Bien-aimés, j’ai la joie de partager avec vous aujourd’hui le thème ci-dessus tiré de Luc 11.29-30. En effet, voyant les foules s’amasser autour de lui, Jésus répondit à ceux qui lui demandaient un signe: “Cette génération est une méchante génération; elle demande un signe; et il ne lui sera pas donné de signe, si ce n’est le signe de Jonas”. Dans Mat 12.40 Jonas est présenté comme signe de la mort de Jésus; ici nous le voyons comme prophète auquel des païens prêtent l’oreille, tandis que le Seigneur Jésus, au milieu de son propre peuple, n’est pas écouté. 

Il faut noter que Jonas nous enseigne moins par ses paroles que par son histoire saisissante. En effet, il avait jadis annoncé le rétablissement de la frontière d’Israël, la bonne nouvelle pour son peuple (2 Rois 14.23-27). Le voici maintenant chargé d’une mission beaucoup moins agréable, à savoir proclamer le châtiment de Ninive, la grande métropole païenne si coupable devant Dieu. Mais Jonas se dérobe et s’enfuit “loin de la présence de l’Éternel”. C’était le chemin de sa propre volonté. Mais un serviteur de Dieu n’a à choisir ni son message ni son lieu de travail. C’était aussi une conduite insensée de sa part. Car comment échapper à Celui qui voit tout et qui dispose des éléments pour arrêter le désobéissant (Luc 8.22-25)? Mais Jonas ne cesse de descendre (Jon 2.1-7). D’abord par un chemin plaisant (signification de Joppé), mais qui mène à la destruction (Tarsis). Nous verrons que Jonas ne pensait qu’à lui seul.

Par la suite, le “cri” de Jonas à travers Ninive est à proprement parler, la seule prophétie que nous trouvions dans son livre. Et encore ne s’accomplit-elle pas, car à sa prédication, les habitants de la cité méchante avec le roi en tête, craignent Dieu et croient sa Parole, puis se repentent. Ces sentiments, à leur tour, montent jusqu’au ciel. Car Dieu fait grâce (Jér 18.5-10), et les hommes de Ninive seront cités en exemple par le Seigneur Jésus aux Juifs de son temps, alors qu’ils ont au milieu d’eux infiniment “plus que Jonas”(Mat 12.38-41). Pourtant ces derniers étaient plus responsables que les Ninivites païens. 

Or le Fils de Dieu Lui-même était là, venu non pour juger mais pour sauver le monde(Jn 12:47). Car se reconnaître pécheur et accepter Jésus pour Sauveur, est le seul moyen d’échapper à la condamnation éternelle. Car l’annonce du jugement fait partie de l’évangile. “Il est réservé aux hommes de mourir une fois, et après cela le jugement”, prévient la sainte Bible (Héb 9.27-28). Ce «une fois» peut être dans un instant pour vous. Savez-vous si vous disposerez même d’un sursis de 40 jours (Luc 12.16-21)? “C’est pourquoi, vous aussi, soyez prêts”, dit encore le Seigneur Jésus (Mat 24.42-44). Oui, maintenant, c’est le jour du salut. 

Car la Reine du midi vint des bouts de la terre pour entendre Salomon; toute la sagesse du grand roi l’émerveilla; Jésus dit: “Et voici, il y a ici plus que Salomon”, celui dont Salomon avec toute sa sagesse, n’était qu’une faible image; cependant les Juifs l’ont rejeté. C’est pourquoi: “Des hommes de Ninive se lèveront au jugement avec cette génération et la condamneront; car ils se sont repentis à la prédication de Jonas, et voici, il y a ici plus que Jonas”. Car il y avait au milieu du peuple celui au nom duquel Jonas avait parlé aux Ninivites. Quelle lourde responsabilité de ne l’avoir pas écouté.

