il l’est: “je suis”, car Dieu n’est pas le Dieu des morts, mais des vivants. Puisqu’il est leur Dieu, il les amènera, ainsi que tous ceux qui seront estimés dignes d’avoir part à ce siècle-là, le siècle éternel du bonheur glorieux, dans l’état de corps et âme réunis, au moyen de la résurrection d’entre les morts, dont Christ a été les prémices (1 Co 15.23). Car Dieu veut avoir dans la bénédiction éternelle, non seulement des âmes immortelles, mais des hommes avec leur corps, toutefois dans une condition infiniment meilleure que dans la création présente.

C’est pourquoi l’Evangéliste Luc ajoute : “car pour lui tous sont vivants”. Non seulement tous ceux qui sont morts croyants, mais tous ceux qui sont morts n’ont pas cessé d’exister quant à leur âme ; ils vivent pour Dieu, aux yeux duquel rien n’est caché, malgré l’état de séparation momentanée de l’âme et du corps, pour les sauvés, comme pour les perdus. Car, à la création Dieu forma l’homme d’un corps tiré de la terre et d’une âme constituée par le souffle de l’Éternel, par lequel il devint “âme vivante”. À la suite du péché, par la mort, la partie matérielle de son être, le corps, retourna à la terre d’où il provenait et “l’esprit retourne à Dieu qui l’a donné” (Ec 12.7). Notons qu’il s’agit de l’esprit de tout homme ; car “retourner à Dieu” ne veut pas dire : être dans la félicité éternelle, mais simplement retourner à son origine, sans préjudice des conséquences de ce qui s’est passé sur la terre. Ainsi pour Dieu, tous les esprits qui ont quitté leurs corps vivent ; la mort ne s’applique qu’au corps, et cela pour un temps.

Car au moment voulu de Dieu, les esprits de tous rejoindront leur corps, les uns en résurrection de vie, les autres en résurrection de jugement (Jn 5.29), ceux-ci pour demeurer éternellement sous les conséquences de leurs péchés, ceux-là pour être éternellement sous les conséquences glorieuses de l’œuvre de Christ, à laquelle ils auront cru. Après avoir entendu la réponse de Jésus aux sadducéens, quelques-uns des scribes, la classe religieuse opposée aux sadducéens, dirent à Jésus : “Maître, tu as bien parlé.” Et ils n’osèrent plus l’interroger.

Car lorsque Jésus dit, ‘Vous ne connaissez pas les Écritures,’ il n’avait pas en tête, ‘Combien de temps vous avez passé à étudier la Bible,’ ou ‘À quel endroit avez-vous étudié et avec qui ?’ Vous pouvez vous consacrer longuement à l’étude des Écritures, guidés par les meilleurs enseignants, sans nécessairement connaître la Bible. Mais cela ne veut pas dire que vous soyez parvenu à pénétrer dans l’esprit de la résurrection. Sans cette opération, enseigne Jésus, vous ne connaissez toujours pas la signification de la résurrection. Si toutefois la puissance de Dieu relève votre âme d’entre les morts, vous serez dans une bonne position pour parler de la résurrection. Alors que vous étiez mort au péché, Dieu vous redonne la vie en vous transformant en une nouvelle créature. Par la puissance de Dieu, vous avez expérimenté la résurrection. Vous êtes conscient d’être devenu une nouvelle personne. Ayant connu par l’expérience la puissance divine vous faire naître de nouveau, vous pouvez témoigner de la réalité de la résurrection avec force et conviction. Vous voyez comment la connaissance de la puissance de Dieu est étroitement liée à la connaissance de sa parole.

L’importance de la résurrection du Christ : Le Seigneur voulait dire aux Sadducéens, ‘Concernant la résurrection, je vous ramène à la déclaration de Dieu à Moïse dans l’incident du buisson ardent. ‘Je suis le Dieu d’Abraham, Isaac et Jacob,’ a-t-il révélé. On peut interpréter cette déclaration de deux façons. Ou bien Abraham, Isaac et Jacob sont encore en vie, ou bien ils sont tous morts. Il n’y a que ces deux possibilités. Vous, Sadducéens, vous croyez qu’ils sont décédés. S’il en est ainsi, s’ils sont morts, cela signifierait que Dieu a proclamé dans le Pentateuque être le Dieu des morts. ‘Je suis le Dieu du défunt Abraham. Je suis le Dieu du défunt Isaac. Je suis le Dieu du défunt Jacob.’