Mais combien de païens pourront aussi se lever au jour du jugement pour condamner un grand nombre de chrétiens de nom, jeunes ou vieux, qui se seront contentés de leur profession chrétienne sans croire en lui, ou qui auront discuté sur sa personne venue en chair, niant sa divinité, niant aussi l’inspiration des Écritures par lesquelles seules nous pouvons connaître le Seigneur? C’est pourquoi le Seigneur Jésus déclare que cette bénédiction est pour tous ceux qui écoutent et observent sa Parole; il dit: “Mais plutôt, bienheureux sont ceux qui écoutent la parole de Dieu et qui la gardent”. 

Or ceux de Ninive avaient écouté Jonas, la reine de Saba avait écouté Salomon, sans qu’un miracle eût accompagné le témoignage de l’un; et un plus grand que Jonas était là. Que l’Eternel Dieu fasse qu’aucun de nous ne s’expose à la honte d’une telle condamnation au jour du jugement. Car des hommes et des femmes habitant la Ninive actuelle, ou Babylone la grande, peuvent être sauvés. Donc, avec zèle, amour, force et sagesse, soyons unis et complémentaires pour annoncer ce merveilleux message à tous. C’est ainsi que nous serons prêts pour le glorieux retour du Sauveur du monde.

Car l’absence de foi est un obstacle majeur, car nous lisons dans Mt 13.58 : “ Jésus ne fit pas beaucoup de miracles dans ce lieu à cause de ‘l’absence’ de leur foi “ : ces personnes refusaient de reconnaître en Jésus (ils avaient grandi avec lui) le Messie ; il était selon eux un homme comme les autres. Cette absence de foi est différente du doute qui peut se mêler à la confiance en Dieu (Mc 9.23-25). Car le Seigneur n’intervient pas, quand on le lui demande, lorsqu’on refuse délibérément de croire qu’il est Dieu.

Le refus peut s’expliquer par le fait que le temps n’est pas encore venu pour accomplir des miracles: Jean 7.6 : Jésus répond à ses frères incrédules (les fils de Marie et Joseph) qui lui demandaient : “ Puisque tu accomplis de si grandes choses, fais en sorte que tout le monde le voie ! “ : “ Le moment n’est pas encore venu pour moi “. En reprenant cet argument de Jésus du temps de Dieu qui n’est pas le nôtre, nous ne refusons pas de croire que Dieu n’accomplit pas de miracle aujourd’hui encore mais que notre compréhension du temps n’est pas celle de Dieu. Dire : “ Ce n’est pas le temps de Dieu “ n’est pas manquer de foi, c’est peut-être accepter qu’il a un autre plan que le nôtre. Car nous ne maîtrisons pas l’emploi du temps de Dieu… Notre soumission à Dieu doit nous faire accepter qu’il ne réponde pas toujours au moment que nous voulons. Dire : “ Quand ton temps sera venu et de la manière que tu choisiras, je sais que tu interviendras “, c’est attacher de l’importance au plan de Dieu. Plus qu’au nôtre.

Troisième raison: Ne tentons pas le Seigneur: Mt 4.7 : Quand Satan souffle à Jésus de se jeter du haut du temple et affirme que Dieu interviendra en envoyant ses anges le porter, Jésus répond : “ Tu ne tenteras point  le Seigneur ton Dieu “. Car c’est l’attitude qu’Israël a eue dans le désert et Paul reprend cet épisode en disant : “ Ne tentons pas le Seigneur, comme le tentèrent quelques-uns du peuple d’Israël qui périrent mordus par les serpents “ (1 Co 10). Cette attitude révèle un état de révolte contre Dieu, où l’on met à l’épreuve la bonté et la patience de Dieu, où l’on essaye d’aller au-delà de ce que Dieu veut donner, où (comme Satan envers Jésus) on prend les promesses et la Parole de Dieu pour faire pression sur lui, où l’on ne sait pas – ou ne veut pas – voir l’essentiel en disant comme les israélites : “ Si Dieu est au milieu de nous, qu’il le montre ! “ (Exode 17). “ Vous ne tenterez pas l’Eternel votre Dieu “ (Dt 6.16).

Car Jésus discerne que la tentation de Satan est de demander un miracle pour sa propre gloire. A la fin de sa vie, il pouvait dire : “ Dieu a été glorifié en moi “ ; voilà le but essentiel pour lui : que sa vie soit à la gloire de son Père. Il peut être quelques fois difficile de discerner si l’exaucement de notre prière servirait Dieu ou notre orgueil ou notre égoïsme. Le but qui habitait Paul était clair : “ Que maintenant comme toujours Christ soit glorifié dans mon corps, soit par ma vie soit par ma mort “ (Ph 1.20). Et au lieu d’anéantir les interventions de Dieu dans sa vie par cette approche, elles ont été nombreuses…

De plus, les diverses réponses de Jésus-Christ aux pharisiens: Mt 12.38-41 : – leur infidélité“ Maître, nous voudrions te voir faire un signe miraculeux ! “ : en fait ces religieux étaient poussés par la curiosité, le goût du sensationnel, en tout cas par la provocation. Ils donnaient l’apparence d’obéir à Dieu mais pratiquement c’était le contraire : Jésus les traite d’infidèles. Comment Dieu répondrait à ceux qui, délibérément, lui sont opposés ? Dieu n’attend certainement pas que nous soyons parfaits mais en tout cas que notre cœur soit tourné vers lui.

– Ensuite, Dieu a accompli le miracle le plus grand et le seul nécessaire : la mort et la résurrection de Jésus : “ Un signe… il ne sera pas accordé d’autre que celui du prophète Jonas. En effet, comme Jonas resta trois jours et trois nuits dans le ventre du poisson, ainsi le Fils de l’homme passera trois jours et trois nuits dans le sein de la terre.“ Alors, l’on peut réclamer des œuvres puissantes de Dieu, croire qu’il peut accomplir des miracles extraordinaires mais la plus grande est la mort et la résurrection de Jésus. Mais ce miracle est difficile à admettre : parce qu’il dépasse le raisonnement moyen qui nous anime ; parce qu’il parle de mort (donc d’échec, selon notre société) ; parce qu’il a eu lieu, pour nous, il y a 2000 ans ; parce que pour l’accepter, il faut passer par la repentance (la mort à nous-mêmes). Car tout passe par la croix et la résurrection. Ce miracle est suffisant pour nous, toujours efficace, toujours vivant pour nous aujourd’hui.

– Enfin, le Seigneur Jésus revient plus tard une nouvelle fois (Mt 16.1-4) sur ce seul miracle essentiel de sa mort et de sa résurrection mais  il montre aux pharisiens qu’ils ne savent pas comprendre les choses spirituelles ; et ça, c’est aussi notre problème aujourd’hui…“ Vous savez reconnaître ce qu’indique l’aspect du ciel [= vous vous y connaissez en matière de météo, pour ce qui concerne les choses humaines], mais vous êtes incapables de reconnaître les signes [ou les miracles] des temps “ (Mt 16.3) : il est bien malheureux celui qui sait prévoir le temps à venir et qui ne sait pas voir le temps de Dieu, qui ne voit pas les interventions de Dieu. Pourtant, cette discussion vient juste après les 2 multiplications des pains ; et cependant ces religieux demandent à Jésus “ un miracle “. La vie du chrétien est parsemée de ces signes, de ces interventions divines ; mais qu’il est difficile de les discerner… On ne sait pas prendre le temps de réfléchir sur les évènements, sur les échecs, sur les bénédictions et leur portée spirituelle. Alors on demande un signe de la puissance de Dieu, une preuve de l’amour de Dieu