‘Vous semblez insinuer avec votre histoire qu’il y aura une situation très embarrassante au ciel si la résurrection existe. Mais laissez-moi vous dire ceci : vous vous trouvez dans une position encore plus embarrassante. Car votre déni de la résurrection vous oblige à croire au Dieu des morts. Et si Dieu est réellement le Dieu des morts, il n’y a que deux explications possibles. Ou bien il n’a pas le désir de les relever de la mort, ou bien il n’a pas la capacité de les relever. Chacune de ces possibilités vous laisse dans une désespérante position. Si Dieu n’a pas la volonté de relever Abraham, Isaac et Jacob, alors il ne peut pas être un Dieu d’amour. Et il ne peut pas être un Dieu de justice non plus.’ ‘En effet, quelle sorte de Dieu serait-il s’il laisse dans leur tombe le corps des hommes avec qui il avait conclu une alliance et fait des promesses alors qu’il a la capacité de les ressusciter ? Comment peut-il affirmer qu’il les aime ? Il ne serait pas non plus un Dieu de justice. Parce qu’il serait totalement injuste que la vie du bon et du mauvais se termine de la même manière. Pourquoi parler de l’importance d’une conduite juste si le méchant n’a pas à payer pour ses méfaits ? Un Dieu qui traite sans distinction le juste et l’injuste ne peut être un Dieu ni d’amour ni de justice.’

‘Qu’est-ce que la Bible enseigne ? Tout à fait l’opposé. Elle affirme que Dieu est l’amour même et qu’il est parfaitement juste.’ ‘Conséquemment, si vous connaissez les Écritures,’ dit Jésus aux Sadducéens, ‘vous devez écarter cette possibilité, i.e. l’hypothèse selon laquelle Dieu ne désire pas relever Abraham, Isaac et Jacob. Il ne reste donc que la deuxième hypothèse, à savoir que Dieu n’est pas capable de relever Abraham, Isaac et Jacob. Il voudrait bien le faire, mais il n’en a pas la capacité.’

Si vous connaissiez la puissance de Dieu, cette idée n’effleurerait même pas votre esprit. En disant que Dieu ne possède pas la puissance pour relever les morts, on avance que la mort est plus forte que Dieu. Or ce n’est pas ce que la Bible proclame.’

Vous voyez pourquoi la résurrection du Christ est si importante. Elle démontre que Dieu est juste et miséricordieux, et qu’il est tout puissant. Elle signale que Dieu a le désir et la capacité de relever les morts. Car Il est le Dieu des vivants : Nous commençons maintenant à discerner le fondement de l’argument de Jésus. Il explique que la proclamation de Dieu à Moïse implique deux possibilités : Dieu est le Dieu des morts, ou il est le Dieu des vivants. C’est l’un ou l’autre. Jésus conclut son raisonnement en disant, ‘Il n’est pas le Dieu des morts. Il est le Dieu des vivants.’ Par ces mots, Jésus vient de donner la clé de son argumentation sur la résurrection.

C’est ici que la résurrection est démontrée. Voyez-vous la beauté de son raisonnement ? Son argument est basé sur la nature de la relation de Dieu avec Abraham, Isaac et Jacob. Dieu entretient une relation avec ceux qui sont vivants, et non pas avec ceux qui sont morts. Si Abraham n’existait plus, s’il avait complètement disparu, la relation de Dieu avec Abraham aurait aussi pris fin de façon définitive. Mais Dieu se présente comme étant le Dieu d’Abraham. Le ‘Dieu d’Abraham’ est une appellation particulièrement importante dans ce contexte car elle fait référence à l’alliance que Dieu a conclue avec Abraham et aux promesses que contient cette alliance. Par cette expression, Dieu exprime sa fidélité à l’alliance et aux promesses de salut. Il ne peut faillir ni à son alliance ni à ses promesses. Comment peut-il accomplir ses promesses envers des êtres qui n’existent plus ? Une seule réponse s’impose : la résurrection. C’est pourquoi Jésus précise que Dieu n’est pas le Dieu des morts, mais des vivants.

Voyez-vous, il n’y a que deux manières d’interpréter la déclaration de Dieu à Moïse. Ou bien il est le Dieu des morts, ou bien il est le Dieu des vivants. Vous avez à faire un choix. Et le choix que vous ferez sera déterminé par vos croyances. Les Sadducéens croyaient en un Dieu des morts puisqu’ils avaient la conviction que Abraham, Isaac et Jacob avaient cessé d’être. Or Jésus leur fait voir que si tel était le cas, leur foi en Dieu serait vaine. Pourquoi croire en Dieu si tout le monde finit par mourir et qu’il n’y a rien d’autre après ? L’apôtre Paul reprend le même argument sur la résurrection en 1Corinthiens 15. ‘S’il n’y a pas de résurrection, si les morts sont disparus à jamais,’ dit Paul, ‘alors notre foi est une illusion et nous serions de tous les hommes les plus pitoyables. Pourquoi avoir enduré toute cette misère ? Pourquoi avoir tourné le dos au monde ? Pour rien si tout se termine par la mort. ‘ ‘Allons plutôt boire et manger car demain nous mourrons,’ ajoute Paul en citant un passage de l’AT. ‘Buvons et mangeons.’ ‘Cherchons ici-bas la plus grande mesure possible de jouissances, même s’il s’agit de pécher. Au moins, nous mourrons heureux.’