Un peu comme ces enfants qui se voient refuser de la part de leurs parents une demande, ce qui alors les fait remettre en question leur amour. Tout ceci pour rappeler que l’essentiel est dans l’œuvre de Jésus-Christ: il est mort et ressuscité ! Soulignons pour poursuivre, l’histoire de l’homme riche et Lazare: Luc 16.27-31 : cette histoire racontée parle du désir de voir des miracles de Jésus pour que beaucoup soient convaincus de l’importance de vivre avec Dieu ; et il est répondu : « Vous avez la Parole de Dieu ». Car les disciples allèrent prêcher  partout. Le Seigneur travaillait avec eux et confirmait la Parole par les miracles “ (Marc 16.20) : la Parole n’est pas au service des miracles qui seraient le summum et le but de la prédication, mais le contraire : la prédication de la Parole permet d’écouter Dieu, de le rencontrer. Quand la samaritaine dit aux habitants de son village tout ce que Jésus a révélé sur sa vie, ils sont intéressés de le voir ; mais ensuite leur foi est autrement solide : “ Nous croyons en lui, non seulement à cause de ce que tu nous as rapporté, mais parce que nous l’avons-nous-mêmes entendu. Et nous savons qu’il est vraiment le Sauveur du monde “ (Jean 4.42). Car “ La foi vient de ce que l’on entend, et ce que l’on entend vient de la Parole de Dieu “ (Rm 10.17).

Or malgré les miracles, le refus de croire persiste: car Jean rapporte : “ Malgré le grand nombre de signes miraculeux que Jésus avait faits devant eux, ils ne croyaient pas en lui “ (Jn 12.37) ; les frères de Jésus le rejetaient aussi pour la même raison : “ ‘Pars d’ici afin que tes disciples voient aussi les œuvres que tu fais !’ Car ses frères ne croyaient pas en lui” (Jean 7.3, 5). D’autres passages soulignent la superficialité de la foi de ceux qui, pourtant, ont cru en Jésus parce qu’ils l’ont vu faire des miracles (même si ce n’est pas systématique, heureusement) : “ Une grande foule suivait Jésus parce qu’elle voyait les miracles qu’il opérait sur les malades “ (Jn 6) : cette curiosité et l’effet de voir l’emportaient sur une foi profonde qui s’appuierait sur son enseignement : “ Beaucoup de gens crurent en lui en voyant les signes miraculeux qu’il accomplissait. Mais Jésus ne se fiait pas à eux, car il les connaissait tous très bien ; il connaissait le fond de leur cœur “ (Jean 2.23-25). 

Vient tout de suite après, l’épisode de l’entretien avec Nicodème où Jésus montre que la foi réelle découle de la nouvelle naissance ; parce qu’elle est l’œuvre de Dieu et parce qu’elle touche profondément la personne. Le Seigneur veut ainsi nous apprendre comment considérer sa puissance : car il est nécessaire de discerner les plus grands miracles, c’est-à-dire les plus importants – et pas les plus spectaculaires : 1) sa Parole est un miracle extraordinaire, un miracle renouvelé : c’est elle qui nous affermit, nous transforme, nous renouvelle. Concrètement, cette semaine, l’avons-nous lue et méditée ? 2) et ce qui y est associé, c’est Jésus, lui qui est appelé “ la Parole “ (Jn 1.1) : sa vie a été parfaite, son œuvre a été suffisante pour tout. “ Les juifs demandent des miracles et les grecs cherchent la sagesse. Nous, nous prêchons Christ crucifié, scandale pour les juifs et folie pour les païens, mais puissance de Dieu et sagesse de Dieu pour ceux qui sont appelés “ (1 Co 22-24). C’est pourquoi, dans nos épreuves où il peut nous sembler qu’il n’intervient pas, sa Parole et son œuvre à la croix nous assurent sa présence apaisante et son soutien, aujourd’hui et chaque jour. Quel véritable miracle !

Les versets ci-après ont été compilés pour votre édification et regroupés pour votre meilleure compréhension.

  • Génération perverse: 

Dt 32.5 S’ils se sont corrompus, à lui n’est point la faute; La honte est à ses enfants, Race fausse et perverse; Pr 30.12 Il est une race qui se croit pure, Et qui n’est pas lavée de sa souillure; Mt 3.7 Mais, voyant venir à son baptême beaucoup de pharisiens et de sadducéens, il leur dit: Races de vipères, qui vous a appris à fuir la colère à venir? Mt 12.39,45 Il leur répondit: Une génération méchante et adultère demande un miracle; il ne lui sera donné d’autre miracle que celui du prophète Jonas. 45 Il s’en va, et il prend avec lui sept autres esprits plus méchants que lui; ils entrent dans la maison, s’y établissent, et la dernière condition de cet homme est pire que la première. Il en sera de même pour cette génération méchante. Lc 9.41 Race incrédule et perverse, répondit Jésus, jusqu’à quand serai-je avec vous, et vous supporterai-je? Amène ici ton fils. Ac 2.40 Et, par plusieurs autres paroles, il les conjurait et les exhortait, disant: Sauvez-vous de cette génération perverse. 

  • Jonas le missionnaire réticent:

2 R 14.25 Il rétablit les limites d’Israël depuis l’entrée de Hamath jusqu’à la mer de la plaine, selon la parole que l’Éternel, le Dieu d’Israël, avait prononcée par son serviteur Jonas, le prophète, fils d’Amitthaï, de Gath Hépher. Jon 1.1 La parole de l’Éternel fut adressée à Jonas, fils d’Amitthaï, en ces mots; Jon 2.2 Jonas, dans le ventre du poisson, pria l’Éternel, son Dieu. Jon 4.5 Et Jonas sortit de la ville, et s’assit à l’orient de la ville, Là il se fit une cabane, et s’y tint à l’ombre, jusqu’à ce qu’il vît ce qui arriverait dans la ville. Mt 12.39 Il leur répondit: Une génération méchante et adultère demande un miracle; il ne lui sera donné d’autre miracle que celui du prophète Jonas. Mt 16.4 Une génération méchante et adultère demande un miracle; il ne lui sera donné d’autre miracle que celui de Jonas. Puis il les quitta, et s’en alla; Lc 11.29 Comme le peuple s’amassait en foule, il se mit à dire: Cette génération est une génération méchante; elle demande un miracle; il ne lui sera donné d’autre miracle que celui de Jonas.

  • Popularité de Christ: les multitudes le suivent: 

Mt 4.25 Une grande foule le suivit, de la Galilée, de la Décapole, de Jérusalem, de la Judée, et d’au-delà du Jourdain. Mt 13.2 Une grande foule s’étant assemblée auprès de lui, il monta dans une barque, et il s’assit. Toute la foule se tenait sur le rivage. Mt 15.30 Alors s’approcha de lui une grande foule, ayant avec elle des boiteux, des aveugles, des muets, des estropiés, et beaucoup d’autres malades. On les mit à ses pieds, et il les guérit; Mt 19.2 Une grande foule le suivit, et là il guérit les malades. Mc 1.33 Et toute la ville était rassemblée devant sa porte. Mc 2.13 Jésus sortit de nouveau du côté de la mer. Toute la foule venait à lui, et il les enseignait. Mc 3.20 Ils se rendirent à la maison, et la foule s’assembla de nouveau, en sorte qu’ils ne pouvaient pas même prendre leur repas. Lc 12.1 Sur ces entrefaites, les gens s’étant rassemblés par milliers, au point de se fouler les uns les autres, Jésus se mit à dire à ses disciples: Avant tout, gardez-vous du levain des pharisiens, qui est l’hypocrisie.

  • Fils de l’homme: 