Mais si Dieu est le Dieu des vivants, alors la situation est complètement différente. Car un jour, nous aurons des comptes à rendre à Dieu pour nos actions. Les Écritures enseignent qu’il y aura une résurrection autant des croyants que des incroyants. Tous auront à faire face au jugement divin. Il n’y aura aucune échappatoire possible. Jean 5:28-29: Ne vous étonnez pas de cela ; car l’heure vient où tous ceux qui sont dans les sépulcres entendront sa voix, et en sortiront. Ceux qui auront fait le bien ressusciteront pour la vie, mais ceux qui auront fait le mal ressusciteront pour le jugement. La question des Sadducéens sur la résurrection se retrouve également dans l’évangile de Luc où la possibilité d’une vie après la mort est évoquée de façon plus explicite. En Luc 20.38, nous lisons, Or, Dieu n’est point le Dieu des morts, mais le Dieu des vivants ; car tous vivent devant lui. ‘Tous vivent devant lui.’ Luc est le seul à mentionner cette phrase. Qu’est-ce que cela veut dire ? Cela signifie que tous dépendent de la puissance de Dieu pour vivre et par conséquent tous sont redevables à Dieu. Dieu est celui qui détermine ce qui vit et ce qui meurt. Qu’un homme ait quitté son corps terrestre ou non, chacun vivra pour être jugé par Dieu.

Il ne faudrait pas lier la résurrection uniquement à l’au-delà de la mort ou à la fin des temps. Croire à la résurrection influence nécessairement notre perspective de la vie et notre manière actuelle de vivre. Le fait de savoir que ce qui se passe dans notre vie présente affectera ce qui va se passer à la résurrection des morts nous motive à nous conduire à la manière de ceux qui ressusciteront pour la vie. À cet égard, la résurrection devient une réalité présente, tout à la fois spirituelle et éthique.

Les versets ci-après ont été compilés pour votre édification et regroupés pour votre meilleure compréhension.

  • Fils de Dieu :

Mt 5.9 Heureux ceux qui procurent la paix, car ils seront appelés fils de Dieu! Lc 20.36 Car ils ne pourront plus mourir, parce qu’ils seront semblables aux anges, et qu’ils seront fils de Dieu, étant fils de la résurrection.  Rm 8.14 car tous ceux qui sont conduits par l’Esprit de Dieu sont fils de Dieu. Rm 9.26 et là où on leur disait: Vous n’êtes pas mon peuple! ils seront appelés fils du Dieu vivant. Ga 4.7 Ainsi tu n’es plus esclave, mais fils; et si tu es fils, tu es aussi héritier par la grâce de Dieu. 1 Jn 3.10 C’est par là que se font reconnaître les enfants de Dieu et les enfants du diable. Quiconque ne pratique pas la justice n’est pas de Dieu, non plus que celui qui n’aime pas son frère.

  • Immortalité :

Lc 20.36 Car ils ne pourront plus mourir, parce qu’ils seront semblables aux anges, et qu’ils seront fils de Dieu, étant fils de la résurrection ; Jn 8.51 En vérité, en vérité, je vous le dis, si quelqu’un garde ma parole, il ne verra jamais la mort.  Jn 11.26 et quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais. Crois-tu cela ? Rm 2.7 réservant la vie éternelle à ceux qui, par la persévérance à bien faire, cherchent l’honneur, la gloire et l’immortalité; 1 Co 15.53 Car il faut que ce corps corruptible revête l’incorruptibilité, et que ce corps mortel revête l’immortalité. 2 Co 5.1
Nous savons, en effet, que, si cette tente où nous habitons sur la terre est détruite, nous avons dans le ciel un édifice qui est l’ouvrage de Dieu, une demeure éternelle qui n’a pas été faite de main d’homme. 1 Th 4.17 Ensuite, nous les vivants, qui seront restés, nous serons tous ensemble enlevés avec eux sur des nuées, à la rencontre du Seigneur dans les airs, et ainsi nous serons toujours avec le Seigneur. 2 Tim 1.10 et qui a été manifestée maintenant par l’apparition de notre Sauveur Jésus Christ, qui a détruit la mort et a mis en évidence la vie et l’immortalité par l’Évangile.

  • Promesses concernant la Résurrection :

Ps 49.13 Mais l’homme qui est en honneur n’a point de durée, Il est semblable aux bêtes que l’on égorge. Jn 5.25 En vérité, en vérité, je vous le dis, l’heure vient, et elle est déjà venue, où les morts entendront la voix du Fils de Dieu; et ceux qui l’auront entendue vivront. Jn 6.40 La volonté de mon Père, c’est que quiconque voit le Fils et croit en lui ait la vie éternelle; et je le ressusciterai au dernier jour. Jn 11.25 Jésus lui dit: Je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort ; Ac 24.15 et ayant en Dieu cette espérance, comme ils l’ont eux-mêmes, qu’il y aura une résurrection des justes et des injustes. 2 Co 4.14 sachant que celui qui a ressuscité le Seigneur Jésus nous ressuscitera aussi avec Jésus, et nous fera paraître avec vous en sa présence. 1 Th 4.16 Car le Seigneur lui-même, à un signal donné, à la voix d’un archange, et au son de la trompette de Dieu, descendra du ciel, et les morts en Christ ressusciteront premièrement.

  • Sagesse de Christ :

Es 11.2 L’Esprit de l’Éternel reposera sur lui: Esprit de sagesse et d’intelligence, Esprit de conseil et de force, Esprit de connaissance et de crainte de l’Éternel. Mt 13.54
S’étant rendu dans sa patrie, il enseignait dans la synagogue, de sorte que ceux qui l’entendirent étaient étonnés et disaient: D’où lui viennent cette sagesse et ces miracles? Lc 2.40 Or, l’enfant croissait et se fortifiait. Il était rempli de sagesse, et la grâce de Dieu était sur lui. 1 Co 1.24 mais puissance de Dieu et sagesse de Dieu pour ceux qui sont appelés, tant Juifs que Grecs. Col 2.3 mystère dans lequel sont cachés tous les trésors de la sagesse et de la science.  

Finalement, le Seigneur prouve aux sadducéens la réalité de la résurrection simplement par ce titre que Dieu se donne : “le Dieu d’Abraham, le Dieu d’Isaac, et le Dieu de Jacob” (Ex 3.1-6). Lorsque l’Éternel parlait ainsi à Moïse, ces patriarches avaient quitté la terre depuis longtemps. Mais Il se proclamait toujours leur Dieu. Pour Lui, ils étaient donc encore vivants et ils devaient ressusciter. Ces hommes de foi s’étaient attachés à des “choses promises” au-delà de la vie présente et montraient qu’ils les attendaient avec certitude. “C’est pourquoi Dieu n’a pas honte… d’être appelé leur Dieu” (Héb 11.13-16). Appliquons-nous aussi à montrer autour de nous que nous avons une espérance vivante.

PRIERE D’ACCEPTATION DE JESUS-CHRIST COMME SEIGNEUR ET SAUVEUR PERSONNEL

J’invite à présent toute personne qui veut devenir une nouvelle création en marchant dans la vérité, à faire avec moi la prière suivante:

Seigneur Jésus, j’ai longtemps marché dans les convoitises du monde en ignorant ton amour pour les humains. Je reconnais avoir péché contre toi et te demande pardon pour tous mes péchés, car aujourd’hui j’ai décidé de te donner ma vie en te prenant comme Seigneur et Sauveur personnel. Je reconnais que tu es mort à la croix du Calvaire et que tu es ressuscité des morts pour moi. 

Je suis maintenant sauvé(e) et né(e) de nouveau par la puissance du Saint-Esprit. Conduis-moi chaque jour vers la vie éternelle que tu donnes à tous ceux qui obéissent à ta Parole. Révèle-toi à moi et fortifie mon coeur et ma foi, afin  que ta lumière luise dans ma vie dès maintenant.

Merci Seigneur Jésus de m’accepter dans ta famille divine, afin que je puisse aussi contempler les merveilles de ton royaume.

Je vais choisir maintenant un point d’eau tout proche où me baptiser par immersion, au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.

A toi toute l’adoration, la puissance et la gloire, maintenant et pour les siècles des siècles. Amen !

Je serais content de réagir à vos questions et commentaires éventuels, avant de partager avec vous la semaine prochaine sur  la guérison de dix lépreux.

Que le Seigneur Jésus-Christ vous bénisse abondamment.

David Feze, Serviteur de l’Eternel des armées. 

3 thoughts on “« Or, Dieu n’est pas Dieu des morts, mais des vivants ; car pour lui tous sont vivants. »”
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