Mt 8.20 Jésus lui répondit: Les renards ont des tanières, et les oiseaux du ciel ont des nids; mais le Fils de l’homme n’a pas où reposer sa tête. Mt 9.6 Or, afin que vous sachiez que le Fils de l’homme a sur la terre le pouvoir de pardonner les péchés: Lève-toi, dit-il au paralytique, prends ton lit, et va dans ta maison. Mt 11.19 Le Fils de l’homme est venu, mangeant et buvant, et ils disent: C’est un mangeur et un buveur, un ami des publicains et des gens de mauvaise vie. Mais la sagesse a été justifiée par ses oeuvres. Mt 16.13 Jésus, étant arrivé dans le territoire de Césarée de Philippe, demanda à ses disciples: Qui dit-on que je suis, moi, le Fils de l’homme? Mt 20.28 C’est ainsi que le Fils de l’homme est venu, non pour être servi, mais pour servir et donner sa vie comme la rançon de plusieurs. Mt 24.27 Car, comme l’éclair part de l’orient et se montre jusqu’en occident, ainsi sera l’avènement du Fils de l’homme. Mc 8.38 Car quiconque aura honte de moi et de mes paroles au milieu de cette génération adultère et pécheresse, le Fils de l’homme aura aussi honte de lui, quand il viendra dans la gloire de son Père, avec les saints anges. Lc 18.8 Je vous le dis, il leur fera promptement justice. Mais, quand le Fils de l’homme viendra, trouvera-t-il la foi sur la terre? Jn 1.51 Et il lui dit: En vérité, en vérité, vous verrez désormais le ciel ouvert et les anges de Dieu monter et descendre sur le Fils de l’homme. Jn 5.27 Et il lui a donné le pouvoir de juger, parce qu’il est Fils de l’homme. Jn 6.53 Jésus leur dit: En vérité, en vérité, je vous le dis, si vous ne mangez la chair du Fils de l’homme, et si vous ne buvez son sang, vous n’avez point la vie en vous-mêmes. Jn 12.23 Jésus leur répondit: L’heure est venue où le Fils de l’homme doit être glorifié. Jn 13.31 Lorsque Judas fut sorti, Jésus dit: Maintenant, le Fils de l’homme a été glorifié, et Dieu a été glorifié en lui. Ac 7.56 Et il dit: Voici, je vois les cieux ouverts, et le Fils de l’homme debout à la droite de Dieu. Ap 1.13 et, au milieu des sept chandeliers, quelqu’un qui ressemblait à un fils d’homme, vêtu d’une longue robe, et ayant une ceinture d’or sur la poitrine.

En fin de compte, nous comprenons alors pourquoi le Seigneur refuse aux Juifs un miracle et dit qu’ils n’auront d’autre miracle que celui de Jonas: car le pardon accordé à Ninive semblait contredire et désavouer la proclamation de Jonas qui va passer pour un menteur, un faux prophète. Hélas, le sort de la ville pèse moins à ses yeux que sa propre réputation. Et oubliant que lui-même vient d’être un objet de la grâce, il ne trouve aucune joie dans cette grâce, mais seulement dans son propre bien-être. Tâchons de sortir de cette regrettable manière d’agir et humilions-nous pour la gloire du Seigneur. Nos prières vous soutiennent tous dans vos efforts à demeurer humbles et obéissants.

PRIERE D’ACCEPTATION DE JESUS-CHRIST COMME SEIGNEUR ET SAUVEUR PERSONNEL

J’invite à présent toute personne qui veut devenir une nouvelle création en marchant dans la vérité, à faire avec moi la prière suivante :  

Seigneur Jésus, j’ai longtemps marché dans les convoitises du monde en ignorant ton amour pour les humains. Je reconnais avoir péché contre toi et te demande pardon pour tous mes péchés, car aujourd’hui j’ai décidé de te donner ma vie en te prenant comme Seigneur et Sauveur personnel. Je reconnais que tu es mort à la croix du Calvaire et que tu es ressuscité des morts pour moi. 

Je suis maintenant sauvé(e) et né(e) de nouveau par la puissance du Saint-Esprit. Conduis-moi chaque jour vers la vie éternelle que tu donnes à tous ceux qui obéissent à ta Parole. Révèle-toi à moi et fortifie mon coeur et ma foi, afin  que ta lumière luise dans ma vie dès maintenant.

Merci Seigneur Jésus de m’accepter dans ta famille divine, afin que je puisse aussi contempler les merveilles de ton royaume.

Je vais choisir maintenant un point d’eau tout proche où me baptiser par immersion, au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.

A toi toute l’adoration, la puissance et la gloire, maintenant et pour les siècles des siècles. Amen !

Je serais content de réagir à vos questions et commentaires éventuels, avant de partager avec vous la semaine prochaine sur le mauvais riche et le pauvre Lazare.

Que le Seigneur Jésus-Christ vous bénisse abondamment.

David Feze, Serviteur de l’Eternel des armées. 

One thought on “« Car, de même que Jonas fut un signe pour les Ninivites, de même le Fils de l’homme en sera un pour cette génération. »”

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